Chapitre 82 : Lost between both

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Le soulagement le plus complet

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Le soulagement le plus complet. Ma routine avait changé un minimum. Cela faisait deux mois que je travaillais à l'hôpital et honnêtement j'aimais vraiment ça. Surprenant mais c'était une vérité.

C'était compliqué serte. Le trajet n'était pas vraiment court et je devais souvent cavaler pour être à l'heure et ne rien manquer mais je me sentais tellement bien là bas. C'était comme si j'étais redevenue un être normal. Personne ne me reconnais à mon plus grand bonheur et je me sentais beaucoup mieux.

C'était loin d'être comme au cabinet où les patients étaient pratiquement seulement des hommes d'affaires super méga puissant qui travaillaient avec mes parents et qui étaient envoyé par eux en personne. C'était des gens normaux qui étaient vraiment adorable et gentils. Ça changeait tellement du travail que je faisais au cabinet car ici tout le monde était pareil. Chaque patient était accueil comme il est et à sa juste valeur, il n'y avait ni favoritisme ni inégalité au sein de toute ces personnes.

Mais le grand changement était que tout n'était pas tout rose comme dans mon cabinet. Ici les ça n'avait rien à voir avec les problème de riche de mes ancien patients. Tout était tellement plus réel et je redécouvrais es facettes de mon métier que je pensais connaitre si bien. Les patients de cette hôpital avaient des vrais problème et parfois c'était très dur. Moi qui n'avait pas le mental en plus de ça je devais encore plus me surpasser et survoler mes limites qui n'existe même plus.

Le personnel et toute l'équipe de psychiatrie m'ont accueilli les bras ouvert et chaleureusement. Ils étaient tous très gentils et attachants. Je me sentais bien l'as bas. Et je n'ai pas sentis ça depuis longtemps. C'était comme un renouveau de bonheur infime soit-il.

Je me passionnais dans mon métier comme je ne l'est jamais fait. Cette fois si ce n'était pas forcé c'était par ma propre envie et j'en étais tellement heureuse. J'avais l'impression que j'étais beaucoup plus libre, libre parce que je n'avais pas la pression de mes parents dans cet hôpital comparé au cabinet ou je continuais de travailler malgré tout. Malgré ça et bien mon malheur persistait.

Le soir la douleur de la solitude revenait. J'étais à nouveau dans l'ombre la plus obscure. Mes insomnies simplifiaient alors que durant des nuits entières un mal-être comblait et décorait mon cœur et mon être tout entier.

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