DIANA (z.m)

CHAPITRE 25

Précédemment...

Moi : Quel est ton ingrédients secret mon dieu ! dis-je d'un ton très faible.

Son sourire de compassion se change petit à petit en un sourire diabolique, méchant, sadique.

Nathan : Oh mon ingrédients secret ?

Il me caresse la joue.

Nathan : Quelques somnifères et quelques drogues pour t'endormir, rien de grave chérie !

Je ne put rien répliquer que mes paupières se fermèrent contre ma volonté. Je tombe alors dans un profond sommeil.

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J'ouvre difficilement mes yeux essayant d'examiner l'endroit où je me situe. Je ne reconnaît rien car ma vue est trouble. J'essaye de rapprocher mes mains de mes yeux sauf que j'ai l'impression qu'elles pèsent une tonne. Je rassemble toutes mes forces pour lever mon bras droit et, difficilement j'atteind mes yeux. J'avais mal partout, à chaque muscles, chaque os, chaque nerfs de mon corps encore tout engourdie depuis le temps indéterminé que j'étais là dedans. Et j'étais sale ! Très sale, les mains noirs de saleté et les habille tout crasseux... Je frotte avec ma main mes paupières sèches pour amélioré ma vue. Je commence à comprendre que je ne suis pas chez moi, ni dans un endroit que je connais. Je découvre petit à petit que ma vue s'améliore un grillage m'entourant, formant une sorte de petite cage ne dépassant pas les trois mètres carrés. J'étais adossé contre les carreaux du grillage rouillé et décomposé certainement par le vieillesse. Le sol était fait de béton mal fait,recouvert de poussières et de terre sèche. Je pouvais même apercevoir le nombre élevé de toiles d'araignées qui grouillaient au dessus de moi. L'endroit ou j'étais était très sombre et l'unique lumière venait d'un trou, ou plutôt d'une petite fenêtre. Je savais alors qu'il faisait jour. J'étais dans une pièce, enfermé dans une cage répugnante, mais pourquoi ? Qu'elle heure était il, où j'étais et puis combien de temps j'étais ici ? Je me posais tout sorte de questions dont je n'avais pas la réponse.

Je fut alors interrompu par un bruit, une porte grinçante qui venait de s'ouvrir. Puis des pas, qui devenait plus fort quand la personne approchait de moi. Je put alors voir des pied puis tout une silhouette. Un homme se tenait devant la cage, dos à la lumière ce qui m'empéchais de voir les détail de son visage. Il s'éloigna de l'autre côté de la salle pour allumer les lumières de ce mystérieux endroit.

Il revint ensuite devant moi et je put découvrir avec surprise son visage.

Nathan.

Et là tout me revint à la mémoire. Chez lui, quand je me sentais mal et le pire, quand il m'a dit qu'il m'avait donné des drogues et somnifères.

Pris d'énervement et de peur, je voulais l'engueuler et lui crier dessus mais j'étais trop faible.

Moi : Nathan... non..

Des larmes se logèrent au coin de mes yeux. Je rapprochait mes genoux à ma poitrine mettant ma tête dedans.

Qu'est ce qu'il pouvait bien se passer ? Était est-ce un de ces cauchemar ou l'on n'a qu'à se pincer ou crier pour se réveiller ? Non c'était bien la réalité. Et je pouvais crier autant que je peux, je ne me réveillerai pas dans mon lit, au chaud.

Nathan : Salut ma belle ! me dit il doucement.

Pourquoi me parlait il comme si cette situation était tout à fait normale ?

Moi : Qu'est ce que tu as fait de moi ?...

Nathan : Je te donnerai toutes les réponses que tu voudras, mais d'abord il faut que tu te repose.