pages 43

3.6K 330 12
                                    

Maria prenait peu à peu conscience, elle voulu ouvrir cependant c'était le noir total. La panique l'a gagnait car, ses yeux ses étaient bander, ses mains ligoter et jambes attaché.

Elle ne pouvait effectué le moindre petit geste. Lorsque ses esprits revenaient, Maria se mit à hurler.

-- qui êtes vous? Qu'es ce que vous le voulez ? Interrogea t-elle toute tremblante

Il semblait y avoir personne, après avoir été sûre qu'elle était effectivement seule. Elle essayait de se défaire les noeux. Ne pouvant pas le faire, elle se tordait sur le sol jusqu'à trouver un moyen se tenir sur ses pieds.

Maria essayait d'utiliser son odorat pour en mieux en savoir sur l'endroit où elle se trouvait. Cependant l'immonde odeur qui régnait dans la pièce pouvait même lui faire croire qu'elle se trouvait dans une décharge.

Elle sautillait dans la pièce à la recherche d'un objet qui lui servira à couper ses cordes. Par chance, sa jambe effleura un bout de tôle qui l'a blessait légèrement. Maria lâcha un petit cri de douleur mais bien trop heureuse pour se lamenter. Elle s'accroupie puis tendait les bras dans son dos en faisant des gestes horizontale.

Maria sentait peu à peu les cordes céder, priant le ciel pour que son ravisseur ne reviennent pas de si tôt. Bien que ses bras se fatiguait à mesure qu'elle y mettait plus d'énergie, Maria ne lâcha pas prise car sa vie en dépendait. Elle grattait de toute ses forces jusqu'elle sente que la corde s'affaiblit.

Elle se tordait les bras pour s'en libéré. Puis d'un geste rapide et nerveux, elle s'arrachait les bandes sur les yeux. La pièce dans laquelle elle se trouvait, était dans le noir total et sans ses lunettes , elle ne pouvait pratiquement rien voir.

Maria tâtait chaque objet dans la pièce à la recherche d'un téléphone. Biensure il ne fallait pas s'attendre à un téléphone dans cet endroit infecte cependant, elle avait une grande foi en son Dieu et elle avait l'ultime conviction qu'il ne l'a laissera pas tomber.

Puis soudain, une lumière l'a fit sursauter. Elle n'avait pas halluciné car c'était bien la petite ampoule à l'autre angle qui venait de s'allumer. Maria tournait la tête terrifié et vit son ravisseur au seuil de la porte.

Elle pût enfin voir son visage même s'il n'était pas très net sans ses lunettes. L'homme robuste tenait des paquets qu'il jetait sur le sol en voyant la jeune femme qu'il avait pris soins de bien ligoté avant de s'en aller.

-- sale pute! Aboya t-il.

Il se hâtait vers elle la mine ténébreuse. Maria non plus ne restait sur sa position, elle couru dans l'autre pièce sans même savoir où celle ci menait.
Elle voulu refermée la porte cependant la force dont faisait preuve son ravisseur était surhumain. Maria priait en impleurant Dieu de ne pas lui tourner le dos maintenant.
Elle luttait farouchement avec  le peu de force qu'il lui restait. Lorsqu'elle tournait la tête, la jeune femme cru apercevoir un objet tranchant à sa gauche. Un couteau lui siffla son cerveau après analyse de l'objet.

Réfléchissant en un éclair, elle décidait de s'en saisit en toute vitesse pour tuer son agresseur.
Elle s'élançait vers le couteau en lâchant la porte. Aussitôt que ses doigts eut toucher l'objet, Maria cria puis ferma les yeux pour asséner un coup de couteau sur l'épaule de son kidnappeur

Comme si le coup donner par la jeune femme ne lui avait pas fait grand effet, l'homme enfonçait son poing dans la figure au point de la faire vaciller. Furieux, il n'en restait pas la. Il lancait des coups de pieds dans son ventre et sur les cotes ,Maria hurlait à en perdre la voix. Et puis tout doucement, sa vision devint floue.

L'homme ne s'arrêtait que lorsqu'elle arrêtait de se défendre. La jeune venait de perdre connaissance.
Furieux à cause de la blessure qu'elle venait de lui infligé, il lui arrachait tout ses vêtements puis l'a ligotait de nouveaux cette fois avec cordes cambodgienne .

Nerveux, voir paniqué qu'elle ait pu voir son visage, l'homme appelait son employeur. Le téléphone ne tardait pas à être décrocher.

-- allô le travail est fait ?

-- non... La salope à tenter de fuir.

Il s'asseyait dans le vieux canapé puis se saisit de la bouteille de liqueur poser sur la table. Après avoir ôter sa chemise, il s'en versait du liquide sur sa blessure, ce qui le fit gémir de douleur.

-- hummm

-- qu'es ce qu'il y à?

-- elle est plus coriace que vous ne l'aviez dit.

-- je ne veux pas d'excuse crétin. Tue là rapidement.

-- ça ne va pas la tête ? Je reçois d'abord la totalité de la somme.

-- vous aurez le reste après qu'elle soit morte.

-- et non, ce n'était pas ce qu'on avait convenu.

-- je ne peux retirer autant d'argent en ...

-- je ne m'en fiche pas mal.

Sans attendre une seconde, il raccrochait violemment le téléphone avant de balancer le téléphone.

********

Mark était affalé dans son canapé avec un verre de whisky à la main, il repensait à la scène de quelques jours plus tôt quand la voix de Alvina se fit entendre dans les escaliers.

-- des policiers !

Mari sursautait légèrement avant de tourner la tête vers la jeune fille.

-- j'ai appercu une voiture de police entrer dans...

Elle ne termina pas sa phrase lorsqu'ils entendit klaxonner. Mark se levait lui même pour ouvrir car il voulait s'assurer qu'elle n'avait pas halluciné. Il fut bien surpris de voir deux hommes devant la porte mais en tenue bien différentes de service. Ils étaient tout deux habillé en civile.

-- bonsoir. Je suis l'agent Ross de la police scientifique. Fit t-il en mettant en évidence sa plaque.

Mark n'en n'était pas tellement convaincu, il considérait les deux hommes avec un oeil inspecteur.

-- Mark enfin cède leur le passage. Ordonna Alvina gêner de l.attitude de son frère.

Il réfléchi quelques secondes puis les invitait à rentrer tout en gardant les gardant bien à l'oeil. Alvina les installait dans le salon des invités.

-- je vous sert quelque chose à boire ?

-- non. merci.

Elle fit un regard boudeur à son frère qui n'avait point été aimable avec les hommes de la loi. Mark lui fit signe de la tête de retourner à sa chambre.
La jeune fille obéissait sans protester, cependant, elle partait plutôt avertir Nathan de l arriver des deux policiers.

-- que puis-je pour vous? S'enquit Mark en prenant place.

-- nous avons retrouver une voiture à l'entrée d'une forêt à la sortie de la ville...

-- et?

-- après analyse et vérification des objets à l'intérieur, nous avons retrouver l'identité du propriétaire.

-- MARIA GREY'S. Termnina le deuxième agent.

Aussitôt que Mark eut entendu son nom, il se levait du canapé paniqué.

-- qu'es ce qu'elle à ? Qu'es ce qu'il lui ait arriver?

-- nous l'ignorons encore car votre femme n'était point à bord du véhicule.

-- les informations que nous avons sont d'ailleurs troublante.

-- il n'y avait aucun signe d'effraction sur la voiture cependant, nous avions trouver cet objet à quelques mètres.

Le jeune policier sortit de sa veste, un objet dans un sac en plastique qu'il reconnu aussitôt. La barrette qu'il lui avait offert. Mark ouvrait grandement les yeux comme si on venait de lui assener un coup de Massu sur la nuque

-- votre femme à certainement été enlevé. Déclare l'autre officier.

MA MALÉDICTION (Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant