C'était bien la deuxième fois qu'il l'a regardait endormie, Mark restait quelques seconde à l'admirer son magnifique petit visage d'ange, sa poitrine gonflait à mesure qu'elle respirait. Un désir charnel s'emparait subitement de son corps, puis une pulsion plus que forte.
Sa mauvaise conscience lui disait de l'a gouter car elle devait être succulente et pourtant sa bonne conscience lui rappelait que Maria était ici uniquement à cause de ses intérêt , il ne servait à rien de s'attacher à elle car dès sa mission terminer elle s'en ira très vite.
Il remuait sa tête pour se débarrasser l'esprit mais n'empêche qu'il ne pouvait s'interdir de ne pas l'a regarder. Il s'autorisait même à s'abaisser plus près d'elle pour lui enlever la télécommande des mains.
Il remarquait même qu'elle bavait un peu à cause de ses lèvres entrouvertes, il ne put s'empêcher de sourire face à cette image à la fois ridicule que mignonne.
. À peine avait t-elle senti sa paume chaude sur sa main que Maria tressailli.
Maria se réveillait en sursaut, elle repris très vite ses esprits lorsqu'elle levait la tête pour voir Mark Greinton positionner juste à quelques centimètres d'elle. Son visage était pour une fois moins sévère on aurait cru même que ses lèvres avaient une forme différente. il souriait ?
Maria rougissait jusqu'aux fesses en remarquant la petite salive au coin de ses lèvres. Elle l'essuyait nerveusement .Toujours les yeux fixer sur elle, Mark ne disait rien, il l'a regardait se débattre avec sa honte. Puis elle se levait en repoussant ses lunettes.
-- monsieur... Euh... Vous n'êtes pas au bureau ?
-- non. Ce n'est pas un endroit pour dormir. Votre lit sera mieux confortable. Déclare t-il sur un ton neutre.
-- euh... Je ne dormait pas, euh...
Il souriait discrètement , apparemment elle mentait très mal cette demoiselle.
-- et pourtant vous baviez. Répond t-il.
Maria toute honteuse qu'il l'ai vu entrain de baver cherchait un endroit pour se cacher. La honte, elle aurait creuser un trou pour s'y engouffré.
-- je... J'ai.
-- avez vous pris votre petit déjeuner ?
-- euh...oui...oui.
Déçu, Mark aurait pourtant aimer l'a voir à table. Tanpis, il le prendra seul son repas. Il lui tendit la télécommande avant de lui tourner le dos.
Comme si le simple fait de la savoir à quelques mètres de lui ne pouvait lui donner la paix. Chaque fois qu'il l'entendait rire aux scènes de drôle de son dessin animé, Mark en ressentait une sensation étrange.
Puis il se levait agacé, il se nettoyait la gorge avant de remonter dans sa chambre. Maria ayant entendu le bruit d'une assiette tirait le cou pour s'assurer que tout allait bien. Elle ne vit pas Mark assis à table.
Elle se levait à son tour pour vérifier son assiette. Mark n'avait pratiquement toucher à rien. Son verre était intact et même son sandwich. Elle cogitait rapidement en se demandant s'il était encore de mauvaise humeur.
Elle demandait à la domestique de débarrasser les assiettes puis elle décidait de monter le voir.
Maria frappait à la porte mais n'eut aucune réponse.Inquiète, elle ne pût s'empêcher d'ouvrir, elle rentrait seulement la tête histoire de vérifier qu'elle ne violait aucune intimité. Maria le vit assis sur son lit avec son ordinateur.
Elle rentrait sans sa permission puis refermait la porte.
-- retournez à votre canapé jeune fille.
Le coeur battant la chamade, Maria prit courage pour s'avancer jusqu'au lit. Après sa discussion avec Nathan , Maria voulait en savoir plus sur cet homme. Elle demandait la permission de s'assoir mais il ne lui répondait pas.
Elle prit alors l'initiative de se faire de la place. Elle repoussait quelques document puis s'asseyait maladroitement. Son lit était très confortable.
-- vous n'aviez pas terminer votre petit déjeuner.
-- en effet, j'ai des affaires à régler.
-- vous aviez toute la journée pour ça. Pourquoi vous privé de nourriture. Fit t-elle remarquer en douceur pour ne surtout pas l'agacé.
Mais trop tard, Mark était déjà au bord des nerfs. Ce n'était pas ses affaires, le problème s'était elle. Il ne voulait pas plus sentir ce parfum. Pourquoi diantre venait t-elle jusqu'ici pour l'embêter. Il serrait les mâchoires pour ne penser à rien que son travail.
-- vous voulez que je vous apporte un autre sandwich ?
Mark ne répondit pas. Il pensait ainsi pourvoir la faire partir s'il l'ignorait carrément. Mais bien au contraire, Maria se rapprochait plus en soulevant un dossier.
Elle pouvait lire dessus, SDV qu'elle devinait être un dossier sur la Stratégie De Vente.
-- dites moi... Avec mon entreprise... Enfin je veux dire votre entreprise. Rectifian t-elle. Vous vous en sortez comment?
-- pourriez vous gentiment me laisser travailler ? Siffla t-il avec toute la patience dont il pouvait faire preuve.
-- euh... Je veux juste savoir, après tout je suis aussi actionnaire et il est de mon droit d'être au courrant de l'évolution des choses non ?
Et là, Maria marquait un point. Mark sortait enfin le visage de son ordinateur.
-- le document bleu. Indiqua t-il
Elle le prit puis l'ouvrit sans tarder, vu déjà les premières pages, Maria pouvait voir qu'il ne sortait pas mal. L'échelle avait grandi de quelques pourcentage en seulement deux semaines. C'était bon signe. Heureuse de savoir que son entreprise s'écroulait plus , Maria sourit timidement.
-- c'est très impressionnant ce que vous avez accompli. Vous êtes très intelligent.
Maria venait à présent de marquer deux points. Il ne recevait pas trop de compliments des femmes à propos de ses efforts au travail. il en était quelques peu flatter
-- qu'es ce que vous faites?
-- je travaille. Répond t-il sèchement.

VOUS LISEZ
MA MALÉDICTION (Tome 1)
Romance-- jamais! Cette entreprise m'appartient, je suis la seule a pouvoir décider de son sort et moi Maria Grey's je refuse d'offrir ce trésor sur un plateau d'argent à cet inconnu. -- tu as penser à notre réputation, que diront les médias, les gens dan...