chapitre 8

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On a besoin de quoi pour allez en colle? Bon je vais prendre ma trousse et un paquet de feuille. Je mit tout dans mon sac ferma la maison et parti.

*grrr*

Je crois que j ai faim je viens juste de retirer la clé de la serrure et lui ce met a gargouiller bon bah je vais prendre un petit truc et partir.

Dans le bus il n'y avait presque personne. Soit des collés comme moi soit des gens qui ont cours.

Arrivé je me dirigea ves la salle de permanance ca doit être la qu'on fait les colles. Ah bah oui il y a Zack.

J'entra et m'assis a une place dans le fond.

-Vous la-bas... Dis le surveillant. 

Tout le monde se retourna vers moi ce qui me fit lever la tête.

-Rapprochez vous.

Je me leva lentement et me déplaca prenant tout mon temps. On est le matin faut pas l'oublier.

Je m'assis a la même hauteur que Zack mais dans la rangée d'a côté.

4heures de colle...

Ca faisait déja 2 heures que je faisais des gribouillis sur une feuilles quand les personnes collé 2 heures arrivèrent. Alors il y a le club des "l" je les ai appellé comme ca car elles ont toutes un prenom commencant par l. Elles sont insséparrable même quand il s'agit de colles. Il y a Linda, Leila, Laura, Lina, Léa. J'avais jamais remarqué mais leurs prénoms commencent pareils et ce finnissent pareils. Ensuite les amis de Zack. Sérieux c'est la mode de ce faire collé avec ses amis ou quoi? Alors il y a Zack qui est la depuis deux heures déjà. Yann, Harry, Louis et Matt. Tous incroyablement beau mais aussi incroyablement con.

Linda s'asseya à côté de son copain sans arreter un seul instant de glousser. Je crois qu'elle c'est transformait en dindon sérieux. Voilà je ris toute seul on va vouloir me faire interner.

Pendant ces 2heures qui me parurent très longues les boulettes fusaient dans ma direction. Une seule question. Pourquoi moi?

Une fois chez moi je mangea. Fis mes devoirs et m'affala sur le canapé.

Je zappe, ca sonne, je zappe, ca resonne, je me lève et vais ouvrir. Je crois que je vais acheter une pancarte "ne pas sonner, ne pas frapper et partez".

Bah c'est le même gars que la dernière fois.

-Il est pas la et il a un portable pas la peine de faire le déplacement.

-Ton père est a l'hôpital, c'est ta mère qui m'envoie te chercher.

J'avais l'impression de tomber dans un gouffre sans fin. Ma vue se troubler je n'entendais plus ce qu'il me disais. Ma respiration se bloquer et les questions me bombardait l'esprit ainsi que la peur de la gravité de son état plus rien n'avait de sens pour moi a cette instant précis.

Je vis sa voiture ne prit pas la peine de me preparer ou de fermer la porte je couru et m'installa dans sa voiture. Il ferma a ma place et pris place a côté de moi. Il mit sa main sur la mienne en me disant des paroles qui se voulaient réconfortant. J'esquissais un sourire très minime.

bouleversementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant