Boruto X Sumire/Inojin X Himawari/Mitsuki X Chocho

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PDV Boruto
Il devait être minuit quand je me décidai a rentrer chez moi. Je n'avais absolument pas vu le temps passé, pour être honnête, je m'étais amusé comme un fou avec les garçons.

Sachant pertinemment que je ne ferais pas le pois face a ces cinq gros bras, j'avais adopté la vois de la diplomatie, et a mon plus grand soulagement, ca avait parfaitement fonctionné. On avait pas mal parlé, puis on avait été au bar. C'est fous ce que j'avais pue apprendre sur eux en une soirée, j'en savais plus sur leurs vies et sur leurs enfances que sur celle de mon propre père.

J'avais ensuite couru jusqu'à la maison, presser de retrouver ma belle violette qui a tous les coups devait s'inquiéter.
Je me fis rapidement enguirlandé par ma mère, puis je montai dans ma chambre. Je fus surpris de n'y trouver que le son du vent, venant de la fenêtre restée ouverte.

Je fouillais la maison de la cave au grenier, de plus en plus stresser.

Boruto : maman, t'as vu Sumire ?

Maman : je pensais qu'elle t'avait rejoint.

Pardon ? Non, elle n'était quand même pas sortie seul dehors.

Boruto : elle a peur de sortir, elle n'aurait jamais fait ca.

Hinata : j'ai entendu la porte claqué toute a l'heure et tu n'étais pas là. Quant à Himawari, elle passe la soirée avec une amie. C'était donc forcément Sumire.

Avec une amie ? Tu parles... Inojin t'a intérêt à la ramener cette fois. Mais bref, ce n'est pas le sujet. Si Sumire est sorti, elle peut être n'apporte ou, il aurait pu lui arriver n'apporte quoi ! Ce n'est pas une heure pour sortir seule pour une jeune fille sans défenses. Oui, j'ai bien dit sans défense. Encore Sarada ou Himawari, elles savent se battre, mais Sumire... Les ressent événements nous l'on prouver.

PDV Himawari
Inojin et moi, on avait passé la soirée ensemble, enfin... À la base c'était l'après midi, puis c'est passé à soirée, et avant qu'on comprenne ce qui nous arrive, c'était la nuit.

Himawari : il est plus d'une heure du matin, je devrais rentrer.

Inojin : effectivement.

Mais aucun de nous deux ne bougeait. Nous étions allongées dans le canapé, en cuillère. Il avait sa tête dans mon coup et un bras autour de mes hanches, quant au second, il allait du côté droit de ma taille jusqu'à mon Épaule gauche.

J'étais bien, dans ses bras. Ma tête reposait contre son bras, et l'une de mes mains caressait tendrement ses cheveux.

Himawari : tu sais, je vais bientôt avoir seize ans.

Je le sentis tressaillir. Pourtant, il allait bien falloir qu'on est cette discussion un jour.

Inojin : j'ai entendu ça.

Himawari : dans une semaine.

Il eu un nouveau frisson.

Inojin : Hima... Tu sais... Je ne t'oblige à rien. C'est à toi de faire ce choix. Ci t'es pas prête, ce n'est pas la peine de bousculer les choses...

Après s'être plein pendant des siècles que je sois trop jeune, après avoir parlé de moi avec ses potes comme un gros pervers, oui, ça aussi, je suis au courant, Shikadai est un super indique, et après avoir essayé de me violer, il me sortait sérieusement ça ?

Himawari : fait pas genre. Tu n'es pas crédible.

Un léger rire lui échappa. Il embrassa doucement mon épaule, avant de rétorquer.

Inojin : je suis très sérieux. Je ne te cache pas que j'en ai envie, mais je ne veux pas te mettre la pression.

Ça aurait sûrement dû m'effrayer, mais je n'avais pas peur. Je savais que je pouvais lui faire confiance. Mais malgré ça, je ne voulais pas le donner à lui si vite, car si vous vous souvenez bien, mais vengeance est loin d'être terminé.

Pas de titre/Pas de planOù les histoires vivent. Découvrez maintenant