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Hello tout le monde,
Voici un nouveau chapitre, je suis désolée pour le temps mais le temps me manque... j'espère qu'il vous plaira.
Gros bisous 😘

Ma porte de sorti... Mais comment ? Comment peut t'il m'aider à sortir de ce trou ? Ok, il connais les lieux, il sais où nous sommes, il sais comment me faire sortir d'ici. Mais le feras t'il vraiment ? Il m'a tout de même dit qu'il aimais sa femme. Que c'était la femme de sa vie même si j'ai vraiment du mal à croire que cette vieille peau ressente autre que de  l'arrogance et de la jalousie.
- Stéph, tu nous écoutes ? Demande Carmen
-  Absolument pas.
- pourquoi ça ne m'étonne pas ? Dit Jules
- Excuse moi Musclor Mais je vois pas du tout comment il peut me faire sortir d'ici ? On parle de son père, le mari de cette folle !
- Justement ! Il en a marre, puis quand Jackson ta poignarder il se sentais tellement coupable qu'il partais tout les matins à l'hôpital et revenais le soir. Il ne voulais pas que Jackson sorte de prison, il ne voulais pas que ton combat contre lui se réalise. Á ton avis qui a mis le FBI au courant ?
Alors c'est lui, c'est pour ça que les agents sont venue à ma rencontre.
- Je comprend pas. C'est son fils. Pourquoi vouloir que son fils reste en taule ?
Carmen et son fils se regardent, Jules s'assied face à moi tandis que Carmen me tend un verre avec un liquide verre.
- C'est quoi ce truck ? Demandai je
- Boit et écoute !
Je prend le verre dans ma main et regarde son contenue, je le met en bouche et je dois avouer que c'est plutôt pas mal du tout.
- Une chose importante que tu dois savoir est que Jackson n'est pas son fils, enfin pas biologique.
- Il a été adopté. Dit Jules en coupant sa mère
- Elle ne pouvais plus avoir d'enfants, durant sa dernière naissance il y a eu des complications, le médecin lui a dit qu'il lui était impossible de tomber enceinte une nouvelle fois. Cette nouvelle l'a brisée, elle désirais tellement un garçon. Elle est tombée en pleine dépression, Elle ne s'occupait plus de ses enfants, ils étaient á l'abandons.
- Tout les jours elle restais enfermée dans sa chambre, Elle ne sortais que très rarement. Lui, il était impuissant face à la situation, alors Il á décider d'agir. Il est parti en Pologne, puis á son arrivé il tenais un bébé dans ses bras, Jackson.
- Si tu voyais le changement de cette femme. Elle était aux anges, Elle riais, chantais, dançais. Elle a même commencer à sortir et á s'occuper de tous ses enfants. Puis Jackson grandissais moins sont père avais du pouvoir sur lui. Il fessais ce qu'il voulais, il savais que quoi qu'il arrive sa mère le couvrais.
- Il á commence à voler, se battre, á être exclues des écoles. Puis tu est arrivée et il a complètement peter les plombs mais elle le défendais. Elle disais même que c'était de ta faute s'il t'avais fait du mal à plusieurs reprises.
- Bah voyons ! Dis je en levant les yeux aux ciels
Cette femme est complètement malade
- Le vieux s'est senti effacé, je crois même qu'elle ne l'aime plus, elle est avec par pitié.
Ça doit être horrible à vivre. Cette sensation de savoir que quoi qu'il arrive la personne qu'on a aimé ne nous aimera pas de la même façon. Voir la personne qu'on aime, qu'on a aimer, nous tourner le dos doit être la chose la plus difficile à vivre.
- Tu comprend pourquoi cet homme est ta porte de sorti ?
Je fais signe de la tête que j'ai bien compris.
Elipse de la journée.
Je suis couchée dans mon lit lorsque quelqu'un toque, je lui demande d'entrée et lorsque j'aperçois le père de Jackson je me lève d'un bon et j'ai même du mal à tenir sur mes jambes. Qu'est ce qu'il fait la.
- Désolée de te déranger mais j'ai réussi à t'en avoir un plus tôt que prévu.
Il sort de sa poche un téléphone puis me le tend. J'arrive pas à croire ! Est ce vraiment un téléphone ?
- La ligne est sécurisé, par contre tu dois le cacher et surtout ne laisse pas Jackson le voir ou même soupçonné que tu en possède un.
- Promis.
Il me souris puis sort de ma chambre.
Moi, j'ai l'air con, je fixe le téléphone avec un sourire jusqu'au oreilles.
Je compose le numéro et colle le téléphone à l'oreille. Les sonneries se font entendre jusqu'à á ce que j'entende sa voix. Mon coeur commence à battre tellement fort que j'ai l'impression qu'il va bientôt sortir de ma cache thoracique.
- Allo !? Dit la voix.
Je prend une forte inspiration.
- C'est moi.
Silence, je crois qu'il comprend pas très bien.
- Stéphanie !?
- Oui. Chuchotai Je
- Oh mon dieu mon coeur, dit moi ou tu est ?!
- Je ne peux pas.
- Comment ca ?
- Car je ne sais pas vraiment où je me trouve mais écoute moi car je n'ai pas beaucoup de temps. As tu reçu ma lettre ?
- Ouais ! Un mec chelou qui est soit disant médecin nous l'a apporter. Tu est malade ?
Dois je lui dire ? Non ! Je ne veux pas le faire par téléphone, je veux être présente, voir sa réaction.
- Un truck de rien du tout. Je vais bien. Á tu trouver ce que je t'ai demandé ?
- Si j'aurai su que c'était ca jamais j'aurais ouvert ce bouquin! Tu te rend compte ? Ta peter les plombs ? Depuis quand tu me demande de prendre Matthew et fuir ?
- C'est très important ! Si les choses tournent mal je veux que tu parte, promet le moi.
- Jamais !
J'entend du bruit derrière ma porte.
- Je dois raccrocher, surtout n'appelle pas. Je t'aime tellement.
- Je....
je ne lui laisse pas le temps de répondre que je cache en vitesse le téléphone. Jackson comme à son habitude entre sans toquer.
- met un manteau on sort.
- On va ou ?
- Dépêche toi.
J'allais répondre mais ce con sort de ma chambre. Arggggg si seulement je l'avais tué ce merdeux. 
Cependant je fais ce qu'il me dit, prend une veste en jean puis sort de ma chambre. Je le retrouve nez collé sur son téléphone devant laporte  d'entrée. Lorsqu'il me vois il me souris, j'ai envie de lui casser les dents Mais je me retiens.
- On va ou ?
- En ville, je me suis dit qu'un peu d'air frais te ferais pas de mal.
Il a raison, depuis que je suis venu ici de mon plein gre j'ai l'impression d'étouffer. Puis ca m'aidera beaucoup si je veux sortir de ce trou.
Il ouvre la porte et sors, je le suis jusqu'à une Gross 4x4 noir. Bien évidement nous ne sommes pas seuls, cela m'aurait étonné. Il fait parti de la mafia donc il est bien entouré, un peu trop à mon goût. Il y a des gardes un peu partout ce qui peut rendre ma fuite un peu difficile mais selon Carmen si son père veux m'aider il trouvera une solution et j'espère bien. Nous sommes sur la route depuis environ 15 minutes lorsque la voiture s'arrête. Je ne sais pas où nous sommes mais j'ai tout de même retenue le chemin. La porte de la voiture s'ouvre, signe que je dois sortir. Je suis en plein devant un parc, immense je dirais. Jackson me fait signe de la tête de le suivre ce que je fais. Nous marchons dans le silence toujours accompagnées par des chiens de gardes. Je dois avouer qu'on est pas du tout discret, imaginez vous deux secondes. Vous êtes la avec vos amis ou votre famille et vous voyez débarquer une femme avec un homme et juste derrière cinq mecs tous remplis de muscles habillés en noir avec des armes à la ceinture. Ça fait peur. J'ai l'impression d'être dans un film sauf que moi je suis dans la vraie vie. On passe devant une femme qui tiens dans ses bras son bébé, cette image me touche car je m'imagine moi tenir mon fils. Elle nous regarde bizarrement, en même temps je la comprend puis s'en va.
- Tu aime ?
- de quoi ? Demandai je
- La vue.
Je regarde face à moi et je dois dire que la vue est splendide, un lac se trouve face à nous, des cisnes et des canards nageant tranquillement. Certaines familles font du canoë ou du pédalo ce qui a l'air vraiment sympas. Je peut entendre les gens rires, s'amuser et discuter.
- C'est beau... dis je le regard toujours fixer droit devant.
- J'aime voir cette lueur dans ton regard. Si seulement je pouvais la voir tout les jours.
Je ne répond pas, Car il sais que avec lui c'est impossible.
- Tu sais, je suis jaloux de la relation que tu as avec Felipe. Je me suis toujours demandé pourquoi tu ne me regarde pas comme tu le regarde. Pourquoi tu ne me touche pas comme tu le touche ou pourquoi tu ne m'aime pas comme tu l'aime.
- Tu veux que je te disse le pourquoi ?
- Oui.
Je décide de m'assoir sur un banc et il fait de même, ses gardes sont un peu plus loin mais toujours le regard méfiant.
- Je dois t'avouer qu'au tout début je ne l'appréciais pas tellement. Puis j'ai appris à le connaître et je suis tombée amoureuse de lui. Je ne saurais te dire pourquoi mais il sais me rendre heureuse, ne faire rire dans les pires moments mémé s'il m'a fait beaucoup souffrir.
- Mais pas comme moi.
- Tu voulais me tuer, tu m'a suivis dans une ruelle et tu m'a poignarder. Tu sais qui était la ? Il était la, de loin mais il l'était. Ma mère l'avais obliger a me suivre, alors il t'a vue me poignarder. C'est grâce à lui en quelques sortes si je suis vivante, il a appelé les secours tandis que toi tu n'étais pas la. Tu avais fuit. Même si ma mère était horrible avec moi, elle m'a fait faire des choses moches mais c'est un peu grâce à elle si je l'ai rencontrer. Comment tu peut dire aimer une personne et vouloir la tuée ? Ca n'a aucun sens ! Puis á l'époque j'étais jeune tu crois vraiment que je voulais quelques choses avec quelqu'un ? Je ne pensais même pas à avoir un petit copain ou quoi que ce soit. C'est vrai que je n'ai pas été très sympas avec toi Mais de la á vouloir me tué c'est un peu trop pour moi. Comment tu voulais que après ça je me mette en couple avec toi ? Tu l'aurai fait toi ?
- Je n'ai pas toujours été d'accord avec ta mère, au tout début quand je l'ai rencontrer je ne voulais pas te faire du mal, mais tu me résistais puis ton père était affreux avec moi. Puis il m'a virer alors j'ai vue rouge et ce soir la je ne savais pas ce que je fessais. Je n'était pas dans mon état normal. Je voulais le punir lui mais au final celle qui a le plus souffert c'est toi. Je sais ce que tu pense de moi ! Je sais aussi ce que c'est d'être á ta place, Mais met toi un peu á la mienne. C'est horrible de savoir qu'une personne qu'on aime ne nous aime pas en retour. Je n'arrivais même pas á te voir discuter avec un autre garçon ça me donnais des envies de meurtres. Alors je me suis venger sur toi, car tu ne me voyais pas ou si tu me voyais tu ne me donnais aucune attention.
- Pourquoi Tu est comme ça ?
- de quoi tu parles ?
- Pourquoi tu fais parti de la mafia? Pourquoi tu te comporte comme le parfait idiot ? Pourquoi Tu m'a fait venir ici ?
- Quand j'avais 16 ans, mon père avait perdu son boulot, ma mère mourrais  petit à petit, elle était habituée a toujours vivre dans la richesse puis du jours au lendemain elle avais plus rien. Je me sentais impuissant alors j'ai quitter l'école et j'ai commencer à vendre, puis à en consommer. Ma mère était au courant mais elle n'a jamais rien dit. Elle me protégeais, comme toujours. Pour rentrée dans ce milieu, je devais être le parfait connard, alors j'ai réussi à le devenir et j'aime être comme ça. Puis voir ma mère de nouveau heureuse n'avais pas de prix alors j'ai continuer et me voici. Je sais que le reste de ma famille n'aime pas trop ce que je fais, ils n'aiment pas vivre de l'argent sale mais c'est le seul qu'on a donc ils font avec. Puis tu sais comment nous nous sommes rencontrer, tu était le fruit défendu, tu attirais l'attention sans même te rendre compte. Alors j'ai voulus marquer mon territoire mais voila que mademoiselle ne se laisse pas faire, c'était pour moi un défi mais je n'ai pas su le gérer. Alors j'ai fait  n'importe quoi, d'ailleurs je continue d'en faire. Car ça me rend malade de savoir que tu est la seule qui me résiste. Quand je sors toutes les nanas me collent au cul mais toi tu me botte le cul ouais. Tu est un défi, le plus grand de toute ma vie et je ferais tout pour réussi à t'avoir.
- Tu crois que c'est en m'enfermant que tu y arrivera ?
- Pourquoi pas ? Á un moment ou á un autre tu cedera.
- Et si je ne le fait pas?
- Tu le fera crois moi. Tu ferais mieux de commencer, pour ton bien mais pas seulement.
Il se lève puis commence à partir, je sais que je dois le suivre mais ses derniers mots ont sonnée comme une alerte. Il faut absolument que je prévienne ma famille car je sais qu'il manigance quelque chose.
De retour à la maison, je ne me suis pas précipité dans ma chambre car je sais qu'il me surveille. Donc je suis assise face à Carmen tout en mangeant. Bien évidement je lui ai raconter ce qu'il c'est passée un peu plus tôt et elle est du même avis que moi.
Jules apparaît dans la pièce remplis de sang. C'est quoi ce bordel? Lorsque Carmen vois sont fils dans cet état elle éclate en sanglot. Sans perdre une seconde son fils la prend dans ses bras même s'il est tâcher. Cette image me donne les larmes aux yeux. Mais ce qui retiens mon attention c'est tout ce sang. D'où proviens t'il ?
Jules s'écarte de sa mère et retire son t shirt  qu'il fou à la poubelle. C'est vrai qu'il est très bien foutus, il a des abdos mon dieu ! Euh Stéph calme tes hormones !!!
- Qu'est ce qu'il c'est passée ? Demande Carmen ce qui me retire des mes pensées.
- Rien maman. Oublie.
- Je n'aime pas quand tu rentre dans cette tenue. Qu'est ce qu'il t'a encore demander de faire ? Demande t'elle en s'énervant.
Je n'avais jamais vue Carmen parler ainsi à son fils.
- très bien, tu veux savoir ? Je vais te le dire. Jackson nous à demander d'aller chez son rivale, on á tuer dix personnes ! Contente ?
Sans laisser le temps de répondre Jules quitte la salle en laissant sa mère une fois de plus en pleurs. Je la prend dans mes bras et lui caresse le dos. Ca doit pas être facile pour elle de savoir que son fils tue des gens.
- Je... n'aime pas quand il est comme ça. Tu peut aller lui parler ?
- Moi ? Pour lui dire quoi ?
- J'en sais Rien. Trouve quelque chose. Dit t'elle en s'écartant de Moi.
Je souffle car ca m'énerve. Je peut comprendre qu'elle n'aime pas voir son fils dans cet état mais de la á me demander d'aller lui parler je comprend pas. Qu'est ce que  je vais bien pouvoir lui dire ?  On se connais pas tellement. Bon ok, apparement on était amis plus jeunes mais je ne m'en souviens pas. Je monte les escaliers et me retrouve face à face avec un Jules complètement différent. Son regard est sombre. Je connais ce regard. Je connais cette respiration. Jules á le même problème que moi.
Je décide de m'assoir sur les escaliers. Je peut entendre sa respiration qui est très bruyante, j'espère juste qu'il ne commence pas à trembler de partout car moi et mon petit corps tout maigre n'arriverais pas à le soulever.
- Je n'aurais jamais cru que ma vie soit si compliquée. J'ai toujours cru étant petite que j'allais vivre comme une vraie princesse. Que mon prince viendras sur son cheval blanc et m'emmènerais très loin d'ici.Mais apparemment c'est le dragon qui m'a kidnappé.
Sans m'y attendre j'entend un rire. Quelques secondes plus tard Jules s'assied à mes côtés.
- Comment ta su ?
- J'ai le même soucis sauf que me parler ne sert à rien.
- Et tu t'est dit que ça marcherais avec moi.
- J'ai souvent raison.
On se met à rire lorsque Jackson se trouve face à nous d'un air mécontent.
- Je peut savoir ce qui vous fait rire ?
Jules deviens blanc, quand à Moi j'ai un sourire moqueur
- Ta tronche.
Jules me regarde les yeux grands ouverts alors que moi je pouf de rire.
- Je te demande pardon ? Dit Jackson qui a l'air un peu énervé.
- Oh ca va ! Si on peut plus rigoler dans cette baraque vaudrais mieux nous flinguer et basta ! Dis je en me levant et en entrant dans ma chambre.
Cette journée m'a épuisée. Sans plus attendre je m'endors comme un bébé.
Je me réveille assez fatiguée et pourtant j'ai dormi comme un bébé. Je me frotte les yeux et me sors du lit. Je puisse un petit cri lorsque je vois Jackson debout près de la porte de ma chambre.
- Bordel de Merde, j'ai faillis avoir un arrêt cardiaque !! Qu'est ce que tu fou la?
- On quitte le navire !
- Quoi ?!
- Fait ta valise ! Dans 10 min On part !
Je n'ai pas le temps de répondre qu'il quitte ma chambre. Carmen entre puis se dirige vers mon armoire et sors un sac de sports et y fou des vêtements !
-  Carmen, il se passe quoi ?
- Tien enfile ça !
Elle me balance un jogging noir et un débardeur de la même couleur.
- Carmen !!! Criai je
Elle se stop puis s'assoi sur le lit.
- Le clan rivale de Jackson a décider de répondre à son attaque !Ce matin   trois gardes étaient morts ! Il faut qu'on parte !
- Mais je ne peut pas !! J'ai appeler Felipe puis comment on va faire pour fuir ?! Si je pars plus jamais je reverrais ma famille ! Et mon bébé alors ?
Elle se lève puis me prend dans ses bras tandis que moi je commence à pleurer. Je déteste ses foutus hormones !!
- On trouvera une solution Mais On doit partir.
Je quitte ses bras puis me dirige vers la commode de ma chambre et y sort le téléphone que le père de mon ravisseur m'avais donné la veille.
Je le cache dans mes chaussettes et quitte la chambre en compagnie de Carmen ! Une fois en bas tout le monde est prêt, toutes sa famille est présente. Jules commence à charger les voitures tandis que Jackson distribué les voitures.
- Stéph tu ira avec Carmen et Jules.
Dieu merci !!! Je n'aurai plus à le supporter. Je monte dans la voiture, Jules est côtés passager, je suis installer derrière avec Carmen et un garde, un deuxième s'installe côtes conducteur. Je ne sais pas pourquoi mais je sens que ce voyage ne se fera pas aussi tranquillement que ce qu'on pourrais croire. Toutes les voitures commencent à partir, certaines quittent la route, elles se divisent sûrement pour ne pas se faire repérer. Personne ne parle dans la voiture, le silence est pesant et j'ai l'impression d'étouffer. La voiture qui se trouve devant nous quitte á son tour la route. Le conducteur s'arrête au feu rouge et cette sensation que j'ai en Moi ne me quitte pas. Alors que le feu passe au verre un camion nous rentre dedans. Le choc, l'accident, puis plus rien.

La seule chose que j'entends c'est Jules, il crie le nom de sa mère. J'ouvre avec difficulté les yeux, j'ai mal, ma tête me cogne. Avec ma main je la touche et j'ai du sang. Est ce le miens ?
- Maman, l'ambulance arrive tiens bon. Dit Jules
- Qu'est ce...
- On á eu un accident Et dans même pas 5 min une équipe viendra nous cherche et on se fera kidnappé. Me dit t'il.
Il a raison. Quelques minutes plus tard une grosse voiture s'arrête et des hommes sortent en courant très armées. Ils assomment Jules qui tombe à terre, deux hommes Le portent puis deux autres hommes se dirigent vers nous.
- Elle est la ! Dit un des deux hommes
Je sais qu'ils viennent pour moi. Ils se baissent puis me portent. Je n'arrive pas a bouger.
- Carmen... chuchotais je
Ils n'ont pas le temps de me répondre que j'entends la sirène des ambulances. Ils me foutent dans la voiture, Jules me prend dans ses bras et me demande si je vais bien ainsi que le bébé. Mais je ne sais pas. Je pose ma main sur mon ventre puis sombre dans un sommeil. Je suis dans un état de choc. Je sens une main me caresser les cheveux puis plus rien...

SMITH TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant