Inohima, Borusumi, Shikasara

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PDV Himawari
On peut dire que tout c'était passé très vite, nos petits achats effectuer, nous étions rentrés chez lui pour "dormir" mais j'avais ce soir d'autres plans en tête. J'en avais assez de cette règle des seize ans, et puis ça ne comptai pas vraiment. Je me sentais enfin prête à sauter le pas. Assise dans ses bras, ensemble dans le canapé nous regardions un film qui ne semblait absolument pas nous intéresser. Inojin paraissait assez stresser et mal à l'aise.

Himawari : tu vas bien, t'as l'air stresser ?

Il hocha la tête, je sentais son regard se déposer sûr moi et me détailler.
Je ne pus m'empêcher de lâcher un petit sourire.

Himawari : je peux aussi te détendre...

Regard pervers scottcher a la figure, je me tournais face au blond claire de lune, des idées peut catholique en tête. Je m'installai à califourchon sur lui, mes mains poser contre son torse avant de glisser mon regard vers ses lèvres dons, j'avais hâte de prendre possession. Inojin semblait comprendre ce qui me trottait dans la tête, s'en vraiment vouloir y croire. Il haussa un sourcil l'air de dire :"t'es sur de toi ?". Au petit sourire en coin qu'il avait, je sentais que cette idée n'était pas pour lui déplaire. Je m'empressais de l'embrassé langoureuse ment pour toute réponse et il y répondit sans réfléchir. Très vite, il me retourna sur le canapé avant de glisser ses lèvres dans mon coup.
Je commençais à passer mes mains sous son t-shirt avant de lui retirer complètement, je fis les détails de les mains pour capter chacune de ses lignes, mais alors qu'il allait à son tour me dénuder, il s'arrêta net avant de se relever tout simplement et de s'assoire sagement, la tête prise dans ses mains.

Himawari : heu... Inojin... Ça va ?

Inojin : désolé, je ne peux pas...

Face à mon regard bourré d'incompréhension, il semblait vouloir s'enterrer encore plus.

Himawari : qu'es-ce qui t'arrive ? Ça ne te ressemble pas... C'est parce que je suis vierge ? Si c'est ça désolée, mais à moins que je te trompe, je n'y peux pas grand chose...

Inojin: ce n'est pas ça... Je... J'ai fait une connerie...

Bon sang encore ?! Qu'avait-il fait cette fois ?!
Je me contentais d'un regard peux engagent tandis qu'il se cachait les parties l'air de dire : "s'il te plaît, pas encore..."

Himawari : qu'es-ce que tu as trouvé pour me faire pleurer cette fois ?!

Inojin : quelque chose tu ne peux même pas savoir à quel point, je m'en veux...

Je m'asseyais à côté de lui posant une mains rassurante mais ferme sur sa cuisse.

Himawari : tu t'es tapé Kawaki.

Surpris, il se retourna vers moi tendis que je faisais une tête à mi-chemin entre la yaoïste intéressé qui aurait bien voulut voir ça et la fille en colère parce que je me devais d'être un minimum en colère.

Inojin : il te l'a dit, c'est ça ?... Pourquoi tu ne m'as pas cogné ?

Himawari : il m'a dit que c'était pendant la période où on était en froid... D'un point de vue strictement technique on était plus en couple donc tu ne m'as pas trompé. Mais Kawaki, est quand même un sacré connard de c'être taper mon ex.

Inojin : heu... Tu sais quoi exactement ?

Himawari : tu veux savoir, alors je vais tout te raconter. Inojin avait décidé d'avoir une grande conversation avec Kawaki à mon propos, mais entre deux trois crises, ils commencèrent tout deux à forcer sur la boisson.

ATTENTION NOUS PASSON DANS UNE ZONE DE LEMON ÉCRITE PAR andreasfp2 alors les âme sensible et non perverse, merci de vous abstenir. Vous ne serez pas perdu dans la suite.

Pendant qu'Inojin regardait Kawaki, il sentit les mains chaudes de celui-ci lui enlever son haut, l'alcool brouillait les esprits des deux comparses pour qu'ils se rendent compte de leurs actions. Kawaki allongea le Yamanaka sur son lit et enleva ses vêtements, Inojin fit pareil. Kawaki donna son sexe comme cadeau à Inojin qui prit l'offrande et commença à le gober malgré le liquide âpre qui en échappait. Au bout de quelques minutes, Kawaki embrassa le cachet d'aspirine avant de le faire se placer à quatre pattes puis d'insérer son sexe en lui. Continuant de s'embrasser encore et encore, le reste de la nuit fus partager entre bruit de bonheur, de cris animale et d'embrassade.

Pas de titre/Pas de planOù les histoires vivent. Découvrez maintenant