Lemon et FIN

1.1K 39 22
                                    

Après être arrivés comme des fusées, dans les appartements d'Arthur, avoir verrouillé la porte, le prince jeta Merlin sur le lit, l'embrassant à en perdre haleine. Il comptait bien lui prouver qu'il l'aimait toujours et à quel point il pouvait être désolé. Sans prévenir son serviteur, il alla lui retirer son foulard, pour ensuite lui mordre le cou, et lui laisser une jolie trace violacée. Le blond ne s'arrêta pas là, il lui enleva rapidement sa veste et sa tunique, et s'amusa à lécher chaque partie du torse de Merlin, lentement, excessivement lentement. Le brun commençait à pousser des petits gémissements réguliers, et commençait à devenir dur, au point il avait envie de supplier Arthur d'aller plus vite, mais cette petite torture lui plaisait également, alors il continua à exprimer son plaisir.
Après ce qui lui sembla être de longues minutes, l'héritier de Camelot se décida à lui ôter ses bas, et reprit ses soins en prenant moins son temps, car il commençait à se sentir à l'étroit lui aussi. Le sorcier l'ayant remarqué, il voulut lui faire plaisir également, mais son amant le maintenait allongé sur le lit, lui faisant comprendre qu'il tenait à se faire pardonner. Il n'insista pas plus longtemps et se laissa faire. Il dû se retenir de pousser un trop grand gémissement quand Arthur eut prit son membre dans sa bouche et commença à faire des vas et viens assez soutenu. Le serviteur ne cessait d'exprimait son plaisir, mais pas trop fort non plus, il ne fallait pas se faire surprendre par les chevaliers et encore moins par Uther. 

A un moment donné, le fils du roi s'arrêta, se redressa et se débarrassa de ses propres vêtements et prit une huile qui servait généralement à le masser dès que son dos le faisait trop souffrir. Il s'en imbiba les doigts, écarta les jambes de Merlin et commença à le préparer doucement, comme il avait l'habitude de le faire avant. Le premier doigt était toujours facile à supporter, le deuxième un peu moins, le sorcier laissa échapper un gémissement plaintif, mais il fut vite oublier quand son amant eut commencé à faire des mouvements de ciseaux en lui caressant le membre en même temps. Le troisième doigt arriva et fut nettement plus facile à supporter, et Arthur jugea que son serviteur était maintenant prêt. Il retira ses doigts et s'aligna devant l'entrée maintenant bien dilatée de son amant et le pénétra le plus lentement possible, pour éviter de lui faire mal. Il rata un peu car Merlin gémissait de douleur, mais une fois totalement rentré, il ne bougea plus attendant le feu vert de Merlin pour commencer à bouger, il attendait qu'il se soit habitué à la présence en lui, comme à chaque fois. Il lui fit un signe de la tête, avec un petit sourire, que le blond lui rendit sans hésiter, ensuite il commença à bouger, d'abord doucement puis de plus en plus rapidement, jusqu'à atteindre un rythme assez soutenu. Les deux amoureux gémissaient en cœur, ils faisaient de leur mieux pour ne pas hurler, tellement qu'ils éprouvaient du plaisir.
Dans un dernier coup de reins, Merlin vint dans le grand lit royal et un peu sur Arthur, quant au blond, il vint quelques secondes plus tard au fond de Merlin, et il se laissa tomber sur lui. Ils reprenaient doucement leur souffle, puis le prince se redressa pour regarder son serviteur dans les yeux et il lui donna un beau baiser.

Je t'aime Merlin et encore une fois je suis désolé d'avoir réagit de la sorte.

Son amant posa son index sur ses lèvres.

Ce n'est rien Arthur, c'est oublié et moi aussi je vous aime.

Ils s'échangèrent un tendre baiser, jusqu'à ce qu'ils furent interrompu par des coups à la porte. Les deux amoureux se séparèrent assez rapidement, et le prince commença à s'habiller rapidement, ne sachant pas qui se trouait derrière cette porte, mais il remarqua assez rapidement que son valet, lui, était déjà habillé, il était très surprit, puis il se souvenu qu'il était tombé amoureux d'un sorcier.

Me permettez-vous, Arthur ? Demanda Merlin avec un grand sourire.

Oui, vas-y.

Les yeux du sorcier virèrent à l'or et le blond fut totalement habillé, et ses vêtement n'étaient pas froissé, donc rien ne pouvait laisser présager ce qu'il venait de faire. Il lui adressa un tendre sourire pour le remercier, puis se décida à autoriser la personne à entrer. Il s'agissait de Guenièvre, qui venait voir Arthur.

Je ne dérange pas ? Demanda-t-elle.

Non pas du tout ne t'en fais pas, je discutais simplement avec Merlin.

Est-ce que Thomas et Margot sont partis ? Demanda Merlin.

Hum, je ne crois pas, ils sont toujours dans la cour il me semble.

Et Guenièvre disait la vérité, en faite ils se préparaient à partir pour rentrer dans leur royaume respectif. Enfin, vue que le père de Thomas restait encore un peu à Camelot, il raccompagnait juste sa dulcinée chez elle. Pour deux raisons, la première, il l'aimait et il désirait passer le plus de temps possible avec elle et la deuxième raison, eh bien, vous allez la découvrir tout de suite.
La princesse venait de monter sur son cheval et était prête à partir, ce qui n'était visiblement pas le cas du prince, il était lui aussi sur son cheval, mais il regardait vers le château.

Etes-vous prêt à partir Thomas ?

Hum oui, mais serait-il possible d'attendre encore quelques minutes ?

Si vous voulez, mais est-ce que tout va bien ?

Oui oui, ne vous en faîtes pas, j'attends juste de voir et surtout d'entendre quelque chose.

Elle ne comprit pas de quoi il parlait mais patienta.

Pendant ce temps là, la servante de Morgane tendit une lettre à Arthur, lui indiquant qu'elle venait de son cousin. Il l'ouvra, sceptique de ce qu'il allait y trouver à l'intérieur.

Arthur,

Je suis très ravis que tu sois de nouveau avec Merlin, et sache que je vais continuer de correspondre avec lui, alors un conseil, ne le refais pas souffrir sinon on sera deux à venir te botter les fesses !

Enfin bref, passons tu veux bien ?
Pendant que tu pleurais pour que Merlin soit de nouveau vivant, je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer que ton pantalon était descendu un peu trop bas, et tu connais mon petit dont pour le dessin. Je l'ai donc reproduis sur une feuille, même la princesse s'est moquée de toi ! 

Mais je n'ai pas grand utilité à le garder, alors je t'en fais cadeau, et sache que je l'ai déjà montré à quelques chevaliers et ils ont tous rit.   

Thomas.

Le prince s'empressa de saisir la deuxième feuille et remarqua que son cousin l'avait bien reproduit accroupi, près du corps sans vie de Merlin et effectivement son pantalon était descendu trop bas, laissant entrevoir sa raie.
Merlin et Guenièvre ne purent s'empêcher de rire, et Arthur poussa un cri.

THOMAS !!!!!

Là on peut y aller ! Dit le prince de Déalia en rigolant et en s'empressant de faire partir son cheval au galop.

La princesse fit de même, tout en explosant de rire, comprenant bien ce qu'il venait de se passer.
Arthur se jura de tordre le cou de son cousin, une fois qu'il serait de retour à Camelot et de se venger dès qu'il en aurait l'occasion.
Pour le moment, il avait Merlin à ses côtés, ainsi que son amour, et c'était tout ce qui comptait pour le moment.


                                                                                         FIN


Je suis désolée d'avoir mit autant de temps à sortir ce dernier chapitre mais je suis dans une phase où je n'ai pas envie d'écrire de lemon, en lire pourquoi pas mais pas en écrire, je songeais même à demander à quelqu'un de le faire à ma place, mais j'ai finit par le faire, enfin ! J'en suis débarrassé.
J'espère en tout cas que cette histoire vous aura plus et je vous dit à bientôt ! 


Un serviteur convoité TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant