Ceci est le Tome 2 de "Le vol du bonheur"
Voyageant pour Florence avec sa sœur, Maria ne pensait pas que leurs vies à elle et à sa sœur se chambouleraient en commençant par le tentative de viol dont elle a été victime. C'est là qu'Alexandro apparaît...
Ça avait peut-être pris beaucoup de temps bien qu'elle l'avait aidé du mieux qu'elle pouvait, mais elle en était fière du résultat et elle avait même hâte de goûter à tous ces mets.
NB: Il y a beaucoup de genre de risotto, de osso-bucco et d'escalope; donc ce ne sont pas toujours les même et pour vous aider je mettrai des photos.
Milan polenta.
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Osso-bucco à la milanaise.
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Escalope milanaise.
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Timbale milanaise.
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Toute excitée, elle lui demanda et n'attendit même pas sa réponse avant d'exécuter ce qu'elle avait en tête:
_On se met à table?
Il sourit face à son attitude et prit place à côté d'elle. Elle se servit sans plus attendre de quelques apéritifs, elle n'attendit de terminer celui qu'elle avait dans la bouche qu'elle garni son assiette d'escalope milanaise.
Alexandro qui n'avait toujours pas commencé, l'observait en pouffant. Maria sans y faire attention continua de manger, elle ne releva la tête que pour lui demander:
_Tu ne mange pas?
_Te regarder me suffit.
Elle coupa un morceau de Milan polenta et le court à dans sa bouche d'une manière qu'elle n'imaginait pas sensuelle mais qui l'était...
_Dis plutôt que t'as pas envie de manger et que me regarder manger te redonne goût; dit-elle après l'avoir avalé.
Alexandro se tendit quand il la vit se mordiller la lèvre inférieure en attente d'une réponse. Il se doutait bien qu'elle n'avait pas idée du pouvoir que ses gestes ont sur lui; et plus vite il lui donnerai une réponse, plus vite il se détendra.
_Il faut dire que oui; finit-il par répondre.
Avec innocence, elle lui dit:
_Tu as l'air tendu.
_Quoi? Non, je suis parfaitement détendu; répondit-il à la hâte.
Elle se leva de sa chaise après s'être essuyer les mains, s'assit à califourchon sur ses genoux et lui dit, plus à elle-même qu'à lui:
_Maintenant j'en suis sûre; tu es tendu.
Il l'embrassa subitement, sans retenue, et elle y répondit car c'était ce qu'elle attendait depuis Florence. Leur baiser devint plus fougueux et plus insistant, il descendit vers son cou où il y laissa un suçon, dans un gémissement, elle lui rappela:
_La nourriture m'attend.
Après lui avoir parsemé le cou de bisous, il lui murmura, la voix emplie de désir:
_Elle peut attendre encore plus.
_Hmm... elle pourrait bien...
Elle attendit quelques secondes avant de rajouter:
_Mais moi non.
Elle se leva alors qu'il grogna de mécontentement, pour le consoler, elle lui dit:
_C'est toi qui n'a pas saisi la première occasion.
Elle réçu un sourire dragueur pour toute réponse, lui donnant un aperçu de sa prochaine mission.
