Cathedrale St Germin (2) «Scene sexuelle»

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— Je parle de vous Duchesse.

Il avait repris ces vieilles habitudes de perturbateurs. Mais je dois avouer que ces derniers jours, mes pensées lui appartenait. J'avais même repris à me lever tôt dans l'espoir qu'il reviendrais pour le petit déjeuné. Je me tournais également à chaque claquement de porte. J'avais beau faire semblait de ne pas y pensée et d'être au dessus de tout cela. Mais mon sup. conscient restait au aguai.

— Je me porte à merveille

— Vous mentez.

— Monsieur ! Ne soyez pas grotesque en me traitant de menteuse.

— Vous avez eu une minute de pose avant de répondre. Cela est déjà une preuve suffisante.

Il a raison.

— Vous m'agacez !

Elle se mis à marcher toute vitesse, essayant de fuir l'aura mystérieux et envoûtant de cet homme mais il la me suivie. La blonde se mît donc à courir et il l'émitta. Elle s'est donc mise à rabattre le côté avant de sa robe pour améliorer ses enjambements qu'elle entreprenait et dont elle augmentait la cadence. Le parfum des roses lui enivra le nez et commençait à lui faire apprécier leur petit jeu. Elle tourna le regard vers lui et y découvre un magnifique sourire posé sur ses lèvres qui se transforma en rire.

— Cessez donc !

Dit la jeune blonde d'une voix faussement autoritaire avant d'éclater de rires. Elle se dirigeât vers un mur détruit et dont les espaces restantes pouvaient formés deux mètres carrés. À peine s'était-elle arrêtée pour tenir le muret pour rendre son souffle que Jason la plaquât sur ce mur.

— Que faites vous ?

— Ce dont j'aurais du faire dès l'instant où je vous avais vu.

Sans ajouté un mot, il détruisit l'espace qui séparait leurs lèvres haletantes de fatigue. Il embrassa Hélène lentement mais sûrement, prenant bien soin de savourer le moment. La jeune dame eux un moment de recule mais fini par l'accompagné dans ses mouvements tant bien que mal : Tout simplement parce que tout ceci était nouveau pour elle. En effet, Jason venait de lui arracher son premier baiser.

La tension monta à son comble tout simplement à cause de Jason qui augmenta la vitesse des mouvements. Mais la novice réussi tout de même à rester dans le rythme de la chose. Elle s'en donnait corps et âme à ce baiser parce qu'elle appréciait la sensation que cela lui procurait. Jason commença à devenir violent et trop rapide pour entretenir un baiser plus d'une minute. La blonde ressenti la tension qui se créât au niveau de son bas ventre de tel sorte qu'elle se senti capable de tirer Jason vers elle avec la même hargne dont celui-ci l'attirait vers lui avant de la repousser de nouveau vers le muret. Il remarqua donc la témérité de sa maîtresse dont il attrapa les deux poignet de deux mains. Ce qui arracha quelques fois de doux gémissements inaudible chez Madame de BeauVivre. Jason s'arrêta donc un instant pour contempler l'effet qu'il avait sur cette femme à travers ses yeux perturbés. Ces deniers l'imploraient carrément de prendre son hôte ici, la, toute suite.

Ce n'est que quand Jason déficela les cordages du corset de la robe d'Helene d'une mains pour commencer à lui mordre le cou que celle-ci se mire à lancer de petit cris entre ses respirations saccadés. Il lui dit des suçons en évitant de laisser une quelconque marque sur elle. Hélène ne pouvait ce contenir du désir ardent qui brûlait l'ensemble de son corps. Des spasmes l'envahis et sa vision se troubla tellement qu'elle cru avoir de la brume dans les yeux. Le neveu descend sur l'espace entre ses deux seins pour y laisser de doux baisers qui déstabilisent la dame. Tout son corps était obnubilé par la domination de ce mal sauvage et bestiale. Le devant de sa robe était complètement ouverte, de telle sorte que le borda de la jeune femme était à sa merci.

— Donnez vous a moi.

— ...J'appartiens...à...à...un autre. Souffle-t-elle être deux respirations.

— Il ne vous traite pas à votre juste valeur.

— Et comment devrais-être traitée ?

Ces mots sonna aux oreilles de Dumon comme une provocation, un appel à la démonstration de son talent. Il prit sa main libre pour traverser les couches épaisses de sa robe pour finalement atteindre son entre-jambe. Il caresse doucement sa victime sensible qui est attaqué par de violent frissons qui font frétillés ses jambes fragiles sous le poids du plaisir. Il remarque alors que son entrée est tout humide et lui sourit en cherchant le regard de son amante qui le fuit. Elle venait de s'exposer à un autre homme que son époux.

Sans prévenir, il plonge deux doigts en elle ce qui le arrache un cri d'exaltation.  Elle perd l'équilibre et lui tient fermement par l'épaule. Elle est sûre le point de craquer. Elle a envie de pleurer à cause de l'exaltation de ses sens et l'excitation de points sensibles lui procurant toutes sorte d'émotions et de frissons indescriptibles en elle. Hélène était perdue dans un tourbillon de plaisir, parfumé au herbe du désir, agrémenté a un soupçon d'érotisme. La recette parfaitement pour endormir la bien veillante raison de Hélène.

— Donnez vous a moi. Dit-il en farfouillant ardemment en son interlocutrice qui n'arrive pas à gérer sa respiration depuis le début.

Mais je suis à votre oncle.

— Alors vous n'êtes point prête pour cela.

Sans rien ajouté, il sort brusque de la dame qui laisse échappé un gémissement de ses lèvres avant de chuter lourdement au sol. Le regard embrumé, le souffle irrégulier, les idées toujours en suspension, elle observa son amant s'éloigner d'elle sans ajouter un mot. Sans daigner poser le regard sur elle une dernière fois. La frustration pris pleinement possession de son corps qu'elle ressentait à présent comme étant vide sans Jason. Elle voulu le rattraper mais par peur d'être attraper sous cette tenue indescente, elle resta assise au sol. Elle voulu crier son nom mais savait pertinemment qu'il ne répondrait pas et attirerait l'attention des fidèles. Alors elle resta muette assise au sol. C'était maintenant assez claire pour elle : Elle aurait voulu plus. Bien plus. 

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Bonne lecture à tous.

Madame De Beau VivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant