Borusumi/Shikasara/InoHima

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PDV Boruto
Tout était près, réglé au millimètre. Chacun avait son rôle et savait quoi faire. Sarada occuperait Sumire pendant notre absence.
Himawari gérait nos parents et avait sois disant besoin d'Inojin. Mitsuki, Chocho et Shikadai venaient avec moi pour s'assurer qu'il ne s'en tirerait pas. Mais je ne les laisserais pas intervenir. C'est ma défaite face à lui et ma vengeance.
Les coups d'horloge annoncent 19 h venait de retentir et c'est le moment que nous avions choisi pour monter dans le train.
Alors que le qu'il entamait ses premiers mettre, j'avais senti que Shikadai ne semblait pas au mieux, quant à Chocho, elle regardait partout, autour d'elle. Cette situation était inhabituelle pour mes amis, surtout pour Shikadai qui n'était pas du genre à se prendre la tête pour, ces choses là.

Boruto : Shikadai, ça fait un baille qu'on se connaît tous les deux. Tu peux tout me dire, tu sais.

Il me fit un franc sourire visiblement soulagé que je lui dise ça. Comme s'il l'attendait depuis longtemps.

Shikadai : Boruto, je suis franchement un gros connard...

PDV Sarada
J'étais supposé m'occuper de Sumire, mais j'avoue que je n'étais franchement en état. Des cernes monstre sous mes yeux, une dépression qui commença à me monter à la tête, bref rien de très réjouissent...

Sumire : Sarada tu m'écoute ?

Sarada : ha... Je oui... Enfin... Non-pardon...

Sumire : qu'es-ce qui ne va pas ? Ca à un rapport avec le bébé ?

Je ne pue m'empêcher de soupirer, de toute façon, elle finirait bien par savoir, comme tous les autres, alors pourquoi le cacher plus longtemps...

Sarada : je me suis fait virer de chez moi... C'est fou, c'est une manie dans notre groupe, d'abord Chocho, maintenant moi...

S'en était presque risible, à croire que l'auteur de cette fic n'avais vraiment aucune imagination.

Sumire : depuis quand ?

Sarada : un jour ou deux...

Sumire : tu vis où ?

Sarada : chez Shikadai en attendant...

J'avais de la chance dans mon malheur, j'étais vraiment tombé sur un homme bon qui prenait soin de moi. Je savais que mon ananas veillait sur moi et qu'il serait à mes côtés pour me supporter jour après jour.... Au final, dans cette relation, le seul problème, c'était moi. Je ne lui attirais que des ennuis, je ne méritais pas un garçon comme lui, je ne suis qu'une minable bonne qu'à chialer, il ne reste avec moi que par pitié.

Mais larmes commençaient à couler sous cette perspective bien sombre. Pourtant, je savais que je me montais la tête pour rien, que mon baragouinage ne voulait rien dire, que je me matais à moi même. Mais cette petite voit me hantait et ne semblait pas vouloir daigner me quitter pour me laisser en paix depuis le début de ma grossesse.

Sumire : qu'es-ce qui t'arrive ?

Elle posa une main rassurante sur mon épaule.

Sarada : et si Shikadai me detestai ! Parce que je suis faible, grosse, et que je ne fais que des bêtises !

Sumire : Shikadai t'aime. Plus que n'apporte qui. Et c'est lui qui t'a engrossé, alors il ne peut rien dire là-dessus.

Elle se mit à rire sur ces derniers mots. Je ne pue m'empêcher de la suivre, même s'il n'y avait pas de quoi.

Sumire : qui t'a viré ?

M'avais telle demander après les minutes interminables ou nos rires avait augmenter jusqu'à ce que nous nous roulons par terre.

Pas de titre/Pas de planOù les histoires vivent. Découvrez maintenant