Voici deux jours qu'elle venait d'aménager ici et Maria à aucun moment n'eut l'envie de descendre, elle n'était pas sortie de sa chambre et prenait tout ses repas étant enfermé.
Pas une seule fois Mark n'était monter la voir, elle se sentait comme une chose dans cette immense maison.
Maria admirait le jardin depuis son balcon, elle fut tenter de s'y promener à l'intérieur mais eut peur de la réaction de Mark après tout, il lui avait presque prise sa liberté.
Quelqu'un frappait à la porte, Maria refermait les portes du balcon , elle se dirigeait vers la porte lorsque celle ci s'ouvrit.
Maria eut un mouvement de recule en voyant Mark rentré.C'est pas vrai, il ne pouvait pas attendre son approbation ?
-- vous auriez dû attendre que je vienne vous ouvrir. Siffla t-elle sur la défensive.
-- quand comptiez vous sortir d'ici ?
Il l'a considérait l'air mécontent, Maria n'avait pas retirer ses fringues de femme de ménage et pire encore, elle avait encore son chion désordonné. il avait pourtant prit le soin de lui apporter des vêtements digne d'une femme. Alvina avait sélectionner les plus belles robes des boutiques, mais elle préférait ses mauvais accoutrement.
Maria se raidit lorsqu'elle sentit le regard de l'homme insister sur sa robe trop grande pour être la sienne.
-- vous le faites exprès ? Gronda t-il
Maria sursauta en reculant.
-- je n'avais pas très envie de sortir d'ici. Répond t-elle petite.
-- je me moque pas mal de vos envies. Je veux voir dans moins d'une demie heure en bas. Et tachez d'être présentable.
-- par ce que je ne le suis pas ?
-- vôtre père avec ses millions aurait du vous payer un professeur de tenue, non mais regardez vous. Lui dit t-il alors qu'il indexait sa robe.
-- j'ai.. Je...
-- je promets de brûlez toutes ses cochonneries si vous osez les remettre. Cracha Mark.
Maria n'avait aucun doute sur ce fait, il en était bien capable et même du pire. Elle se frottait nerveusement le bras pour effacer les frissons qui apparaissait sur son corps. Mark tournait les talons et s'en allait en fermant la porte sans aucune class.
Troublée voir terrifié, Maria ne savait plus quoi se mettre elle sortie cinq robe de son dressing-room plus les analysait une par une. Quelqu'un frapper à la porte. Aussitôt le coeur de Maria se gonflait, elle s'imaginait déjà entrain d'éteindre l'incendie que va provoquer Mark.
Elle ouvrait nerveusement la porte et fit surprise de voir Alvina. Elle avait les yeux pllus bleu ce matin, elle lui sourit en entrant.
-- du mal à choisir ta tenue? Lance t-elle amusé.
Elle avait un fort accent britannique, Maria l'a considérait sans répondre alors la jeune fille partait sans se gêner dans le dressing-room et en sortie avec une robe de couleur rouge bordeaux.
-- celle là. S'écrie t-elle.
Maria s'approchait pour mieux regarder la robe, elle semblait courte. Elle réprima une grimace d'hésitation. Ce n'était pas trop son genre les petites tenues.
-- elle t'ira bien. Essais là.
. Maria fut quelques peu soulager d'avoir en face d'elle une personne plus chaleureuse que Mark. Elle prit la tenue puis se dirigeait dans le dressing.
Elle sortie cinq plus tard après maintes questions et réponses. La jeune fille se mit à sourire heureuse d'avoir fait un bon choix, car la robe lui allait comme une seconde peau.
Maria se regardait dans la glace rouge de honte. La robe lui dessinait toutes ses courbes, jamais elle ne supportera le regard de Mark.Et si ce dernier ne l'appréciait pas? Après tout il lui avait dit une semaine plutôt qu'elle n'était pas du tout attirante. Maria se contemplait frustré et moche.
Si seulement elle avait cette taille de guêpes comme Alicia peut être qu'elle attirerait plus l'attention des hommes. Au lieu de ça, ses origines latino se peignait sur l'étendu de son corps.-- elle te va à ravis.
Maria se tournait pour regarder la jeune fille.
-- tu crois ? Demandé t-elle l'air pas convaincu.
-- bien-sûr , je suis une pro et si je te dis qu'elle te va c'est qu'elle te va. En plus, je l'ai toutes choisie moi même.
Maria lui sourit timidement en guise de merci
-- bon maintenant il faut te détacher les cheveux.
-- mes cheveux ?
-- oui... Depuis ton arrivé ici les pauvres sont coincé dans ce maudit chion.
Sans trop Parler, la jeune fille passait à l'action en lui enlevant son attrape chion. Les cheveux de Maria tombait en cascade sur ses hanches.
-- tu as de très beau cheveux. Complimenta son professeur.
-- merci.
Maria constatait que celle ci avant les paumes chaudes ce qui lui fit sourit, elle était chaude comme sa personnalité.
-- viens on descend déjeuner. Mais avant...
Alvina lui ôtait ses lunettes sans demander son avis, la vision de Maria devenait moins clair. Elle n'enlevait sa paire d'yeux Au risque de buter contre le mur toutes les cinq minutes. Elle se pressait les yeux pour améliorer sa vue.les choses semblait toutes petites et reculer.
-- remets les moi. Demande Maria
-- tes yeux sont magnifique. Pourquoi es ce que tu les caches avec ses lunettes ?
-- je souffre de astigmate
-- c'est quoi ça ? Interrogea Alvina
Pendant que Maria lui expliquait ce que s'est, Alvina repliait les lunettes pour les ranger sur la commode. Elle lui prit la main de s'en apercevoir puis la trimballait dans les escaliers. Maria se plaignait de pratiquement rien voir sans ses lunettes.
-- enfin une femme dans cette maison, je me sentirai moins seul. Fit Alvina pour faire diversion.
Elle l'aidait à descendre les escaliers en lui attrapant la main. Mark les observait perplexe, à quoi es ce que ses deux là devait bien jouer?
Les jeunes se rapprochait de la table à manger, Alvina lui lâchait expressément la main , Maria butait contre la table
-- aïe !! S'écrie-t-elle
Mark plutôt que de l'aider, restait tranquillement assis. Nathan se levait pour l'aider à s'installer. Pendant quelques secondes, Mark avait pu l'observer discrètement, il devait avouer que sa robe lui allait à ravir.
-- vous vous êtes fait mal? S'enquit t-il sans aucune émotion.
-- bien-sûr que non, c'est la table qui s'est faite mal. Répond t-elle sèchement.
Elle pu enfin lever la tête vers lui, les yeux de Mark se perdait dans ceux de Maria. Son coeur eut une drôle de sensation, un peu comme surpris comme s'il n'aurai jamais du plonger son regard dans le sien. Il reçu une forte décharge dans son corps...
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MA MALÉDICTION (Tome 1)
Romance-- jamais! Cette entreprise m'appartient, je suis la seule a pouvoir décider de son sort et moi Maria Grey's je refuse d'offrir ce trésor sur un plateau d'argent à cet inconnu. -- tu as penser à notre réputation, que diront les médias, les gens dan...