Dark Magic, Dark Love...

Chapitre Trente-cinq

- Je.... c'est rien. Ils sont en train de tuer les hiboux. Je.... ils ont en tuer deux....

- Alors, ils vont tous les tuer.... on ne va pas y arriver.

Lili regarde June en fronçant les sourcils.

- Pour qui tu me prend ? Bien sûr que je vais y arriver, mais étend donné que je suis étroitement lié au hiboux  je peux ressentir ce qu'ils ont ressenti au moment de leur mort, même si ça ne m'affecte pas le moins du monde.

Apres quelque seconde, Lili se tourne vers nous, toute souriante.

- Ca y est !

Yuna ouvre son livre, et  commence son chant.

- Pourquoi.... murmure Mathieu.

- Pardon ? Je dis.

- Pourquoi nous aider ? Nous sommes des chasseurs, vos ennemis. Quand on y pensent, c'est ironique. Des chasseurs chassés par d'autres chasseurs, et cerise sur le gâteau, protéger par des sorcier.

-  C'est une bonne question, si vous voulez mon avis. Nous sommes des sorcier, et hors mis les contes raconter au enfants, on n'est pas tous maléfiques. Et puis, nous ne pouvons utiliser qu'une seule sorte de magie, mais nous ne sommes pas très différents des gens normaux, ou bien de vous. Ce qui nous différencie, je pense, que c'est notre façon de s'adapter, notre façon de penser et la façon dont nous utilisons ce don qui est en nous.

- Je vois....

Je me retourne, pour retourner au près de mes sœurs. Yuna fini sont chant, et une vague invisible, nous traverse tous, causant de léger tremblement en traversant les barres métalliques, qui laisse échapper une fumée blanche au fur et à mesure qu'ils sont traversés par la barrière. Sûrement le reste d'eau bénite qui les entoures. Yuna repousse chez cheveux d'une main, ses yeux violets luisant, ses lèvres tellement serrées qu'ils forment une ligne. Ses nattes, qui sont toujours parfaite, étaient défaite, par je ne sais quel moyen.

- June..... murmure-t-elle.

June se précipite sur elle, et la rattrape avant qu'elle ne perde connaissance.

- Yuna ! Je me précipite, mais June tend la main.

- Laisse. Je m'en occupe, elle a besoin... d'énergie.

- ho.... je vois.

- De quoi elle parle, Aiden ? Demande Lili.

- On va en parler, mais pour l'instant, va avec papa et maman. Je vais raccompagner monsieur et madame Lux chez eux. Dit à Yuna qu'elle pourra me tuer plus tard, je prend un talisman de protection valable pendant 48 heures.

- Je t'accompagne. Après, on parlera de la punission de June.

Papa descendait les escaliers, la main sur la nuque.

- Comment va maman ?

- J'ai donné un peu de force à ta mère. Elle avait tout utiliser d'un coup. Sa l'a énormément affaiblie, elle n'a pas été prudente du tout.

-  Ça veux dire que toi aussi tu es affaibli. Retourne dormir, ça te fera gagner de l'énergie.

- Non, je veux...

Papa vacille. Avant qu'il ne touche le sol, je le rattrape.... ou plutôt, j'essaie. Il fait le double, ou bien le triple de mon poids, et je tombe avec lui, me heurtant au sol.

- ...Aïe.

Tant bien que mal, j'arrive à me sortir de la, et, en utilisant mon don, s'allège le poiss de papa pour le pauser dans le canapé. Je me tourne ensuite vers Mathieu et Roseline.

- Vous pensez que nous pouvons sortir ?

- Pour tout vous dire, je l'ignore, dit Mathieu.

- Non, Mathieu. Ils sont partis. Ce n'était que la première attaque. Pas la fin de la guerre. Il y en aura d'autres à venir, et tu le sais.

- Oui.... malheureusement...

- Vois êtes venu à pied ou biencen cheval ?

Mathieu et Roseline tournèrent la tête dans ma direction. Mathieu soupire, tout en se relevant avec sa femme.

- On est plus au moyen-âge. On est venu en voiture, monsieur Aiden.

Puis, ils se dirigèrent vers la sortie.

- Autant pour moi.

Je les suis hors de la maison, pour découvrir une Volkswagen neuve. Mathieu me donne les clés, et se place à l'arrière de la voiture, avec sa femme, qui m'a l'air très affaiblie.

- Savez vous conduire, jeune homme ?

- Je crois.

- je ne sais pas si je dois me sentir en danger pour vous ou pour moi.

- Pour être sincère, moi non plus...

Je démarre la voiture.

- Je vais vous aider du mieux que je peux. Vérifiez la vitesse, qu'elle ne soit pas en marche arrière. Ensuite, appuyez doucement sur la pédales.

Je commence à suivre ses instructions.

- Non ! Pas par la !! Doucement, doucement, doucement !

- Je..! J'essaie !!!

Après plus d'une trentaine de minute à galérer, j'arrive à destination.

- Jeune homme, si vous tenez à la vie de votre entourage et à la votre, je vous conseille de prendre des cours de conduite.... Et moi qui pensais que les jeunes ce débrouillaient mieux avec la technologie que nous autre, vieux....

- Disons que je n'ai pas passé tout mon temps collé à un écran.

Je sors de la voiture, et aide Mathieu à sortir avec sa femme, toujours évanoui.

- Eh ! Qu'est-ce que tu fais !!!

Je suis soudainement tiré en arrière, et je me heurte violemment contre le sol. Quelque chose de chaud  coule le long de mon coup. J'ai du m'ouvrir le crâne.

- Daniella !!! Ça suffit !!! Hurle Mathieu.

- Reste à l'abris papa ! Je vais m'occuper de ce monstre.

Encore un peu sonné, je me relève. Je prend encore quelque minute à comprendre ce qui ce passe, tout en évitant les coups de la jeune fille. Son pied manqué de peu ma joue. Instinctivement, je lui procure un coup au ventre assez fort pour lui couper la respiration. Autant la calmer un peu pour commencer. Puis, le reste de la famille Lux sors, y compris.... Matt. Il semble confu en voyant ses parents dans un tel état, et le semble encore plus en voyant sa sœur tousser à quatre patte, et moi qui me tiens la tête. Je me baisse et lui tend la main. J'ai peut-être été un peu trop fort sur elle.

- Est-ce que ça va ?

- Me touche pas ! Crache-t-elle.

Je me relève en soupirant. Je marche en direction de la maison, pendant que une deuxième fille, sûrement Caroline, se place devant deux jumeaux. Elle tremble légèrement mais garde un regard déterminé. Mon regarde ce relève vers Matt, qui semble toujours confu, mais ce reprend en main en allant aider sa soeur à ce relever.

Je me tourne vers le couple, et, je prend Roseline dans mes bras, pour aider Mathieu qui a déjà du mal à se tenir debout. Je remarque alors qu'il boîte. Soudain une pierre heurte mon visage. L'un des jumeaux me regarde avec haine.