Le Grand Ball des Marshall (2)

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- Madame vous etes superbe. S'exclame Anna, une servante. Mais Monsieur ne vous a point attendu. Il a jugé convenable que vous vous retrouviez sur place a l'aide du deuxieme carosse.

- Bien ! Preparez le, je vous rejoin au hall d'entree dans peu de temps.

- Je m'y atelle Maitresse.

Elle ne se fit pas attendre et disparu de l'appartement exactement comme cette derniere etait venue. La nappe lourde du silence déchirée par le souffle d'Helene ne fessait que pertuber celle-ci. Mais la blonde décide de les ignorés et déscendre de façon magestieuse sous le regard ebahi de tout les employés de la demeure. Ce qui eu le pouvoir irresistible de lui arracher un sourire presque narquois. 

   Elle ne se fit pas plus prier et attendit l'arriver du carosse sous le pallier de la porte principale de la maison. Le simple contact avec les petites pierres polies reussi a les faire crepiter sous son poids pas plus importe que celui d'une meule. A la vue de son voiturier, notre belle blonde tenta de se tenir plus droite que possible. Et cet action eu le resultat esconte vue le regard brillant et empli de politesse qui lui etait poliment offert. Pour elle, tout ceci n'est qu'un test, un moyen de se dire qu'elle pourrait atteindre ses objectifs et faire ce qu'elle voudrait faire ce soir. Le premier pas vers son ascension. Cela est un petit éxageré mais c'est exactement de cette facon que la radieuse dame ce voit. Le fraquat des sabots sur les galais, les pensees vasillantes, le voyage est relativement calme et normal sans grande peine.

Une fois arrive sur place que Helene gravit lentement les marches des immenses escaliers qui menent a la salle de la reception que cette derniere se mit a se poser les questions essentielles du au stress.

Et si ma toilette n'est point assz prestigieuse pour l'ennement ? Et si je tombais et que je me orne de la plus horrible toilette qui n'est autre que la honte? 

Ces questions tournaient encore et encore dans son cerveau jusqu'a ce que la reelle question lui parvienne a l'esprit comme un flash soudain lorsqu'on actionne les projecteurs d'une scene de theatre qui ne tardera pas a debuter.

Jason...Serait-il aussi de la partie ?

Une seconde d'esitation, puis une autre qui se transforma en minute, defilant peu a peu et attirant la vive curiosité du voiturier qui se demandait si madame ne fessait pas un mal aise. Apres quelques minutes plongée dans ses pensées, le calme la resaisie et fini par combler les marches qui manquaient.

- Huh ! Huh ! La Duchesse Helene De Beauvivre fait son entrée. 

   Une fois l'embrassure de la porte franchi, l'ensemblee retient son souffle a la vu de la beauté incomparable de la duchesse qui s'était masquée avant. Les rayons lumineux de la lune fessait sintiller de mil feux la robe d'argent. Sa peau laiteuse parressait plus douce et plus savoureureuse. La fraicheur de la nuit fessait ressortir la couleur rose des délicates lèvres de Helene. Son charme rayonnait aux yeux et aux vue de tous, exactement la reaction éscomptée.

   Lq duchesse divisait la foule a son passage qui etait comme fige par l'élégance de la jeune femme mature. Lorsque son regard croisa le regard noir de son epoux qui tenait la main de sa cadette, ce n'est point de la peur ni de l'inquietude qui eu effet sur son humeur mais plutot de l'amusement et de la satisfaction.

- Bonsoir Madame...Permettez moi de vous offrir un verre.

La blonde mis fin a la confrontation et se concentra sur son interlocuteur : William Marshall, le maitre de ce dommaine et l'organisateur de la soiree. Du haut de ses 1m90, le jeune homme a l'age entammé lui donnait une certaine fraicheur aux yeux des dames et un charisme hors-paire aupres des hommes. Son sourire enjoliveur fessait briller l'obscurité de ses yeux. Sa cheveulure chatin etait liser en arriere contre son crane. Son costume embelissait sa carrure d'homme mature : En quelque mots, William aurait tout pour plaire a une quelconque femme.

- Bonsoir monsieur. Me voila donc honnorée de votre belle gratitude...

- C'est plutot ma personne qui l'est... Pouvoir partager un verre avec une dame aussi ésquise est d'un tel honneur

- Vous m'envoyez flattee

- Vous n'avez pas a l'etre madade

    Le regard de braise du jeune trentenaire brula la peau de Helene. Cette derniere entourrée de votours qui l'observaient tel une proie. C'est avec grace et simplicité que notre héroine echange des politesses avec William qui a premiere vue l'ennui de par ses embitions folles, la ventardise sur sa fortune actuel mais aussi a venir et bien d'autres sujet qu'elle jugeat mieux d'ignorer. 

   Arthur gardait un oeil malsaint sur son epouse indifferente. Ce pourquoi il assistait a cette reception venait a lui echapper l'esprit a tel point que celui ci se mire a oublier ses interlocuteurs. Son desir de promotion est moins important que l'effet que produit sa jeune epouse sur les hommes

   Suzanne, quand a elle se voit etre une decouration aupres d'arthur qui ne lui porte aucun interet. Celle-ci se contente que de sourire, serrer les mains qui lui sont tendus, rester droite, muette et belle. Si elle n'etait pas venu a la demeure des Beauvivre, elle n'aurait jamais eu a faire face a ce genre de solitude. Et son ainée aurait ete a sa place en ce moment.

    Les minutes passent fessant place aux heures. La lune avait atteint sa hauteur maximal fessant briller au passage les cristeaux suspendus ou dessus de la salle de reception. Les chandelles placées par dixaine au differents angles strategiques de la piece donnait une certaines embiance chaude et conviviale. Mais l'atmosphere est tellement platonique et stricte que le blonde n'arrive pas a se sentir a son aise malgrès la convivialité de certains invités. Dans un coin de l'immence salle un asortiment de mets délicats etait presenté. Du caviar, des crevettes fraiches, des tartines croustillantes, quelques patisseries alléchantes, quelques pots de confitures mais sans oublies le celebre porc grillés retenant une pomme rouge dans sa gueule.

   Inconsciemment Helene sillonnait du regard la foule depuis son arrivé esperant croiser le regard du brun. Ses recherches se soldat par un échec. Elle du donc je voué a l'evidence qu'il ne serait pas de la partie ce soir. Une once de desespoir representer par une sensation desagreable au fond de la gorge : Avait elle eux le courage d'avancer grace a lui ? Se faire belle pour lui ?

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Bonjour bonjour. Desole du retard mais je me rattrape aujour avec 1088 mots. Merci a tout ceux qui votent et patagent ( je sais pas si vous le faites ). Je sais si je vous en demande trop  en vous priant de commenter pour me donner votre avis.

Merci encore et bonne lecture a vous.

Madame De Beau VivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant