CHAPITRE |4|

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Mai 2023 - World Spencer Inc

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Mai 2023 - World Spencer Inc.

Assis sur mon imposante fauteuil en cuire à roulette assez confortable que je pourrais dormir dessus, je signe le contrat que m'a donné Maxime ainsi que des documents d'ordre privé, je les lui rend après avoir tout lu dans les moindres détails et ai signée :

_ Normalement c'est à la directrice de l'administration et financier de te le faire signer étant donné que je ne suis pas la personne en charge de cela mais elle a eu un contre temps, excuse là.

_ Elle est toute pardonné, Maxime.

_ Max, je préfère Max. Rétorque t-il que je hausse un sourcil.

 Rétorque t-il que je hausse un sourcil

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Eh bien en commence bien...

_ On croirait entendre mon fils. Riais-je en enroulant une de mes cheveux du bout de mon doigt. Il n'aime pas que je le surnomme Gaby, le parfais ados capricieux pourri gâté à sa mère, j'assume pleinement.

_ Je ne savais pas que tu avais un fils ?

_ Oh... en raison de mon orientation sexuelle ?

Il hoche la tête, je souris bienveillante pas du tout un sou vexé par son honnêteté.

Le pauvre, si il savait la vérité...

_ Eh bien c'est une longue histoire mais pour la faire simple et court, j'ai adopté un enfant dans un orphelinat, je me rappelle encore comme si c'était hier, il avait environ 10 ans et quelque, il était tellement mignon que je n'ai pas su résiste...

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_ Eh bien c'est une longue histoire mais pour la faire simple et court, j'ai adopté un enfant dans un orphelinat, je me rappelle encore comme si c'était hier, il avait environ 10 ans et quelque, il était tellement mignon que je n'ai pas su résister de m'occuper de lui, en tout cas c'est le plus beau souvenir que je retiens.

_ Tu dois vraiment l'aimer.

_ A t-elle point qu'il est devenu un ados pourri gâté, oui.

_ Je pensais plutôt que tu étais le genre de femme à être stricte et sévère.

_ Non, pas du tout, à part quand il fait des bêtises crois moi je l'ai bien élevé, en faite je suis plutôt une femme cool qui recherche l'amour comme tous le monde quoi. Affirmais-je en haussant les épaule puis me baisse en voyant mon écran de téléphone s'allumer présentant le numéro que je connais par cœur.

Le bureau du directeur là où étudie mon fils.

Celle de Maxime sonne aussi qu'il se lève en s'excusant pour prendre l'appel.

Je fais de même en me levant pour être en face des grandes baie vitré qui m'offre une vue magnifique.

_ Francesca Hernandez à l'appareil.

_ Madame Hernandez, vous devez sûrement savoir la raison de mon appel.

_ Non, mais j'aimerais bien y voir plus clair, je vous prie.

_ Votre fils est en ce moment même dans mon bureau en compagnie d'un autre lycéen avec lequel il c'est battu.

_ Oh ce n'est pas surprenant en soit ce sont des ados à cet âge là, vous savez ils aiment bien montré aux filles ce qu'ils ont dans le caleçon, comme vous j'en suis sûr à l'époque...

Ne finissant pas ma phrase quand je me retourne en ayant entendu la porte de mon bureau s'ouvrir, je me crispe en voyant un homme que je ne connais pas avancer dans ma direction, portant un costume noir à rayure blanche faite sur mesure, des chaussures italienne au pieds qui brille presque, une montre qui doit valoir des millions, des longs cheveux ébène qu'il a plaqué et attaché en arrière ainsi que des yeux gris intimidant qui vous cloue sur place.

J'avais une vague idée de qui il pouvait être.

Il était le type d'homme à ne pas sous-estimer, il en impose rien qu'à sa présence alors qu'il s'arrête devant moi me dévisagent un instant, je devine qu'il attend que je finisse mon appel, et en plus de cela, il est gentleman.

_ Sinon y a t-il autre chose que je devrais savoir ?

_ A la dernière connerie de votre fils, soyez sûr qu'il sera renvoyé avec votre accord ou non.

Je souffle silencieusement en roulant des yeux, ces menaces ne me font ni chaud ni froid à croire que c'est le seul lycée qui existe dans cette ville de bourges, mon fils sera inscrit à la meilleure école qui soit, qu'importe son tempérament.

_ Oui bien-sûr ne vous inquiétez pas pour cela, sa ne se reproduira plus, au revoir et passer une bonne journée. Terminais-je en raccrochant pose mon téléphone sur mon bureau en ayant déjà oublié cet histoire et m'approche de l'homme la main tendu. Excusez-moi de vous avoir fait attendre, je me présente, je suis Francesca Hernandez nouvelle assistante de monsieur Spencer et vous êtes ?

Prenant ma main tendu pour une poignet de main solide, il l'a lâche et remet ces mains à l'intérieur de ces poches de pantalon, puis en me dévisageant de tout son soûl, il répond :

_ Grayson Spencer, désolé de me présenter aussi tard, mais hier ainsi que ce matin j'ai eu un contretemps.

_ Je comprends votre emploi du temps doit être surbooké.

_ Exacte.

Une minute de silence se fait pendant qu'on se dévisage les yeux dans les yeux, Maxime toujours au téléphone entrain de parlé, il ne semble pas faire attention à nous.

_ Hier, j'ai eu votre père au téléphone, il m'a appelé au sujet de votre agression, alors je tiens personnellement à m'excuser en personne, je suis arrivé trop tard mais il est en ce moment même en prison, je vous fait la promesse que ce genre d'accident ne se reproduira plus dans mon entreprise.

J'avais presque oublié pendant une seconde que mon père l'avait mise au courant, mais je tic à sa dernière phrase.

_ Arrivé trop tard ? Serait-ce vous qui l'ai...

_ Exacte.

Bouche bée, je l'observe plus attentivement et le remercie, cet homme me surprend vraiment, je ne m'attendais pas à cet action de sa part.

_ Ne me remerciez pas, j'ai fait ce qui devait être juste aucune personne ne mérite de ce faire agresser dans un parking vide de personne.

_ Oui, vous avez raison.

Maxime nous rejoint après avoir mis fin à son appel, entour Spencer de l'épaule comme de bon amies de l'époque et me regarde :

_ Maintenant que nous avons fait les présentations, on peut dire que nous sommes à présent une équipe.

Un sourire se loge sur mes lèvre, Spencer hoche la tête et Maxime me regarde en souriant.

_ Une belle équipe. Rajoute t-il en regardant le paysage qu'offre la baie vitré derrière moi.

C'était à ce moment là que j'aurais dû intercepter le regard que poser Spencer sur moi, mais j'étais trop heureuse d'être dans cette entreprise pour y faire attention.

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