Pas de titre/Pas de plan

Shikadai X Sarada / Boruto X Sumire / Inojin X Himawari

PDV Shikadai

Je fus réveillé par le son de l'eau qui coulait dans la douche. Cette nuit, j'avais dormi chez moi avec Sarada.
Je consultai rapidement l'écran de mon cellulaire, 6 h. Que faisait-elle sous la douche à 6 h du matin ? Je me levai et entrai dans la salle de bain. 

Sarada : pervers, tu pourrais toquer.

Shikadai : on peut savoir ce que tu fous dans la douche à six heures du math ? 

Ses yeux s'écarquillèrent. 

Sarada : 6 h ? 

Ma parole, elle était complètement pommé. 

Sarada : oups, je n'avais pas vu. Tu sais que Boruto revient en cours aujourd'hui ? J'ai hâte de le voir et de lui demander des nouvelles de Sumire. 

Tss, encore Boruto. 

Shikadai : je vais finir par croire que t'es amoureuse de lui. 

Sarada rétorqua sur le même ton. 

Sarada : et moi que tu es définitivement vraiment con. 

Je ne pue m'empêcher de sourire. L'espace d'un instant, elle semblait être redevenue ma Sarada d'avant. 

Sarada : bon, tu n'as pas fini de mater comme un pervers ? 

Je sortis alors de mes pensées. 

Sarada : si tu tiens absolument à te rincer l'œil, tu n'as qu'à venir me rejoindre. 

Elle n'aurait pas à me le répéter. Je me déshabillai rapidement et entrai. Sans perdre plus de temps, je la plaquai contre le mur. Elle frissonna au contact du carrelage froid, un frisson que je trouvais terriblement excitant. Je posais mes mains sur la paroi lisse, pour l'empêcher de bouger, et collai mon corps au sien pour l'embrassé. Par réflexe, elle entoura ses gambes autour de ma taille. 

Sarada : six heures, ça nous laisse le temps de faire plein de truc... 

***

Les cours avaient commencé depuis déjà 5 h, et toujours aucune nouvelle de Boruto. Sarada ne faisait que fixer la porte, imaginant déjà des plans tordus pour lui faire payer son retard. Ça n'est qu'à la fin du cour, qu'il arriva enfin. 

Chino sensei : Boruto, plus de trente minutes de retard, dans le bureau du directeur. 

Boruto : je ne passe même plus par la case Perm ? Quel honneur. 

Chino sensei : ne joue pas au plus malin avec moi. Denki, accompagne le.

Denki : oui monsieur

PDV Boruto
Le dénommé Denki se leva et me rejoignit. J'avais déjà vu Denki en Sport, mais je ne le connaissais pas plus que ça. 

Bref, il m'avait emmené chez le vieux puis était retourné en cours. Évidemment, je m'étais pris une heure de colle, mais on avait plus discuté du cas de Sumire que du mien. Après tout, il restait mon grand-père, peu importe qu'il porte sa casquette de directeur.