Je suis en Normandie, chez une amie nous sommes parties faire du Shopping, dans sa ville de naissance mais allais-je lui envoyé un message... Je n'ai aucune nouvelle de lui après notre après-midi chez moi.- 16h18 : Tu es chez tes parents ?
- 16h41 : Non
- 16h52 : Tu fais la gueule ? Aucune nouvelle de toi ...
- 17h55 : Non
- 18h35 : J'ai l'impression, aucune nouvelle, on ne s'est pas vue de la semaine...
- 18h37 : Je vais être transparent avec toi... Je réfléchis beaucoup à peut-être arrêté notre relation. En pleure en seulement deux minutes, mon amie m'a aperçu triste et énervé.
- Ça ne vas pas Alice ?
- Non, Bastien m'annonce par message la fin de notre relation, sans aucune pitié pour moi, ça veux dire quoi, que je suis le genre de femme à être jetée par message..
- Ne lui répond plus, tu te fais du mal toute seule.Mes larmes coulent à flot, je ne m'arrête pas, que c'est t-il passé en seulement une semaine, comment arriver à le comprendre. Il m'est impossible de ne pas lui répondre, c'était plus fort que moi.
- 18h53 : Achève moi maintenant, dis moi les vrais raisons s'il te plait
- 18h57 : Ce qu'on fait ne vas pas aboutir à une vraie relation, qu'au final c'est aussi te faire souffrir car j'aimerais me poser et arrêter mes conneries.Je mis fin à la discussion, décidant de le supprimer des réseaux sociaux et également son numéro de téléphone.
Mon week-end gâché à sombrer dans l'alcool et pleurer, je n'arrivais pas à comprendre ce qu'il s'est passé. Je pouvais m'attendre à tout sauf ça, il aurait pu un minimum être mature et m'en parler autour d'un verre en essayant de me rassurer. Ne voulant plus me parler après tous nos délires, rigolades même si nous étions pas un couple, un minimum de compréhension de peine, rien, aucun remords, il n'a même pas essayé de m'appeler pour me rassurer, je le déteste.Ce soir, soirée avec mes amis et ma meilleure amie, il est l'heure de m'acheter une tenue, alcool, ainsi il est l'heure de me vider la tête.
- Salut Sophia, tu m'as tellement manqué
- Toi ça ne va pas du tout, je suppose que c'est Bastien qui en est là causse.
- Je n'ai pas envie d'en parler, amusons nous !
- Il à de la chance de ne pas me connaître, quel être humain ose réagir ainsi, c'est de l'immaturité, qu'il décide d'arrêter je comprends mais je suppose qu'il t'a juste envoyé un message... J'ai raison ?
- Tu as raison. S'il te plaît, j'ai besoin de penser à autre chose.La soirée commence, ma copine nous a préparé un très bon plat à base de pomme terre, de lardons. N'ayant pas faim, mon verre ce vida très rapidement. Sans faire attention, je deviens très vite soûl.
- Alice, arrête de boire c'est inutile.
- De quoi tu parles, je vais bien.
- Je te connais par cœur, ça ne vas pas du tout.
- Ne t'en fais pas, je suis une grande fille.Je me suis mise à danser sans aucune musique ni aucune raison, histoire de me vider la tête, je senti vite l'alcool monter et quand je suis soûl j'ai tendance à être triste, mal à un point où je pleure tout en m'énervant. Je ne devais pas être ainsi, ma meilleure amie, son mari, son enfant, tout le monde était là à me fixer du regard en se demandant simplement à pourquoi je suis entrain de me mettre dans un état seconds pour un malheureux mec.
Lundi, à mon retour sur Paris en direction du travail, bien évidement c'est à ce moment là que tu ne veux pas voir une personne et que tu ne fais que la croisé et ça dans n'importe qu'elle circonstance, je ne vivais plus, plus d'envie de rire, de manger, j'étais vide et lui me paraissez apaisée, bien, il vivait pendant que je sombré dans la haine et la tristesse la plus profonde qu'il soit.
Je n'ai pas craqué, j'ai décidée de ne plus lui parler et de laisser le temps faire les choses, sans aucune nouvelle de moi, me voyants plus le regarder ni même lui adresser un mot, il essaya de revenir vers moi mais je restait silencieuse.
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Jeux Secret
RomanceAlice, 30 ans viens d'arriver en région parisienne pour recommencer une nouvelle vie mais tout n'arrive pas seule, sa vie va être chamboulée après une rencontre inattendu au travail. La vie n'est pas une histoire à la 50 nuances et pourtant cela c'e...