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-- tu ne sais pas de quoi je suis capable alors ne me pousse pas à bout.

Tantôt, elle l'a relâchait en lui caressant les cheveux. Monica regardait sa fille pétrifié, jamais elle ne l'avait connu ainsi. Jamais elle ne se serait imaginer l'a voir avec une telle rage.

-- pourquoi... Tant de rage ?

-- c'est de ta faute... Tout ça est de ta faute.

Sa mère tatait le mur pour se frayer un passage.  terrifié par sa fille, elle ne savait comment l'a remettre sur le droit chemin sans .

-- tu ne m'a jamais donner l'amour que je méritais.

-- non...non... Je t'aime ma chérie.

-- non, je vivais dans une maison crasseuse alors que mes amies avait tout pour eux.

-- ma chérie...

-- tu m'a donner un père alcoolique, bon à rien et de surcroît pauvre.

Monica remuait la tête déchiré par les propos crues de sa fille.

-- si tu m'avais donner ce que je méritais je ne serait pas devenu celle que je suis aujourd'hui.

Révolté par son manque de respect , elle se saisit du poignet de sa fille en l'a remuant.

-- ne m'accuse d'avoir être la source de ta méchanceté, oui je suis mauvaise mais pas criminelle. Lui cracha t-elle à la figure

-- tu es malade ma chérie. Il faut te faire soignée. J'ai longtemps négligé cette partie de toi à pré...

La main déjà levé, Alicia se dégageait de la prise pour infligé une gifle à sa mère. Monica plus choqué que surprise s'attrapait la joue en feux.

-- plus jamais tu ne me traite de détraqué. Essaie de trop ouvrir TZ bouche et J'oublierai très vite ton statut de mère.

Après ses menaces, elle lui empoignait la main pour la mettre à la porte.

Monica regagnait sa chambre les jambes tremblantes. Elle n'arrivait toujours pas à croire que c'était la petite Alicia qui s'était métamorphosé en ce monstre. Déchiré et impuissante face à cette situation, elle se mise à pleurée à chaude larme.

Alicia déjà petite renvoyait des signaux psychopathique, cependant leur pauvreté ne lui permettait de lui payer un traitement. Elle avait encore banalisé son état de santé lorsqu'elle s'est marié avec l'un des plus hommes des États-Unis. Elle avait su camoufle ses crises d'hystérie et ses réactions meurtrières, ses envies suicidaire et sa même la profonde haine qu'elle portait à Maria.

Elle avait essayer d'être la meilleure mère pour l'a faire changer, elle l'a soutenait et lui offrait de tout ce qu'elle voulait mais en vrai.  Ce qu'elle voulait c'était Maria elle même.

Alicia depuis son arrivée dans cette maison , jalousait Maria, sa relation intime avec son père et l'affection que lui vouait tout les employés de cette maison au point de se mette à la haïr.
Elle voulait tout d'elle, sa beauté, son intelligence, se douceur et même son identité.

Monica regrettait amèrement de ne pas avoir prise ses responsabilités en mains et voilà qu'aujourd'hui elle devait faire face à une malade mentale complément incontrôlable. Elle  se regardait dans la glace en détestant l'image qu'elle avait d'elle même.

Tout est de ma faute. J'aurai du t'envoyer voir un spécialiste.
J'aurai du écouter Blaise en te suivant de plus près.

Ses larmes tranchante ruisselait sur ses joue telle un cour d'eau.

Il n'est pas trop tard, je peux encore tout arrêter. Je peux en parler à Blaise. Lui avouer tout et reprendre à zéro après tout sa ne serait pas de ma faute.

Prise d'un instinct de survie, Monica prit ses clés de voiture et son téléphone avant de sortir de la maison.

Elle jetait des regards méfiant de temps à autre dans les couloirs pour mieux s'assurer qu'elle n'était pas suivit.

En sortant, elle croisait l'une des domestiques qui rapportait son déjeuné.

-- madame?

-- je n'en veux pas merci. Je sors acheter des cachet de somnifères j'ai des difficultés à trouver le sommeil depuis la disparition de Maria.

-- oh pauvre Maria j'espère qu'elle nous reviendra très vite.

À ce souhait, Monica se prit de pitié car elle avait que dans peu de temps cette maison sera plongé dans un nouveau deuil.

-- il faut que j'y aille.

Elle se précipitait de sortir avant qu'Alicia ne l'a retienne. Elle sortait ses clés de son sac puis d'une main tremblante déverroullait la portière. Par prudence, elle jetait un coup d'œil à la fenêtre de Alicia avant de s'engouffrer dans le véhicule.

Pendant le trajet, elle avait plusieurs dois tenter de joindre Blaise pour le prévenir de son arrivée et surtout avoir des nouvelles de l'enquête

Merde mais décroche.

Elle tombait en vain sur la messagerie. Alors résigner à laisser un message, elle se raclait la gorge après le bip.

Mon amour je suis en route pour la maison du sénateur. Je sais que j'étais censé resté à la maison mais il faut qu'on parle de quelque chose de très urgent, c'est une question de vie ou mort car J'ai des informations qui pourront vous aider à re...

Alors qu'elle formulait sa dernière phrase, Monica sentit une corde lui passée autour du cou. Elle lâcha le téléphone pour essayer de s'en libéré mais plus elle se débattait et plus la corde l'étranglait.

Agitant les bras dans tout les sens, Monica sentait ses forces l'a quitter, elle ouvrait la bouche à la recherche d'air, les yeux sortirent de ses orbites pour faire face à la mort.
Apres un longue minute à se défendre, elle lâcha son dernier soupir.

**********

Mark restait concentré sur l'écran de son téléphone en espérant qu'il affiche un seul appel, un message ou même un tout petit mail.
Nathan lui avait proposer de se reposer mais il lui avait répondu qu'il en aurait tout le temps une fois Maria en sécurité.

Alvina se réveillait peu à peu de sa grasse mâtiné forcé. Lorsqu'elle ouvrait grandement les yeux, elle se rappelait de la scène de tout à l'heure, aussitôt, elle sortait du lit en se repassant sa robe. Elle descendait retrouver les autres au salon les yeux tout endolori.

Elle pouvait sentir le désespoir depuis les escaliers, son frère était affalé dans le canapé les yeux alourdi pendant sue Nathan et l'équipe des policiers cherchait des informations sur la disparition de Maria.

Elle se dirigeait en cuisine

-- préparez quelques à manger aux policiers. ordonna t-elle.

-- Yasmine apporte une boisson rafraîchissante à mes frères s'il te plaît.

-- très bien mademoiselle.

Alvina restait un long moment à la cuisine histoire de se faire discrète.
Puis soudain elle vit une voiture faire son entrée dans la cour.

Elle se levait à la hâte pour ouvrir la porte. Ce fut monsieur le lieutenant Marshall.

-- du nouveau ? S'écrit Mark en le voyant.

L'homme s'approchait du groupe avant de se racler la gorge.

-- qu'es ce qu'il y'a ? Demande Nathan

MA MALÉDICTION (Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant