Lorsque le soir s'empare de la ville de Séoul, d'atroces crimes ont lieux.
Park Jimin enquête sur ces affaires plus ou moins similaires.
Tout ceci est l'œuvre de celui que l'on surnomme "Bunny Killer" et Jimin à ses raisons pour vouloir l'attraper...
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La pièce était chaude, les corps enflammés et nos souffles ardant transportaient érotiquement l'air brûlante hors de la salle, pouvant même ébranler quiconque qui passerait. Tandis que Suga frottait son membre dur contre le mien au rythme de notre respiration saccadé, je continuais de l'examiner, attendant impatiemment de le sentir encore plus proche. Il prit alors l'initiative de m'ôter mes vêtements, je lui obéissais. Il retira par la suite ses propres vêtements, révélant son corps bien proportionné. Ne pouvant plus se contenir, Suga m'allongea sur le sol, un sol d'abord froid puis rapidement réchauffé par nos corps enflammés. Nous continuions à nous caresser mutuellement, j'étais captivé par la morphologie de mon amant, et il s'avérait que lui aussi.
Habile de ses doigts, il les manipulait merveilleusement bien m'offrant un massage de la prostate. Ses simples doigts me procurer énormément de plaisir, j'étais pris de vertiges. Seulement ce n'était pas une sensation nouvelle, j'avais l'habitude de me satisfaire par la sensualité de Hoseok, qui lui aussi était doué de ses doigts. Si douloureux et pourtant si doux souvenirs .. Je me sentais presque mal de penser à lui durant cet instant bouillonnant. Afin de me préparer dans les règles de l'art, il avait introduit un premier doigt dans mon anus. Suga n'avait pas attendu bien longtemps avant de m'en insérer un deuxième puis un troisième, ce qui clôtura nos préliminaires. Son membre endurci m'avait enfin pénétrer, ce qui m'arracha un gémissement de plaisir. - " Nous pouvons passer aux choses sérieuses". Le souffle coupé, je me courbais en arrière pendant qu'il entamait des vas et viens de plus en plus rapide. Il déposa sur mes lèvres un baiser tout autant flambant que nos corps, je répondis furtivement en m'appropriant sa bouche pulpeuse. Le souffle coupé, nos langues tentaient de se rencontrer sous le son synchronisé de nos battements de cœur. Sous la musique dansante de nos battements de corps, tantôt léger, tantôt violent, les chocs harmonieux de nos corps faisaient vibrer les objets de la pièce. Un liquide chaud se déversait en moi, un liquide lourd et visqueux néanmoins agréable se rependait en moi. Ce fut ainsi la fin de ce moment intime mais tout aussi douteux.
