Les premiers sentiment

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Un mois et demi sont passés, Bastien et moi avions décidé de nous voilé la face sur mes sentiments, c'était trop tôt pour être sûr de l'amour que j'avais pour lui. Mais pourtant je ressent bien quelque chose de fort en son égard, à partir du moment ou un homme est dans nos pensés matin, midi et soir c'est que les sentiments existent réellement. Lui, il n'y croyais pas, ce n'était que des mots au final.

09h00, je viens de me réveillé au côté d'Emy. Nous étions séparés pendant deux semaines, étant partie en vacance avec mon père, son absence était longue. Emy et moi dormions ensemble tout les week-ends, sauf quand je pars en Normandie.
Un réveil ordinaire pour moi, avec un rêve érotique, des bouffés de chaleur à tourner en rond toute la nuit.
J'allume la télé pour Emy et je lui met les dessins animés, pas que pour elle d'ailleurs, j'adore les dessins animés.
Il est 12h00 et mon iPhone sonne, SnapChat, son prénom apparaît, il m'a envoyé une photo de lui allongé sur son canapé à draps rouge, ce fameux canapé où il me faisait tellement de bien. Pas coiffé, tee-shirt blanc à rayure bleu, je m'imagine à l'instant présent d'être sur lui à l'embrasser et lui caresser les cheveux avec massages, tout ce qu'il aime, il est ma drogue, j'ai besoin d'une dose.

- 12h20 : Comment vas tu ?
- 12h21 : Je suis fatigué.
- 12h23 : Moi aussi...

Étrange, que lui arrive t-il , c'est une discussion sans phrases, juste pas plus de trois mots maximum par réponse.

- 12h30 : Monsieur désire t-il un massage peut-être ?
- 12h35 : Oui.
- 12h38 : Aucun problème, je peux venir immédiatement pour un massage spécial.
- 12h42 : Tu es sérieuse ?
- 12h43 : Oui, je le suis. Nous pouvons passer l'après-midi ensemble à regarder des films sous la couette ?
- 12h52 : Bien ! Mais je n'ai pas de film.

Chez lui, il n'y avais pas d'internet je devais donc ramener mon iPad en utilisant ma partage de connexion, j'ai préparé mon sac à main avec ce qu'il fallait et me voilà parti sous la douche, une petite surprise attendait Bastien, body à dentelle et talon à aiguille, j'ai sortie le grand jeux. Me voilà prête, direction Paris et pour y accéder c'est toujours la même chose, bus direction la gare, train puis métro, cinq à dix minutes de marches, 6 étages à pieds, je connais le trajet par cœur, je pourrais l'effectuer les yeux fermés.
Ce qui m'agace réellement c'est simplement que Bastien n'a jamais voulu venir chez moi, ni même me raccompagner quand je resté tard chez lui, je rentré en Uber à tard le soir. Ne jamais oublier, règle numéro 1, ne jamais dormir ensemble, malheureusement.

- Salut beau brun, comment tu vas ?

Je l'embrasse tendrement sur la joue, allongé sur son canapé avec cette impression qu'il n'a pas bougé d'un centimètre depuis sa photo de ce midi.

- Ça va et toi ? Dis moi Alice, j'ai l'impression que tu t'y ai faites à monter tout les étages. Me dit-il avec sourire, il adore me charrier, c'est sûrement sa façon de me montrer qu'il tiens à moi.
- Tu es drôle dis moi, tu as mangé un clown ce matin ?
- Tu me fais un massage s'il te plaît ?
- Aucun problème, enlève ton tee-shirt et passe moi ta crème.
- Je te préviens, je risque de m'endormir.
- Aucun problème, repose toi.

J'attrape la crème et j'en verse doucement sur mes mains, ainsi je commence le massage délicatement... Je contemple son dos, il avait ses bras au-dessus de sa tête et le regard sur le côté. Mon massage devait être parfait, Bastien commencé déjà à s'endormir. Qu'il est beau, même endormie, ses courbes parfaites, ses épaules larges et fortes, un dos parfait sans l'ombre de bouton ou de cicatrice, j'ai embrassé délicatement son dos ainsi que sa nuque puis Bastien commencé à bouger, je devais le réveiller c'était plus fort que moi, je n'avais qu'une seule idée en tête, de sentir son penis dure dans ma bouche, jolie réveil n'est-ce pas ?

Il faisait légèrement froid, j'ai recouvert Bastien d'un léger plaide puis je m'installe à côté de lui. C'est étrange, c'est la première fois que nous couchons pas ensemble directement, d'habitude l'envie est trop forte pour y résister.

Nous avions dormit 1h30, le réveil fut très chaude. Il s'est retourné vers moi afin de m'enlacer, un léger baiser sur mon front suivie de tendre caresse sur l'épaule, pour rien au monde je voudrais être ailleurs. Il commença à s'agenouiller sur le lit, puis à me déshabillé doucement, Bastien été complètement nue à côté de moi et n'attendait qu'une seule chose.
Je me redresse pour le prendre dans mes bras, et tenir son visage entre mes mains afin de l'embrasser tendrement.
Bastien parcours mon corps avec sa langue, il commença par mes lèvres, le nombril et commença à me lécher mon clitoris, je sentais ses lèvres m'embrasser entièrement mon entre jambes, je perd le contrôle, j'attrape tout ce que je peux attraper autour de moi, à commencé par les draps, puis les oreillers et pour finir sa chevelure, j'ai totalement défait son lit.

- Oui, je t'en supplie, continue.
- Tu aimes ?
- J'adore, ne t'arrête pas s'il te plaît...

Son jeu de langue fut sensationnel, arrivé là je ne contrôlais plus rien et mon corps était incontrôlables j'allais jouir, mouillé ses draps et hurler tellement fort que les voisins m'aurait entendu.

- Bastien, STOP ! Viens près de moi, rapproche toi.

Je l'ai embrassé tendrement, ma bouche descendait doucement vers son érection, des vas et viens dans ma bouche, je le sucer en profondeur que j'entendais Bastien jouir de plaisir et faire de petit gémissement. Ma main qui suivait le rythme de la bouche, je pourrais rester là, des minutes et des heures entières à l'entendre jouir.

- Alice, viens près de moi, allonge toi sur le ventre.
- Prends moi en levrette, maintenant !

C'est ce qu'il a fait, Bastien me retourne délicatement puis me pénétra lentement, centimètre par centimètre, puis le rythme change, de plus en plus vite, mes fesses claquant contre son bas ventre. Il me retourna puis m'allonge sur le dos, mon sang bouillonné, c'était si différent de d'habitude, il n'y avais pas que du hard, c'était à la fois sensuel et bon.
Bastien se positionne derrière mois, j'ai senti sa forte érection contre moi et à ce moment précis je ne contrôler plus rien, il me mis un doigt, puis deux doigts de pénétrer dans ma partie anale.
Nous sommes l'un à côté de l'autre, nos corps ce frottez ensemble et nous étions tous les deux en orgasmes, Bastien me pénétra profondément sans plus aucune caresses, il était temps pour lui comme pour moi d'accélérer le temps. Je tourne ma tête pour trouver ses lèvres et nos regards ce sont croisés, Bastien me claquer fort les fesses et son pénis étant tellement grosse que je hurlait de plaisir, la meilleure pénétration anale de ma vie.

- Ça va ? Me demandait Bastien, inquiet de ne plus m'entendre.
- Oui, très bien même, laisse moi du temps pour m'en remettre, je suis bien dans ton lit.

Il est sortie du lit pour aller à la douche, moi je suis resté allongé dans son lit afin de me demander ce qu'il c'est réellement passé entre lui et moi à l'instant, c'était tout sauf de « l'amusement ». C'était très intime, sensuel, comme deux personnes qui s'aiment réellement.
Qu'essaie t-il de me faire comprendre ?

Une fois parti de chez lui, j'étais très heureuse mais en même temps très curieuse avec encore d'énormes question en tête, j'ouvre l'application Deezer et j'écoute ma musique sur le chemin du retour, en ce moment j'écoute énormément Rihanna, talentueuse chanteuse américaine. Musique d'amour, trahison, sexe, drogues.

Me voilà arrivé chez moi, je vais retrouvé mes esprits et rester avec mon père, ma belle mère et Emy.

- Coucou Papa, c'est moi je suis rentrée.
- Comment vas ma fille ?
- Je vais très bien, et toi tu as passé une bonne journée ?
- Oui, j'étais en sortie avec mes amis nous avons bien rigolé.
- Bien bu aussi, j'imagine.

Mon père passe son temps avec ses amis, il n'est pratiquement jamais à la maison et il a raison d'en profité, rester chez sois peux parfois nous faire vite déprimé, je le sais car je déprime souvent, ayant pas d'amis ici encore je peux vite m'ennuyer.

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