Après un repas aux aspects conviviables, je m'empressais de rejoindre mes nombreux chapitres à révisés avant l'examin. Il était sûrement déraisonnable de poursuivre l'apprentissage jusqu'à l'apparition des étoiles et bien plus tard, seulement le par coeur insensé pourtant nécessaire me demandait des heures infinies à relire mes cours.
Les faisceaux de la lampe de mon bureaux éclairaient avec force les prises de notes de la classe de littérature. Je commençais mollement à ressentir la fatigue accumulée ces derniers jours où ma vie se résumait aux cours, révisions, besoins vitaux. Ma tête se courba lentement vers l'arrière ce qui suffit à ces quelques secondes de répit de penser qu'il était temps de cesser ce bourrage de crâne pour cette fois. M'apprêtant à ranger mes affaires, mon regard fut attiré par la fenêtre face à la mienne, seules se faisant face de ces façades bien trop proches. A quelques mètres en dessous se trouvait la rue bien plusqu'étroite, cause de la division du bâtiment et donc de l'existence de deux immeubles bien distincts.
Face à mes orbes curieuses se trouvait la plus charmante créature que la Terre ai receuillie. Un homme, un jeune homme, au torse dénudé, fin et doré. Ses cheveux châtains lui carressaient la nuque et ses sourcils. Il ne me voyait pas, mais je ne pouvais voir que lui. La lumière de sa petite chambre éclairait d'un halô majestueux sa shilouette délicate. Il enfila un tee-shirt blanc, bien trop grand, secoua sa tête de droite à gauche et se tourna en mon sens.
Mes joues rougirent instantanément par peur d'être pris la main dans le sac à contempler mon nouveau voisin plutôt séduisant. Fort heureusement il semblait bien trop préocupé à remettre de l'ordre dans quelques affaires pour m'apercevoir. C'est alors que j'eu l'occasion de scruter son visage parfait, aussi bien ses lèvres pulpeuses et si joliment déssinées ainsi que son nez foutrement charmant. Sa mâchoire se contracta faiblement, comme si il était agacée pour une raison qui m'était complétement inconnue. Sa mâchoire si agilement dessinée appelait la pulpe de mes limpes à la chouchouter...
Rouge de honte je tentais de ne pas voir naître de telles pensées envers un inconnu. En posant mes mains sur mes joues je me rendis compte de leur chaleur soudaine dût à mon embarras. En secouant la tête je rangeais mes affaires à grande vitesse et me réfugiais dans mon lit tout en prenant soin d'éteindre la lumière.
Pourtant loin de cette vision charmante mes joues continuaient de chauffer affreusement. Putain Jungkook la fatigue se joue décidement de toi.
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Holà ! merci de lire ! j'avoue que ça me fait vraiment étrange d'écrire en pdv interne mais bon j'voulais essayer... (:
si y'a des lecteurs n'hesitez pas à laisser un commentaire ou quoi hein !
tchao