Dark Magic, Dark Love...

Chapitre Trente-sept

- Donc.... Dit moi comment ce déroule le... transfert.

- Il y a différents manières de le faire. Ma mère m'en a parlé, il faut concentrer son énergie magique en un point. Le contact par la peau n'est pas assez efficace, car un utilisateur de magie est comme protégé par sa propre énergie, ce qui repousse un contacte par la peau. Ce qu'il faut, c'est un contacte directe avec la salive, pour que sa puisse directement faire effet  en entrant dans on organisme.

- Tu vas.... embrasser ma mère ?

- Il est hors de question que je le fasse bien sur. Un autre moyen, biens que moins efficace, je peux lui faire boire un peu de mon sang, concentrer en mon énergie.

- Tu peux le faire ?

- On a rien à perdre si on veux pas qu'elle meurt.

J'attrape un couteau de cuisine.

- Maintien la tête de ta mère élevé, qu'elle ne s'étouffe pas.

- Eh ! Eh ! Qu'est-ce que vous faites à ma mère !

Je suis projeté dans les airs et je me fracasse dans ma cuisine, cassant des verres et des assiettes au passage. Caroline était redescendu, et elle avait une force surhumaine.

- Mais qu'est-ce que tu fais Caro !

- Non, qu'est-ce que tu fais ! Tu comptes tuer ta propre mère ?

- Non, idiote, je compte la sauver !

- Te fou pas de moi ! Qu'est-ce que le sorcier fait avec un couteau de cuisine dans la main  ? Et tu l'aides à atteindre le cou de maman ! Il t'a ensorceler ou quoi !

- Caroline. Ponte tout de suite. Ne me force pas à utiliser la force.

- Tu vas même oser t'en prendre a ta propre sœur ? Matt j'en crois pas mes oreilles.

Elle ramasse le couteau qui m'a échapper. Je suis encore sonné. La blessure a ma tête c'est empiré.

- Si tu n'oses pas faire ce qu'il faut pour sauver notre famille. Alors moi je vais le faire.

Elle se tourne vers moi et lève la mains prête à me tuer.

- De ta bonté tu fera preuve, de ta loyauté, tu prouvera, de la fatigue, tu la ressens, un meurtre n'est pas ce que tu commettra.

La jeune fille se retourne doucement.

- Mais... je peux pas...

- Ta fatigue, tu la ressens. Dormir, tu en a besoin.

- Mais il va....

Matt s'approche d'elle et lui caresse la joue. Elle fini par partir sans un bruit.

- Faudra que tu me dise comment tu as fait ça un jour, dit-il.

- C'est mon pouvoir. Je t'expliquerai, mais pour l'instant....

Matt n'a pas eu le temps de finir sa phrase, sa mère c'est mis a cracher du sang.

- Ho.... Matt, tiens la ! Tiens la bien !

Matt c'est exécuté. Je ramasse le couteau et ferme les yeux. Je respire. Il faut que je garde mon pouvoir sous contrôle totale. Je centre toute mon attention en un seul point. Je ne peux pas en mettre de trop, ni trop peu.... Juste... Pile ce qu'il nous faut.

- Aiden, dépêche toi.... les battements de son cœur ralentissent...

- Ferme la, je dit les dents serrées. Il faut que je me concentre.

Je coupe alors mon bras, sur une veine, et mon sang, qui est d'un rouge pure, scintille étrangement, sûrement à cause de la magie... Mon sang coule dans sa bouche. Ma blessure commence à ce refermer toute seule à cause du concentré de magie. Je me précipite sur Roseline et je me met en place pour la tenir comme il faut, pour qu'elle soit immobile.

- Matt, garde sa bouche fermé !

Matt ne comprend pas tout de suite, et sa mère se relève sans crier garde, et tente de toute recracher. Matt se met en place, et a deux, on fait de notre mieux pour la tenue en place.

- Un autre truc.... Le sang est plus difficilement acceptable par le corps que la salive. Son corps essaie de le rejeter comme il peut, il faut la maintenant en place jusqu'à ce qu'il l'accepte.

- Tu pouvais pas le dire avant ? Demande Matt.

- Concentre toi sur ta tâche !

Apres une dizaine de minute de lutte, Roseline ne bouge plus. Je pose ma main sur son pouls. Il est régulier.

- Est-ce que elle va s'en sortir.

Matt s'effondre. Il tremble. Je me baisse et trébuche, puis j'atterris sur ses genoux. Ce dernier souri.

- Il n'y a pas meilleur moyen de me réconforter.

- Ferme la...

Je me relève rouge comme une tomate. Roseline commence à remuer.

- Eh bien, c'est plus rapide que tu l'avais dit.

- Je dois t'avouer que c'est étrange. Je ne l'ai jamais fait, mais j'ai déjà vu faire plus d'une vingtaine de fois.

- Comment ça ce fait ?

- June vise la perfection. Elle c'est entraîné jusqu'à cracher du sang. Yuna a souvent du la remettre en marche. Maman aussi aide.

- Eh bien, sous ses airs de fille facile...

Je me racle de la gorge.

- Je veux dire sous ses airs de fille naïve, c'est étonnant.

Je secoue la tête. Roseline se relève.

- Que c'est-il passé ? Demande t-elle.

- Maman ! Hurle deux voix à l'unisson.

- Alain... Alex...

Les jumeaux ce sont faufilés hors de leur chambre discrètement. Ils sont identiques, tout deux ont des yeux vert et des boucle noir. Mise à part la couleur de leur cheveux, ils ressemblent trait pour trait à Matt. Les deux petites terreurs me bouscule pour atteindre leur mère. Daniella fait son apparition dans la cuisine et pendant un court instant, elle se détend, mais des que nos regard ce croise, la tension remonte et elle est de nouveau sur ses gardes quoique un peu moins.

- Roseline, vous devez vous reposer. Malgré le fait que je vous ai faut un partage d'énergie, votre corps ne va pas l'accepter facilement, car c'est une énergie inconnu pour lui, voir, une menace, de plus c'est la première fois que vous le faite il me semble. En attendant que l'énergie que je vous ai infusé disparaisse vous devez limiter vos geste, votre corps ce chargera du reste seul. Je dois tout de même  vous mettre en garde, si vous tentez de rejeter mon énergie de vous-même alors que vous êtes encore blessé, sachez que je ne pourrais plus rien fair pour vous. Acceptez la, votre corps s'en débarrassera en temps voulu.

- Un... quoi ? Demande t-elle.

- Laissez tomber. Le plus important est impérativement de vous reposer.

Je me tourne vers Matt.

- J'ai besoin que tu me montre le centre de la maison, ou bien que tu me donne un totems.

- Suis moi.

Je lui souri, et il me sourit en retour. En quittant la cuisine, Daniella me murmure quelque chose.

- Tu nous a peut-être aidés, mais sache que au premier faux pas, je te tranche la tête.

- Compte pas trop la dessus l'ado surexcitée, je lui rétorque.

Puis, elle se dirige vers sa mère l'aider à aller s'allonger dans son lit.