Arc 2 : Boruto X Sumire / Shikadai X Sarada / Inojin X Himawari

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PDV Boruto
Sumire avait été autorisé à quitter l'hôpital deux jours plus tard. Mon père avait catégoriquement refusé qu'elle retourne à l'orphelinat et lui avait proposé ainsi qu'à Namida de venir vivre chez nous quelque temps. Les deux avaient fini par accepter, on avait donc convenue que les filles dormiraient avec Himawari. À peine avait-on fait un pas dehors que Sumire, c'était accroché à mon bras, refusant obstinément de me lâcher. Pire encore, après notre petite discussion à son réveil juste après le viole, elle, c'était emmurer dans le silence, refusant obstinément de parler. Elle avait peur de tout et de tout le monde. Un infirmier avait voulu hier soir lui faire passer quelques examens, mais elle avait pris peur et c'était débattu comme une diablesse. Elle ne laissait personne l'approcher, que se soit fille ou garçon, il n'y avait que moi, qu'elle refusait de lâcher. Mais cette proximité ne me dérangeait pas, j'aimais la savoir proche de moi, j'avais peur qu'elle s'éloigne. À l'hôpital, j'avais découvert de nombreuses traces de mutilation sur son poignet, mais elle avait refusé de répondre à mes questions, toujours enterrer dans son silence. Namida ne savait rien non plus à se sujet, je l'avais de nombreuses fois questionné, mais elle était autant perturbé que moi.
Nous arrivions enfin à la maison. Les deux filles sortirent de la voiture et mon père déposa les affaires qu'il était parti chercher à l'orphelinat.

PDV Shikadai

Ça faisait maintenant un peu plus de trois moi que Sarada était enceinte, et je n'en pouvais déjà plus. Entre ses sautes d'humeur et ses caprices à répétition, j'étais au bord de l'over dose.

Papa avait beau m'avoir expliqué que c'était normal, que c'était à cause des hormones, moi, je ne trouvais pas normal qu'elle se lève au milieu de la nuit pour aller mangé des Chamalow au Nutella. Surtout qu'elle se met à pleurer dès que je lui ordonnne d'aller se coucher.

Parce que oui, elle est dans une phase de lamentation, de larme, et de : « Je vis une vie de merde ».

J'avoue que la voire dans cet état continuel me faisait vraiment mal, elle n'allait pas bien et je le savais. Déjà qu'elle vivait mal sa grossesse...

Je faisais ce que je pouvais pour la soulager. C'est dernier moi, je n'avais pas arrêté de lire des livres sur le sujet, sous le regard désapprobateur des bibliothécaires. J'avais imaginé des stratégies toujours plus tordu pour l'aider à cacher sa grossesse, pour l'empêcher de boire de l'alcool, pour qu'elle ne soit pas seule trop longtemps. La plupart des nuits, on dormait ensemble, je préférai être la en cas de pépin. Elle me disait sans arrêt que je l'étouffais, que je devais lui laisser un peu d'espace, mais ma sûr protection était le pris à payer pour son bien-être. Pas le choix, elle allait devoir l'accepter.

Je la réveillais doucement, luis annoncent qu'on devait aller en cours, mais j'eu directement droit à un coussin dans la tronche, m'annoncent que je devais aller en cours, et qu'elle, elle dormait. Mais ça ne se passerai pas comme ça. Elle est bien gentille, mais on a le bac à la fin de l'année, elle devait arrêter ses caprices d'enfant. Surtout que d'après mes calculs, l'or du bac, elle serait entre cinq et six moi de grossesse, c'était donc largement faisable.

Je lui ordonnais une nouvelle fois de se lever, mais pour toute réponse, elle se tourna sur le côté, à l'opposer de moi.

Je lui attrapai l'épaule et la tournais de nouveau vers moi. Des larmes coulaient sur ses joues.

Sarada : veux pas y aller. Il y a trop de monde et trop de bruit. Je veux rester à la maison. Tu n'auras qu'à me donner les cours.

Pas de titre/Pas de planOù les histoires vivent. Découvrez maintenant