NON CORRIGÉ | Jungkook et Léna n'avaient aucuns choix. Tourmentés par leurs parents, annuler leurs mariages forcés ne faisait pas partie des choix possible. Les tensions sont alors à leurs combles. D'autant plus que Jungkook ne semble pas être aussi...
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" Non c'est pas terminé je veut que Madame Park continue de travailler ici. Imbéciles tu fuis t'es qu'une poule mouillée." Face à ma remarque il ce retourne et ce dirige vers moi mas cette fois ci il s'arrête devant le bureau et le pousse à ma droite jusqu'à ce que ce fameux bureau ne nous sépare pas. Bon déjà c'est pas normal il a viré le bureau en deux secondes sans efforts. Il reprend sa marche et arrive vers moi. Par réflexe je recule mais il continue à avancer ce qui fait que je me retrouve plaquée contre le mur avec cette imbécile à quelques centimètres de moi...
" Ne m'énerve pas, et continue t'as petite vie sens empiéter sur la mienne. T'est peut être une Jeon maintenant mais à mes yeux t'es qu'une enfant qui n'est absolument pas mature et qui joue à la psychologue à sont papa."
" Attends j'empiète sur t'as vit. Je t'es pas dérangé depuis qu'on est mariés c'est plutôt t'as vie qui piétine la mienne avec ta façon de vivre tu t'es crue pour un dieu ou je ne sais quoi. Redescend gars t'es personne à part Jeon Jungkook qui est à mes yeux un imbécile QUI A UNE TELLEMENT GROSSE TÊTE QUE AUCUN CASQUE NE LUI VA."
" A ouai, je piétine sur t'as vie. Sache une seul chose tu ne sais absolument pas qui je suis. Tu veut que j'arrête d'en-piétiner t'as vie." Il ris nerveusement il ressemble a un psychopathe comme ça. Il attrape ma main fermement me fessant atrocement mal et sort de la bibliothèque. Il ce dirige vers une pièce de la maison l'ouvre et je me retrouve dans sont bureau qui est d'ailleurs immense.
" Lache moi!!!" J'essaye de me délivrer de toutes mes force en vain. Il me tire sans difficulté jusqu'à sont bureau et attrape le téléphone qui était posé dessus. Il compose un numéro. Pendant ce temps j'essayais de toutes les forces inexistantes de me délivrer. J'ai tout essayé, le griffer, lui donner des coup, les claque sur sont bras il veut pas me lâcher.
" Mais putain lâche moi sale con tu me fait mal imbécile." Il attrape le téléphone et le met a sont oreille après cinq secondes il commence enfin a parler.
" Ramène moi immédiatement un lit double immense. Avec les accessoires qui vont avec, je les veut dans la pièce A14 immédiatement ou t'es êtes viré. Et passe par l'arrière."
Il raccroche et continue à me traîner tenant fortement mon bras. Je passe par les grands moyens et lui mort la main de toutes mes forces.. Il me lâche et regarde sa main.
"T'es morte."D'un coup je me sens propulsée dans les aires. Il me pire et me met par dessus sont épaule tête à l'envers.
" LACHEUT MOI!" Je frappe sur sont dos à l'aide de mes points essayant de lui faire mal en vain. On entend d'un coup une sonnette et des pats lourds a l'étage du dessus. Après 10 minutes plus rien. Mais bien sûr je suis toujours sur sont épaule en train de crier pour que cette imbécile me relâche. Il marche encore et encore et entre dans une pièce. Il me jette et je me retrouve sur un lit.
" Maintenant tu reste dormir là comme ça ma vie ne piétinera pas t'as vie inexistante. Il tourne les talons et je me lève et me place devant lui bras croisés en fronçant les sourcils.
" Déjà je pèse pas 100 kilos pour avoir un lit aussi grand même si j'avoue que ça me dérange pas et ensuit je décide ou je dors t'es pas ma mère ni mon père d'ailleurs t'es personne." Il avance jusqu'à moi me plaque encore une fois mais cette fois ci a la rembarre qui ce trouve derrière moi. Il approche sont visage du mien et sourit méchamment.
"Non au contraire tu pèse le point de mon orteil. Et t'as besoin d'un lit 40 places tellement la nuit tu bouge comme un asticot. Et ici je décide." Il reviens à sont état naturel ce qui veut dire : un neutron aussi neutre qu'une pile.
" Bas non je bouge pas d'ici et je dors pas dans cette chambre t'as cru j'étais une femme soumise." Il me regarde exaspéré et me reporte sur sont épaule pour me lancer sur ce lit. Il part vers la porte et avant de sortir il ce retourne avec sont visage méchant.
" Mauvaise nuit femme soumise." Puis il claque la porte en la fermant à clé je cours essayant de l'ouvrir avant mais trop tard.
" Je suis pas une femme soumise !" Je tape de toutes mes force sur cette porte ce qui me fatigue. J'arrête et allume la lumière. A cause de cette longue dispute je n'est même pas vue l'heur passer. En allumant je découvre une chambre assez simple, toute blanche. Ils avaient placé au milieu de cette immense pièce un grand lit et deux tables de chevets. Accompagné d'une armoire large et de plusieurs accessoires de chambre. Je m'effondre sur ce lit regardant le plafond de cette pièce vide même trop vide à mon goût.
Le lendemain je me réveille extrêmement bien et me lève. Je me dirige vers la porte et vois qu'elle est ouvre. Il a dû l'ouvrir avant de partir. Je me dirige vers la chambre principale où ce trouve d'ailleurs mes affaires. Le lit est fait... il est quel heure. Je tourne ma tête et vois qu'il est 14 heures, je me prépare et m'habille en vitesse et cours dans les escaliers bien sur je m'explose les 2, 3 cotes qui me reste et je dévale les escaliers tél un manchot qui glisses sur une banquise. Je me relève et sort en courant attrapant au passager mes clés et monte en vitesse dans ma voiture. J'arrive en retard à cause cet imbécile il va me le payer.
