Gang: Blood-crusted

Chapitre 14:

#PDV D UN ENQUETEUR#

Cette histoire de gang commence serieusement à me taper sur le système! Depuis le retour des Blood-crusted, tout le monde flippe! Ok, ils sont dangereux, mais ce n'est pas une raison! On a déjà eu affaire avec d'autres gangs dans le même genre! En plus, c'est moi qui doit me charger d'appeler le FBI qui s'est occupé de ce gang, quand ils étaient au Etats-Unis. Ca va être fantastique; ils vont tout comprendre avec mon accent de merde!

Je pris donc le téléphone, et composai le numéro. Bip bip...

*conversation téléphonique*

"Allô?! Ici Phil De Lacourt, des force de l'ordre de la France. Je travail sur le gang des Blood-crusted qui, comme vous le savez, se trouve en France. J'aimerais avoir tous vos dossiers afin deneutraliser la meunace.

- Je crois que vous ne savez pas à qui vous avez affaire! Ils sont plus que dangereux! Si vous vous approchez d'eux de trop prêt, vous risquerez de mourir. Pendant votre enquête vous devrez être discret. Mais ce qui est étrange, c'est que le chef de gang, Capucine Robethinson, est morte en prison, il y a quelques mois, et tous les membres du gang sont acctuellement en prison.

- Quoi?! Donc ce serait un petit gang qui se fait passer pourles Blood-crusted pour effrayer la population et les autres gangs? C'est inscencé! De plus, leur signature est exactement la même!

- Ils ont le bras long, et même en prison, ils arrivent à terroriser la population. Il se pourrait que quelqu'un ai repris les rennes du résau. suggéra-t-il.

- Donc, si je résume bien, nous avons affaire à un groupe de psycopathe, donc on ne connais pas l'indentité des membres?

- Exactement! Mais faîtes attention, s'ils découvrent que vous êtes chargé de l'affaire, ils vous tuerons vous ainsi que toute votre équipe! Puis ils s'en prendront à la population. Et s'ils essaient de vous faire chanter, donnez leur ce qu'ils veulent! Ils obtiennent toujours ce qu'ils veulent, et par n'importe quel moyen! Je serais vous, j'irais rendre une visite au gang des Drews, car ils doivent être bien enervé à cause de l'apparition des Blood-crusted! me prévint-il.

- Oui, les Blood-crusted ont déjà tué deux des hommes des Drews! Il y a du y avoir un règlement de compte!

- Bon, je vous envoie tous les dossiers sur les Blood-crusted!" finit-il par dire.

*fin de la conversation téléphonique*

Bon, bah ça m'a pas trop avancé! Esperons que le dossier m'en dise plus! Mais ce qui m'étonnais particulièrement, c'était que le chef de gang soit une femme! Comment une femme pouvait-elle vivre dans ce monde de brutes? Et surtout se faire respecter par ces hommes? Et puis c'était bizarre le fait qu'elle soit morte, et que ses hommes soit en prison, alors que le gang agit en ce moment même à Paris! Je ne comprenais rien! Mais ce qui est sûr, c'est qu'ils sont très forts, qui qu'ils soient.

#PDV DE CAPUCINE#

J'avais appris par une source fiable que le FBI enquêtait sur les crimes que l'on a fait. Il faudra faire attention! Et s'ils s'approche de trop, il faudra leur montrer de quoi on est capable...

Au lycée, Andrew ne me parle pas, et ne me regarde pas non-plus. Il vit sa vie comme si je n'étais pas là. Au début, c'était un peu déstabilisant, mais après on s'y fait.

12h, la cloche sonne. C'est l'heure d'aller manger!!! Enfin! Non, je ne suis pas une gourmande! Enfin, peu être un peu. Mais juste un tout petit peu, hein! Je sors de la classe et me dirige vers la cantine. Tout à coup, quelqu'un me plaque au mur. Je reconnais tout de suite son parfum. C'est Andrew. C'est une manie chez lui de plaquer les gens au mur ou quoi?! Y a d'autres façons plus efficaces pour aborder une fille! Il me dit alors, d'une voix grave:

"Expliques-moi pourquoi tu fais tout ça, putain!

- Ca ne te regarde pas! Est-ce que je te pose la question, moi? Non. Donc fermes ta gueule!

- Ne me parles pas comme ça, c'est clair?! Je ne suis pas ton chien! me répondit-il d'un ton menaçant.

- Je te parle comme je veux. lui dis-je sechement en le fusillant du regard

- C'est pas parce que tu es chef de gang, que tu dois me parler comme ça. Paris est ma ville, tu me dois obéissance, petite salope!"

Quoi?! Il a dit quoi? J'ai crus mal entendre! Il ne sait rien de moi, alors, il n'a pas le droit de me traiter de salope! Je ne l'ai pas insulté, moi! La dernière fois que quelqu'un m'a traité de "salope", il est mort! Donc voilà ce qui attend Andrew Johns! Je plante mes yeux dans les siens, et lui dit, d'une voix glaciale et dure:

"Répètes encore une fois ça, et je te tue sur le champs? Suis-je assez claire?!

- T'es sourde en plus?!"

Ce fus la goutte qui fit déborder le vase. J'attrapai son avant-bras, et l'entraînai à l'exterieur du lycée. Nous sortîmes donc de l'établissement. Il m'interrogeait du regard, mais je ne lui donnais aucunes réponses. Ce serait trop gentil de ma part!

Je l'emmène dans un petit parc, et le fait s'asseoir sur un banc. Il ne bronche pas. Quand à moi, je reste debout. De la sorte, il est plus petit que moi, et je peux l'intimider; ou du moins, essayer.

On entend les oiseaux chanter, et les branches des arbres se courber au grés du vent. Quelques enfants jouent dans le bac à sables. Tout est calme et paisible. Maisça ne va pas durer...

Je lui dis alors, d'une voix intimidante:

"Andrew, arrêtes de faire chier le monde! Tu es le plus grand des emmerdeurs, et rien ne te va. Tu fais des choses complètement idiotes, et insencées. Tu ne connais rien de ma vie, et tu ne sais pas qui je suis, alors laisse moi! arrêtes de te prendre pour le plus grand, et laisse tomber ton côté macho! Je sais que tu me détestes parce que je te fais de l'ombre avec mon gang mais ce n'est pas une raison pour m'insulter! Moi aussi je peux le faire, mais je ne le fais pas! J-

- Non!" me coupa-t-il.

Il se leva alors. Son corps était maintenant proche du miens. Etant plus grand que moi, il baissa le visage, pour me regarder dans les yeux.

Je ne comprenais pas ce qu'il voulait dire. Pourquoi, "non"? Je fronçais les sourcils. Il me dit alors d'une voix douce, contrairement à la mienne quelques minutes plus tôt:

"Non, je ne te déteste pas.

- Quoi?" lui demandais-je d'une voix plus calme.

Il s'approcha alors de moi, jusqu'à ce que nos souffles s'entre-mêlent. Mon coeur s'accéléra. Je n'avais qu'une crainte à présent: qu'il remarque la rapidité du soulèvement de ma poitrine. Que me prenait-il? Ca ne devait pas recommencer! Cependant mes membres ne voulaient pas bouger. Je connaissais trop bien ce sentiment. Je ne devais pas me laisser avoir; pas cette fois encore!