Chapitre 81 : I hope I'm finally happy

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J'en étais sûr, c'était ce que je voulais faire

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J'en étais sûr, c'était ce que je voulais faire. Le jour même je me suis mise à regarder les exigences au niveau des études et des capacités et franchement ça allait. Mes études correspondaient et les capacités et bien ce n'était pas forcément compliqué. C'était des choses que je pouvais largement faire.

Une chose m'avait interpellé et m'as donné encore plus envie de travailler dans cet endroit. Les médecins et les aides-soignants comme toutes les personnes qui y travaillaient pouvaient bénéficier de plusieurs formations s'ils le voulaient. S'ils venaient à peine de commencer à travailler dans l'hôpital et bien c'était possible mais surtout au niveau des autres secteurs.

Donc si je comprenais bien même les personnes du secteur psychologique pouvaient faire des formations ou des sortes de stages par exemple dans le secteur des urgences ou de pédiatrie. C'était très riche en secteurs et ça pouvait me permettre de partir à la découverte d'autre chose.

Même si j'ai fait des études scientifiques et bien je ne me suis jamais intéressé à autre chose qu'à la psychologie. C'était ce que j'allais faire donc le reste je n'y touchais même pas. Au début j'y étais obligé vue que les études scientifiques consistent à apprendre un peu de tout mais je me suis vite dirigée vers le secteur psychologique dès que j'ai pu le faire.

J'ai quand même beaucoup de connaissances grâce à ces études, je pouvais donc m'adapter dans n'importe quel secteur mais pas au point de pouvoir devenir cardiologue ou pédiatre du jour au lendemain. C'est pour ça que s'il y avait des cours sur tous ces domaines aussi variées soit-il et bien ça rajoutait un grand plus.

J'ai donc fais toutes les démarches pour être embauchée et j'étais malheureusement obligée de passer par la case paperasse. Ce que je détestais le plus, essayer de trouver tous les relevés de notes et tous les diplômes était une tache infernale.

Deux semaines après j'avais un entretien d'embauche dans ce fameux hôpital. L'entretien s'était plutôt bien terminé et encore deux semaines plus tard j'ai reçu un courrier dans lequel mon admission à l'hôpital générale de Séoul était écrit noir sur blanc. J'en ai pleuré de toutes les larmes que je pouvais moi qui avaient plus vraiment en stock.

Mon infime espoir venait de renaître de ses cendres. Assise sur mon canapé comme à mon habitude je serais fort cette simple lettre contre moi, car seul elle pouvait me sauver de l'effroi dans lequel je me trouvais.

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