Mitsuki x Chocho / Boruto x Sumire

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PDV Chocho

Choji: Comment, comment vas-tu ? Où étais-tu ?

Mon père était devenue très maigre, ses joues étaient creusées, ses yeux cernés, mal rasé, clairement négligé.
Il s'approcha de moi et posa une main sur mon épaule, je m'en dégageai immédiatement.

Choji: Pardon, je ne voulais pas te brusquer. S'il te plaît, dit moi juste comment tu vas.

Chocho: Je vais bien. J'ai trouvées un endroit pour dormir.

Choji: C'est bien, c'est bien. Tu, tu ne veux pas que l'on mange quelque part ?

Chocho: Ne m'approche pas !

Choji: Je comprend, je comprends.

Mon père avait une tête déconfite, mais gardait son sourire.

Choji: et...et si tu me rejoignais, chez Ichiraku. Dans deux semaines, comme ça, tu auras le temps de réfléchir.

J'acceptai sans un mot puis repartie. Même si j'en voulais énormément à mon père, je ne pouvais que me réjouir de ce contact.
Je rentrais perturber chez mon haute. Celui-ci se rendit immédiatement compte de mon trouble.

Mitsuki: Chocho, tu vas bien ?

Chocho: Je...je crois que j'ai besoin de boire. Beaucoup boire.

Je me dirigeai vers le frigo pour trouver une bière.

Mitsuki: Je n'ai pas d'alcool chez moi.

Super.
Mitsuki s'approcha de moi par l'arrière et m'enlaça en glissants ses lèvres dans mon coup.

Mitsuki: Vient par là.

Il matira vers le lit où l'on s'allongea, et me sera fort contre lui.

Mitsuki: Raconte moi.

Je lui expliquai ce qu'il mettait arrivé, tendit qu'il caressait tendrement mes cheveux.

Mitsuki : Que vas-tu choisira ?

Chocho : Je ne sais pas. J'ai envie de pardonner, mais comment ?

Mitsuki: Tu as le temps de réfléchir.

Mitsuki se détacha de mes bras pour s'assoir sur moi.

Mitsuki: En attendant, détends toi.

Puis il commença nos petites affaires.

PDV Boruto
La lumière du jour passa sur mon visage, me réveillant, mais je ne voulais pas me lever, je ne voulais pas quitter les bras de celle que je chérissais tant. J'attendis qu'elle se réveille, regardant un long moment son visage endormi et ses courbes féminines simplement couvertes d'un léger drap prennent sa forme.

Sumire : t'as pas fini de mater ?

Me demanda t'elle ironiquement en ouvrent doucement les yeux.

Boruto : Jamais.

Je pris doucement son visage dans mes mains pour l'approcher de moi et déposer un baiser sur son front.

Boruto: Bonjours "Chéri ".

Sumire rigola doucement.

Sumire: Je t'ai dit au moins cent fois de ne pas m'appeler comme ça.

Je plaide coupable, elle a vraiment horreur que je dise ça, et c'est justement pour ça que je le faisais.

Boruto: Je sais.

Je lui lançai un clin d'œil, puis me levai pour aller préparer le petit déjeuner.

Pas de titre/Pas de planOù les histoires vivent. Découvrez maintenant