Seul

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Puis comme sauvé par le gong, Linda apparu avec sa longue chevelure corbeau et sa taille fini et toute l'attention se porta sur elle. Ses pommette pris une tinte rosée preuve de sa géne. Elle se positionna près de l'époux de sa maîtresse de maison et chuchotât quelques mots incompréhensible au oreille de Arthur. Mots qui ne semblait pas lui réjouir sellons l'expression facial qu'il déformait son visage dur. En l'observant bien, Hélène remarqua qu'il avait approfondit sa toilette en ayant nettoyer complètement son menton, retirant ainsi sa bar grise. Mais il garda une petite moustache qu'il aimait particulièrement conservé pour la toucher lorsqu'il semblait réfléchir. Il avait aussi rafraîchi sa coiffure en abordant une coupe plus jeune avec du gel. Hélène voulu s'étouffer de rire en observant la ridiculité de la chose avec sa chevelure se ternissant. Jason le remarqua aussi et toussota pour dégager ses frissons de fois rires. Les petits yeux de l'homme au cheveux gris laissa la libre vision de ses pupille noir immaculé.

— Veuillez m'excuse mais je dois m'absenter. Un problème de la plus haute importance requière la présence. Je vous souhaite une excellente journée.

Sur ces mots, Mr de BeauVivre quitta la pièce, puis la demeure sous des pas raides et rapides.

Un silence glacial avait pris possession de la pièce. Le regard du brun sur La blonde avait changé. C'était celui qu'il arborait la veille. Oui! Elle le reconnaît bien. Le stress monta d'un cran chez la femme mais resta de marbre. La tasse de thé autre fois chaude ne l'etait plus. Hélène se contente donc des viennoiseries. Ce n'est que la qu'elle remarque que Jason n'avait rien touché.

— Vous ne vous substantez pas ?

— Votre beauté est un délicieux repas.

Sa gorge se noue tellement qu'elle cru qu'un morceau de croissant lui bloquerait l'oesophage et n'ajoute rien. La blonde ne comprend rien et est surprise de ce comportement abject. Elle est mariée, elle est l'épouse de son oncle. Ce qui fessait d'elle par alliance sa tante. Le dégoût s'empare d'elle,  trouvant que cela était bien une forme de tentation.

Pourquoi cet homme me fait-il éprouvée tellement de sensation esquissent allant à l'encontre de sa religion ? Pourquoi lui et non pas son époux ?

— Je pu constater que vous êtes semblable à votre héros.

— Oh ! Je constate avec engouement que vous avez effectivement lu mon œuvre.

— Oui.

— Qu'est ce qui vous fais croire que Kentin Devrai est détaché de ma personne ?

Elle manque de s'étouffer une nouvelle fois avec un bout de croissant. Hélène ouvrit grandement les yeux, en essayant de reprendre son souffle et de réduire sa toux frénétique. Ce qui déclenche un fou rire à son convive. Elle respire vivement et s'efforce à boire un verre d'eau.

— Pourquoi moi ?

— Pourquoi pas vous ?

— Aller vous arrêter avec vos retournement de questions ?

— Je vous l'es dit il y'a des heures plus tôt... "Tout dépend de vous Duchesse"

Hélène commence à avoir du tournis. Elle sait parfaitement que cet homme l'attire mais elle ne veut pas se soumettre à ses pulsions de femmes. Elle se souvient d'un versé biblique qui ordonne aux femmes d'être fidèle à leurs époux.

— Savez vous que je suis une femme mariée. Par alliance je suis votre tante.

— Mais Duchesse c'est de la que viens tout votre charme.

Sa conscience se battait avec ses pulsions. Hélène sait que si le mariage ne l'unissait pas à cet homme, il aurait été son amant. Mais ses devoirs l'appellent. Elle n'a pas vraiment le choix.

— Voulez vous bien visité ma bibliothèque ?

— Avec grand plaisir.

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Le trajet s'est dans le plus grand des silences pour le bonheur d'Hélène. Elle a pu observer son corps marcher avec assurance. Admirer les divers traits qui ornent son visage de Dieu grecque. Sa mâchoire carrée dépourvu de poils. Il était parfait et elle en avait bien peur. Peur qu'il réussisse à lui faire fuire ses engagements. Peur qu'il la fasse changer par sa douceur et son mystérieux. Tellement de peur pour une simple personne, une simple nouvelle rencontre.

Dumon est surpris de l'immensité de la pièce. Tout ses livres disposés à la perfection. La propreté de ses lieux et sa décoration attire une certaine admiration.

— Avez-vous lu tout ses ouvrages ?

— Non cela aurait bien été impossible en 6 ans. Mais j'en aïs bien lu une quantité exécrable.

Dumon rit doucement et attrape la hanche de Hélène pour la ramener vers lui. Il hume son odeur de lavande qui se mélange à son odeur naturel. Hélène voudra bien rougir mais elle a bien trop peur qu'une servante ne les surprennent. Autant de tendresses lui fessait peur. Cette main chaude sur elle lui procure un certain bien être, une douceur divine, surhumaine. Nul être n'avait procuré en elle autant en de ci nombreuse année mais elle doit s'en défaire, elle y est obligée. Elle se détache de lui et lui fait face. Un silence pesant s'installe. Elle sent le vide prendre possession d'elle et sent sa température chuter aux endroits où il avait posé ces mains.

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Voilà la fin de la semaine donc à partir de la semaine prochaine, je ferais de mon possible pour publier 2 à 3 chapitres par semaine. Surtout bonne lecture n'oubliez pas de partager, voter et commenter.

Gis

Madame De Beau VivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant