Après quelques secondes, Maria revenait pour lui dire qu'il ne s'agissait que d'une panne.
Elle lui prit la main pour la trimballer jusqu'a l'interieur.-- sa sent plutôt bon ici. Fit remarquer Alvina.
Soudain la lumière revenait, Alvina sursauta. Lorsqu'elle relarquait la petite decoration avec son prenom ecrit, elle eclata de rire, ils s'étaient tous égaré où quoi? Ce n'était pas son anniversaire en tout cas ce n'était pas la date.
-- vous avez tous perdu la boule ou quoi, ce n'est que dans deux mois.
-- on le sais. mais on à voulu anticiper, tu as toujours voulu vite grandi n'es ce pas?
Tout le monde braquaient les yeux sur le nouveaux arrivé. Mark avait le chic pour se faire remarquer.
Alvina se tournait en douceur pour faire face à son frère.-- te voilà majeur. Acheva t-il avec melodie.
Avait t-elle bien entendu ou il s'agissait à lun de ses reves dont elle s'en reveillait deçue.
-- Mark?
-- Joyeux anniversaire Alvi.
Il lui tendi l'un des paquets qu'il avait en main, elle n'arrivait même pas à lever la main pour le lui prendre. Alors comme toujours, se fut Nathan qui intervenait. Il le prit et le remit à Alvina.
-- bah alors, on n'a pas chanter. Fit sa copine Ornella.
Alvina fut agréablement surprise de la voir ici. Elle se jetait dans ses bras, celles ci s'embrassaient fort alors que les autres chantaient son joyeux anniversaire. Alvina se mit à sangloter, elle ne s'était jamais imaginer recevoir une telle affection alors que ce n'était pas son anniversaire.
-- merci...
-- bah alors tu ne va pas te mettre à pleurer. Taquina Ornella.
-- Nathan l'a trimballait jusqu'aux canapé, elle decouvrait une dizaine de cadeaux.
-- de la part de tout les employés, de Maria, de Ornella, et de moi. Ah j'oubliais mon pote Steph t'a offert un petit présent.
-- merci, fallait pas vous donnet cette peine.
-- tu es notre princesse. Declara Nathan.
Elle embrassait son frère puis le prit dans ses bras.
-- tu ne vas pas embrasser Mark? Murmura t-il à son oreille.
Un frisson l'a traversa, sa faisait un baye qu'elle avait arrêter de le faire de peur qu'il ne sente la peinture sur elle. Alvina retardait encore leur accolade.
-- fais pas la dure Alvi.
Il l'a chatouyait pour dissiper les soupçons car son visage n'était pas très beau à voir. Elle eclait de rire.
-- vas y. Il en à besoin aussi.
-- plus tard.
-- promets le moi.
-- c'est promis.
-- bon alors et si on commençait par deballer les cadeaux? Lança Maria.
-- OUI!
-- Commence par celui là! S'ecrie son amie en indexant le paquet qu'elle tenait en main.
Alvina s'installait dans le canapé puis sortit le coffret du paquet. Elle enlevait delicatement le ruban puis dechirait l'emballage. Le coeur battant, Alvina fermait les yeux lorsque dechirait le dernier emballage, le carton de son carton.
Elle essayait de deviner de quoi il s'agissait. Elle ne trouvait rien alors elle se decidait à ouvrir les yeux.
Elle fut surprise de voire qu'il était en bois, elle ouvrait le croffret et fut plys surprise de voire une lignée de gouache. Elle levait d'abord le regard vers Nathan puis Maria ne comorebant pas le sens de ce gateau d'un tel cadeau.--euh... Je... Je ne
-- se sont des gouache? De la peinture? S'enquit son amie.
-- oui... Alvina va nous peindre de magnifique paysages. Repond Mark.
Si elle avait un jour cru entendre ses phrases venant de la bouche de son frère, c'était certainement pendant l'un de ses rêves.
-- mais avec quoi...
-- je sais que tu as un pinceau en reserve.
Maria lui fit un clin d'oeil en signe de leur petit secret, en effet Alvina avait toujours son pinceau.
-- merci.
Elle se levait puis se jetait dans les bras de son frère. Mark ne reagissait pas, il avait tant voulu le faire un peu plus tôt. Il l'a serrait fort.
-- tu m'éttouffe Grrrh . fit t-elle pour amuser la galerie.
Lorsqu'il l'a relachait, son premier regard fut pour Maria, qui avait assister à la scène, elle devait reconnaitre qu'il avait fait des efforts surhumains en cette journée.
Elle lui sourit tendrement avant de se tourner vers les autres.Il s'excusait auprès de Alvina puis montait à l'étage, sa journée avait été plus qu'épuisante, il avait même du annuler une reunion pour pouvoir être à l'heure à la soirée de sa soeur.
Malgré la fatigue, Mark était heureux d'avoir gagner un sourire de Maria. Cependant, il était un peu triste de n'avoir pas pu lui remettre son cadeau. Il espérait se faire pardonner. Il filait sous la douche où il y restait une demie heure. L'eau froide lui faisait énorment de bien.
Après sa douche, il revenait achever son travail laisser en suspent jusqu'à s'endormir.
La soirée s'achevait à minuit,après avoir nettoyer le mini bazzare les employés regagnaient leurs doitoires, Maria avait demander à Ornella de rester dormir avec Alvi, il se faisait trop tard pour prendre le volant.
Elle restait seule en bas alors que les autres étaient monter, MARK n'avait rien avaler, à le voir s'eclipser de la fête, elle avait compris qu'il n'était pas très festif. Elle se demandait bien ce qu'il aimait ce type. Certainement donner les ordres aux autres.
Elle montait les escaliers avant t'eteindre la lumière. En passant devant la porte de Mark, elle remarquait que la lumière était encore allumée. Elle s'arretait quelques secondes hésitante .
Elle voulu frapper mais se resignait, elle s'assurait que sa porte était fermé à clé mais non, elle ne l'était pas. Alors Maria s'y gkissait après s'étre aequ'elle ne violait aucune intimité.
-- monsieur ?
Il ne repondit pas alors, elle s'avancait jusqu'au lit pour le trouvait endormi. Maria rougie toute seule lorsqu'elle le vit à moitié nu étendu sur lit. Elle s'était longtemps imaginer son corps, jamais elle n'aurait cru qu'il était aussi bien barraqué. Oliver avait de grand pectoreaux et un ventre trop bien scuplté avec des abdos en betons.
Elle regardait ses trait jusqu'a leur fin qui donnait dans son boxeur. Elle remuait la tête en sachant les idées tordues qui prenaient possession de son corps.
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MA MALÉDICTION (Tome 1)
Romantizm-- jamais! Cette entreprise m'appartient, je suis la seule a pouvoir décider de son sort et moi Maria Grey's je refuse d'offrir ce trésor sur un plateau d'argent à cet inconnu. -- tu as penser à notre réputation, que diront les médias, les gens dan...