Shikadai x Sarada/Boruto x Sumire/Mitsuki x Chocho

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PDV Sarada
On n'avait pas revus Chocho après que Mitsuki lui ai parlé. Je lui avais envoyé plusieurs messages au quels, je ne reçue aucune réponse.

Shikadai :Sarada, si tu ne m'écoutes jamais, on auras pas fini le devoir à temps.

Je sortis de mes pensées. On avait fini les cours depuis longtemps déjà, j'étais chez Shikadai depuis plusieurs heures pour travailler sûr ce maudit devoir d'SVT.

Sarada: Désolé.

Pour me faire pardonner, je reculai la chaise sur lequel il était assis, pour pouvoir l'embrasser. Il y répondit immédiatement tendrement, puis langoureusement. On se décrocha par manque d'air pour mon plus grand désespoir.

Shikadai : Faut vraiment qu'on finisse, et ça serait plus rapide si tu m'aidais, il est déjà 19h.

Sarada: Ça vas, ça vas.

Je m'appuyai sur le bureau, puis on continua le travail. Si Chino ne me met pas au moins 16, je fais grève pour le reste de l'année. C'est une heure plus tard, que l'on termina enfin.

Sarada: Enfin fini !

Shikadai : C'est pas trop tôt.

Je regardai pour une énième fois l'écran de mon téléphone pour vérifier mes messages.

Shikadai : Encore ? A croire que ça te saoule d'être avec moi.

Sarada: C'est pas ça, je m'inquiète pour Chocho.

Shikadai: Moi aussi. On lui parlera demain, ok ?

Il posa sa main sur ma joue, pour la caresser doucement. Je me penchai sur lui pour l'embrasser, Shikadai passa ses mains dans mon dos pour m'inciter à me rapprocher de lui, je m'assis à califourchon sur ses genoux. Il sembla surpris de mon geste, mais ça ne parut pas lui déplaire. Il renforça son étreinte dans mon dos pour que mon corps continue à progresser verre le siens jusqu'à ce que nos bustes sois presque collés. Shikadai passa ensuite doucement une main sous mon t-shirt, le soulevant de plus en plus, la seconde trouva place sur une de mes cuisses, qu'il caressa doucement. Alors que je commençai lentement à soulever son haut, la porte s'ouvrit brusquement.

Shikamaru : Shikadai......ho pardon, je dérange...ta mère veut te voir...

Shikadai rompit notre baisés pour tourner la tête vers son père, je me relevai immédiatement, gêné. Mon copain se leva d'un bond a son tour, pour aller vers Shikamaru.

Shikadai : Oui, tu déranges, tu diras à maman que je suis occupé.

Il poussa son père à l'extérieur de la pièce avant de claqué la porte et de tourner la clef dans la serrure.

Shikadai : Je te jure, toujours au mauvais moment. On en était où ?

Mon copain m'attira de nouveau vers lui pour que l'on continue notre baisers. Dans son élan, il m'allongea sur le lit avant de s'assoir sur moi et de retirer son haut.

Censuré (désolé, je n'irais pas plus loin, je ne fais pas de Lemon)

PDV Boruto
Je fus réveillé par les rayons du soleil, m'annoncent une nouvelle journée. Je regardai la belle endormie à mes côtés. Hier soir, j'avais prévenu maman que je finissais mon travail avec Sumire, puis que je dormais chez Inojin. C'est fout à quel point Inojin sert beaucoup d'excuses chez nous. Évidemment, rien de tout ça n'était vrais. La vérité, était que j'étais aller au Cinéma avec la violette, qu'on avait mangé chez Éclaire burger, qu'on était rentré chez elle et qu'on avait couché ensemble plusieurs fois
T'elle le pervers que j'étais, je ne pue m'empêcher de la regarder en détailles. Elle dormait sur le côté, son visage d'ange sur l'oreiller, le drap ne couvrant que la partie basse de son corps, et ses maudits cheveux cachant sa poitrine.
Le réveille affichait même pas 7h, je me levai pour enfiler rapidement un bas, ne manquai pas de l'embrasser sur le front au passage et me dirigeai vers le coin cuisine pour préparer le petit déjeuner. Car oui, je sais parfaitement faire à manger, j'avais pris l'habitude de cuisiner pour ma sœur quand ma mère était absente.
Sumire ouvrit doucement les yeux, réveillé par l'odeur de ma cuisine. Elle se leva doucement, me laissent une vue parfaite sur sa poitrine. Quand elle s'en rendit compte, elle se leva et attrapa rapidement le premier vêtement qui lui tombait sous la main pour l'enfiler, vêtements qui s'avérait être ma veste. Je ne pue m'empêcher de rougir, il faut dire que la veste m'étais en valeur ses formes. Bizarrement, l'idée de son corps nu dans mon vêtement, m'éxitait encore plus, je détournai le regard, pour mettre fin aux idée tordues qui me venais à l'esprit et pour sauver le pauvre plat, en train de brûlé.

Pas de titre/Pas de planOù les histoires vivent. Découvrez maintenant