Chapitre 22 : Fight, even if it's a guy

3.2K 251 24
                                    

J'entre ouvrant les grandes portes de fer noires corbeau

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

J'entre ouvrant les grandes portes de fer noires corbeau. Regardant le scénario de loin, ça ressemble beaucoup trop à un film d'horreur. Je continue d'avancer tombant nez à nez avec les dizaines de voitures toutes luxurieuses les unes que les autres et plus particulièrement la plus avancé. La voiture qui n'est presque jamais la et qui je suppose doit être celle qu'il utilise le plus. Une matte noire. Et ma voiture, ma petite voiture noire loin de toutes ses monstres de turbo qui doivent la dépasser en vitesse. Un soulagement me frappe en la voyant.

Mon regard dévala cette immense façade, cette grande façade foncée sur laquelle sont disposées une multitude de terrasse. Il se posa ensuite instinctivement sur la plus imposante des terrasse, et qu'elle fus ma surprise lorsque mon regard se posa sur lui. Cette silhouette qui est censé m'être familière mais qui met étrangère. Dans le grand balcon centrale de la grande chambre se trouve Jungkook, une tasse en main il me regarde de haut. C'est le cas de le dire, mais son regard neutre me les brises vraiment. Depuis que je suis mariée à cette momie vivante je ne l'est jamais vue avoir une autre expression que celle là.

Je lève ma tête et ne le vois plus à part les rideaux volant qu'il à du percuter en entrant. Voila, une vrai momie. Je reste figée quelques secondes ne comprenant pas ce qu'il viens de se passer à l'instant même et agite ma tête d'un coup essayant de ne pas y penser.

-" Il est complètement bargo celui là."Je remet mes tresses en arrièrent et souffle un bon coup essayant de retrouve mon calme et ma détermination. Tu veut jouer Jeon Jungkook, on va jouer.

J'ouvre la porte toujours déterminée et enlève mes chaussures avec difficulté à cause du noire présent dans l'intégralité de la maison. Je continue de me déchausser et parviens enfin à enlever mes baskets. J'ouvre la lumière qui m'aveugle et me tourne brusquement avant de lancer un énorme crie de biche et de me retourner en embrassant violemment la porte.

Me voila à terre encore une fois. J'ouvre la lumière et le vois, adossé au mur vers la porte, normale que je crie il m'a fait peur cette imbécile. Mon regard se pose doucement sur lui les sourcils froncé. Aucune réaction il me regarde juste comme ça, sans émotion sans rien. Comme d'habitude.

-" Va falloir changer le disque du majordome, il est raillé." Et il me juge encore. Franchement, je sais que je suis bizarre mais de la à me juger à chaque fois que je fait quelque chose. De l'abus. En plus il répond pas. J'ai cru on allais se battre mais monsieur est pacifiste. Quelle surprise la dernière fois que j'ai désobéis il m'a agresser et à planté ses yeux noir dans les miens.

Je me relève avec difficulté et frotte mes yeux qui sont flou, va falloir que je reparte consulter je redevient myope ça va pas. En les ouvrant à nouveau je tourne la tête et ne vois plus personne à mes côtés. Sale ninga.

Je me relève épuisé par cette journée. Cet imbécile continue de faire comme ci je n'existais pas. Donc je monte difficilement et arrive dans ce long couloir qui donne sur ma chambre. J'entre dans ma chambre la fermant à clé a double tour même.

Et en quelques secondes je me déshabille entièrement ne gardant seulement que mes sous-vêtements pour plonger dans mon lit et de me fourrer dans mes couvertures. C'est bizarre qu'il n'est pas réagit. C'est très bizarre. Mais je n'y pense plus vraiment. Vaut mieux qu'il ne dit rien. J'ai pas envie qui retourne toute cette baraque sur moi.

De l'épuisement, je ressentais un immense épuisement. Un profond épuisement morale. Il fallait que je me change les idées et vite. Sans ça ma tête allait exploser. Et bien sûr j'avais encore et toujours cette même question dans ma tête. Vais-je vraiment finir ma vie comme ça ? Avec un homme que je n'aime pas et qui ne même pas et qui en plus m'ignore. Genre je suis invisible. Je ne le comprend pas, et je n'arriverais jamais à le comprendre. Je ne savais pas comment, je ne savais pas quand ou sous quelle condition. Mais faut que je me barre d'ici. J'en est marre c'est bon. Et même si j'vais me coltiner le majordome au disque rayé je le ferais.

ÉROTOMANIEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant