Partie 14 - Les parents.

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Après avoir déposé Tinat chez elle, où par la suite nous rentrons à la maison, mon père m'écris en me disant qu'il voulait me voir.
Donc arriver à la maison je me précipite pour répondre présent à sa convocation.
Voilà la discussion qui s'est tenue entre nous :

Moi: me voilà père

Lui: assoit toi

Moi: c'est si urgent que ça ?

Lui: wesh, tu vas t'assoir maintenant ok !

Moi: bon d'accord et qu'est-ce qu'il y a ?

Lui: ta mère va arriver d'un instant à l'autre

Moi: quoi ?, maman arrive ?, non j'ai fait quoi encore cette fois ?

Lui: là voilà même tu lui demande face à face

Moi: ... (tout sauf que ma mère me réprimande)

Ma mère rentre dans la maison nous passe le salem et viens s'assoir aussi en me regardant bizarrement je fais signe a mon père histoire de me situer la situation mais il comme si je n'existais pas carrément puis appel souf et ali pour venir aussi je me suis dit pas de panique t'es pas seul ok y'a tout le monde et c'est la qu'elle me dit: "toi d'abord":

Ma mère: alors on commence par quoi ?

Moi: maman chérie, tout tes demandes seront exaucées!

Ma mère: pour l'administration d'abord ?

Moi: tu sais je peux tout expliquer...

Ma mère: ensuite pour ton cour pour islamique ?

Moi: l'explication la plus rationnelle, c'est par ce que j'étais trop pris par mes études et tu connais maman les études j'aime trop ça...

Ma mère: ah bon ?

Moi: oui, je crois (dis-je faiblement)

Ma mère: enfin, les filles ?

Moi: wallah, moi, les filles, l'amour et tout sont des concepts qui n'ont pas beaucoup d'importance et en plus tu me connais, j'ai trop peur des filles en vrai

Mon père: ah bon, tu as quo...

Moi: OUI PAPA, C'EST LA VÉRITÉ ! (hurlais-je en le coupant)

Mon père: (hahaha)

Ma mère: mon bébé ne t'inquiète pas pour les filles, tu sais sais qu'on t'aime tous ici et qu'on veut juste ton bien également ?

Moi: oui oui bien sûr

Ma mère: d'accord, d'accord viens parler, je vais te faire un câlin mon choux.

Après, elle s'est mise à nous conseiller sur la vie, l'importance de la salat, le respect la vertu, le devoir, le fait de faire le bien dans la vie et tout..., mais nous fîmes sortis de ses rappels quand Yacine m'appela à le rejoindre au dehors :

Yacine: MOUSSA (en criant)

Ma mère: IL NE VIENS PAS (en criant aussi depuis l'intérieur)

Yacine: MAMAN ON PART CHEZ LE OUSTAZ IL EST MALADE (en créant une histoire ni queue ni tête)

Ma mère: ET DEPUIS QUAND LE OUSTAZ DU QUARTIER EST MALADE ?

Yacine: DEPUIS PEU, JE CROIS ?

Ma mère: TU CROIS OU TU ES SUR ?

Yacine: JE SUIS SUR !.

Comme ma mère connaissait le oustaz, elle me laissa y aller accompagné Yacine pour lui rendre visite.
Moi en sortant et après être arriver à sa taille lui murmura :

- : depuis quand le oustaz est-il malade toi ?

Lui : depuis que je viens de le dire, et pour faire bien les choses je te propose de partir le voir directement comme ça on saura

- : toi tu iras en enfer c'est sûr !

Lui : astaghfirullah Moussa, astaghfirullah

- : t'es pas possible sérieux !


En partant, il m'informe qu'il y a un festival prévu pour bientôt et qu'un concours de représentation des chanteurs était au programme.

[À suivre...]

Moi Un Bad Boy?, Non Jamais!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant