Chapitre 2

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    Mon réveille sonnait , il devait être six heures , «Roh, mais où est donc ce maudit portable ?» , cette pensée ricochait dan ma tête , sans pour autant être exprimée par des mots , c'est vrai qui avait l'énergie suffisante pour pouvoir parler ...

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    Mon réveille sonnait , il devait être six heures , «Roh, mais où est donc ce maudit portable ?» , cette pensée ricochait dan ma tête , sans pour autant être exprimée par des mots , c'est vrai qui avait l'énergie suffisante pour pouvoir parler de si bon matin ! J'avais l'impression que , plus je mettais du temps à éteindre l'alarme , plus le boucan qu'elle produisait s'intensifiait , «il est là», _ eeett glissez pour éteindre l'alarme _ une bonne chose de faite . Je quittais mon lit douillet et me dirigeait vers la salle de bain , je me lavais le visage avec une eau glacée , en espérant que cela pourrait estomper les dégâts qu'engendrait une nuit blanche, ou presque , pour une fois que je passais la nuit les yeux ouverts pour une raison qui diffère de celle habituelle , et qui ne faisait pas de mes nuits de grands moments de réflexion et d'attente mais me troublaient au plus haut point.

     
    Mes nuits n'étaient pas les plus calmes , ni les plus paisibles , ceci se voyait sur ma tête le matin.
J'essayais de dompter ma chevelure lorsque mon frère commença à se plaindre «maaan, dis à Aurore de sortir de la salle de bain ça fait une heure qu'elle y est»,«Aurore  laisse ton frère entrer , et dépêche toi de t'habiller , tu vas être en retard», et c'est reparti...ça a toujours été comme ça , le cliché de l'adolescente qui restait trop longtemps dans la salle de bain , et pourtant cela ne faisait que quelques petites minutes que j'y était «moughai, ché bon , che sors» arrivais-je à "articuler" en ayant du dentifrice plein la bouche , je finis par sortir sous les «enfin» les «il était temps» et les «pourquoi tu mets autant de temps à te préparer?» de ma chère et bien aimée famille composée par ma mère Lili, mon père Renald et mon petit frère Adam . Je pris les vêtements que j'avais pris soin de préparer la veille (et je tiens à préciser que c'est ma mère qui m'avait obligé à les préparer ) , et mis enfin mes chères et bien aimées lunettes bleu nuit , sans qui je n'arriverais sûrement pas à voir la beauté ( et j'exagère un peu ) de ce monde si merveilleux ( et la je suis sarcastique ) , cartable sous la main je descends les escaliers à la vitesse de l'éclair et m'éclipse de chez-moi.

    Un cartable le premier jour , quelle idée mais je ne savais jamais où mettre mes mains
quand je marchais sans.

    Un cartable le premier jour , quelle idée mais je ne savais jamais où mettre mes mains quand je marchais sans

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Âme sœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant