MA MALÉDICTION (Tome 1)

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Son coeur avait sauter de joie lorsque la jeune lui avait cette proposition. Mark obéissait sans rien ajouter. Il trouvait une position confortable pour s'étendre près d'elle sans pour autant la gêner. Il passait d'un geste lent sa main sous sa tête puis l'a ramenait Véra lui. Maria pouvait sentir chaque battement de son coeur et sentir son parfum prendre l'assaut de ses poumons.

Oui elle se sentait bien mieux dans ses bras et fut heureuse qu'il ne lui ai pas refuser sa chaleur. Elle refermait ses paumes sur sa poitrine puis se laissait aller par le sommeil.

Elle pouvait sentir de temps en temps la paume chaude du jeune sénateur caresser son visage. Ce geste presque anodin représentait pour Maria la plus belle berceuse du monde, sa simple présence pouvait l'a rassurer de t-elle point qu'elle n'avait plus peur de ses cauchemars.

Mark avait passer la plus grande partie de la nuit à songer à ses futurs décisions. Ses responsabilités envers le peuple et Maria n'allait pas de paire et pourtant, il était hors de question qu'il l'a laisse tomber pas maintenant après tout ce qu'elle avait vécu.

Il devait faire un choix crucial pour sa carrière car il ne pourrait prendre pleinement soins de Maria s'il occupait ce poste au Sénat, déjà que c'était difficile avec ses entreprises .Mark lâcha un soupir convaincu de sa décision. Son choix était à présent fait.

Il serrait la jeune femme dans ses bras en embrassant sa tête.

Je serai le meilleur pour toi.
Il faut que tu tienne le coup et lorsque ta diablesse de soeur sera sous pieds sous terre, je t'emmènerai loin d'ici, loin de tout ses ennuis, je promets de te rendre heureuse Maria car tu le mérite. J'espère juste qu'un jour tu pourras voir en moi un homme capable d'aimer. Murmura t-il au fond de lui.

Le réveil se fut difficile pour Maria qui était bien au chaud dans les bras du sénateur. Lorsque les rideaux laissaient passé la lumière du jour, Mark se réveillait en sursaut. Il faut bien surpris de voir les infirmières de Maria à cette heure, puis fut encore plus surpris de voir qu'il faisait jour.

-- Bonjour monsieur le Sénateur.

-- bonjour. Fit t-il en s'éclaircissant la voix.

-- comment va notre première dame.

-- hummm quelle heure fait t-il ?

-- 08h35 minute et il est l'heure de faire toilette.

Mark après avoir entendu toilette sortait rapidement du lit.

-- très bien, j'attendrai dans le couloir.

-- vous pouvez rester aux côtés de votre épouse si vous le voulez.

-- euh... Non...non j'ai...terriblement faim et je vais un petit tour à la cafétéria.

S'empressa t-il de répondre en panique, Car Maria n'était pas son épouse même si tout le monde pensait le contraire, il ne pouvait donc pas profiter de son handicap pour épier son intimité, si elle devait se retrouver nue alors autant être loi. De cette chambre.

Il sourit gentiment  aux jeune femme puis chuchotait à l'oreille de Maria qu'il ne serait pas bien loin.

-- tu reste sage.

-- d'accord.

Il posait délicatement un baisée sur sa joue avant de s'éclipser. Les jeune infirmières regardaient Mark s'éloigner avec un petit regard rempli de jalousie.

-- vous avez de la chance d'avoir un mari aussi aimant. Lâcha l'une des infirmière.

Mais non Mark n'était point son époux et il n'avait rien de romantique. Mais bon, Maria feignait de sourire aux compliments jusqu'à ce qu'une phrase percute ses tympans.