Chapitre Onze

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- Tu m'as menti. On est pote depuis la primaire, et pour une fois que je te demande quelque chose, tu me mens. Tu as osé me  mentir.

- Fed...

- Non ! Tais-toi ! Ne dit rien. Je ne suis pas stupide. Mais..... quand même ! Sa fait quatre jours. QUATRE putain de jours que je t'attends devant ce collège, à attendre que tes charmante soeurs viennent me dirent encore une fois que tu es toujours malade, et toi, tu reviens, me sortent l'excuse débile que tu étais malade et cloué au lit.... Et sans une seule de tes soeurs en vu ?

- Fed....

- Je t'ai demandé de me laisser finir. Quand même.... j'ai encore du mal à le croire.... Tu as OSÉ dire à tes soeurs que je ne les autoriseraient pas à monter dans ma voiture ? Comment as-tu pu ? Comment as-tu me faire ça???

Je soupir.

- C'est bon. Tu peux parler. Je t'écoute.

- Fed, de un, sa fait quatre jours que tu m'as pas vu, et avant de me demander comment je vais, tu me fait des rapproche, de deux, si j'avais emmener mes soeurs, va savoir ce que tu aurais dit qu'il n'aurait pas fallu...

Et qui t'aurais envoyé en Antartique rien qu'avec une incontation..

- Et enfin, de trois, sa fait cinq minute qu'on est arrivé au lycée, et si tu continue de parler, on va être en retard en cours.

Il tente de dire quelque chose, mais je sors de la voiture, et il me suis, sans broncher. Et pour une fois, quand des filles viennes lui parler, il les évitent, pour rester à coter de moi. J'avoue que ça m'en bouche un coin. Le fait que je sois absent à dû l'inquiéter. Sous ses air de monsieur j'en est rien à foutre, il fait attention à ce qu'il fait, et fait attention à chaque détails. Bien sûr, il ne me pose pas de question. Car, ce n'est pas la première fois que ça m'arrive, et ce ne sera certainement pas la dernière fois. Étant plus petit, il avait essayé de me faire cracher le morceau, mais il n'a jamais réussi, puis il a abandonner, et je lui en suis reconnaissant. Je passe devant la classe de June, et mes yeux se pose sur Matt. J'ai complètement oublié de demander à Lili qui l'avait aidé à me ramener à la maison ! Je soupir et baisse la tête. Je m'arrête net. L'un de ses poignet est recouvert par une bande. Non.... ne me dire pas que.... Fed m'attrape par le bras, et étant plus fort que moi, je me fait emporter par lui. Lorsque nous arrivons en classe, je n'arrête pas de penser à son poignet. Est-ce vraiment lui ? Et si c'est lui, comment a-t-il fait pour entrer dans la chambre, alors qu'elle est situé au deuxième étage ? Et surtout, pourquoi ? Et ses mots qu'il a murmuré et qui m'on endormi en quelque seconde.... Même Yuna aurait du mal à dire une incontation de cette puissance et la faire agir en si peu de temps.... Mais... maintenant que j'y pense, je ne connais pas Matt.... Mais je veux avoir le coeur net sur ça.

Leur de manger, enfin ! Je prend un menu leger, vu que je doit rehabituer mon corps à manger. Une salade, de la puré de pomme de terre avec saucisse, et enfin, un yaourt à la myrtille ! Je m'installe, avec mon livre, et fait semblant de lire, guettant l'arrivé de Matt. Trouvé. Pile au moment où je le boit, il tourne la tête dans ma direction. Je fais semblant de lire, faisant comme si je ne l'avais pas vu. Il pose son plateau devant moi, et je lève la tête vers lui. Il sourit.

- Peut-on savoir pourquoi tu souris comme ça ?

- parce que tu es nul quand il faut être discret.

- Que...quoi ?

- Ton livre par exemple.

- Quoi mon livre ? Il est bien mon livre.

- Je suis d'accord avec toi. Ton livre est bien et bel à l'envers.

Je regard mon livre, et effectivement, il est à l'envers. Je deviens aussi rouge qu'une tomate, et m'empresse de le l'être à l'endroit.

- Ça re va bien de rougir.

- ....

Je jette un coup d'oeil à son poignet.

- Qu'est-ce qui t'es arrivé ?

- Hein ? Ça ? C'est rien, je me suis simplement blessé en portant quelque chose de lourd.

- Mmmmmh....

Ç' est étrange, car  je me souviens avoir serré son poignet tellement fort queça aurait laissé un bleu. Et il se trouve qu'il est blessé au même poignet. Quel coïncidence....

- Aiden ?

- Mmmh...

Je suis tellement concentré dur don poignet que je ne fais pas attention ave qu'il dit.

- Tu va bien ?

- Oui...

- Je vais bien ?

- Oui...

- Je suis beau ?

- Oui...

- Tu me trouves beau ?

- Oui... attend. Quoi ?

- C'est un honneur de savoir que tu me trouve aussi attirant.

- Je.... j'étais dans les nuages ! Ça compte pas.

- Si.

- Non.

- Si.

- Non, et puis flûte !

Je me lève, avec mon plateau vide.

- Que.... Tu as encore fini avant moi ! Pourtant je ne t'ai pas vue prendre une seule bouché..

- C'est parce que tu regard mes yeux. Pas mes mains, pas ma bouche, mes yeux. Alors, bien sûr que je finisse.

- A-attend moi !

Il mange dans la précipitation, et quand il est sur le point de finir, je fait tomber "accidentellement" mon verre sur son bras, et ça mouillé son poignet.

- Au, zut ! Comment est-ce que je peux être aussi maladroit...

- C'est rien, t'inquiète pas..

- Non, je vais changer ton bandage. On va à l'infirmerie ?

- Je t'assure que ce n'est rien.... a moins que tu ne veuilles utiliser l'infirmerie comme excuse simplement pour m'avoir rien que pour toi..

Je rougis de plus belle.

- N-ne dit pas de bêtise ! Allez, viens, et si tu dis encore un truc, je te jure que je te parlerais plus !

- Ok, ok.

Il me suis à l'infirmerie, sans broncher. Je me demande presque si je n'est pas rêvé hier soir..... Nous entrons, et je défaut son bandage. Mon coeur bat si fort que j'ai l'impression qu'il est près de mes oreilles. Lorsque le bandage est enfin retiré, je suis sans voix les yeux écarquillés.

Dark Magic, Dark Love...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant