Seulement Toi

Le beau-père de Gellert

NdA : Disclaimer : Comme toujours rien ne m'appartient à part les personnages originaux et les situations dans lesquelles ils terminent. Tout le reste appartient à quelqu'un d'autre et c'est ainsi que ses avocats ont l'intention de rester. Merci de continuer à me lire, j'espère que vous aimez et n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ! 

NdT : Comme d'habitude, c'est un-bêta, donc si jamais vous voyez des fautes, n'hésitez pas à me le faire remarquer ! Bonne lecture ! 
Cœur sur vous ! 

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Ouvrant lentement les yeux, Albus dut cligner des yeux comme un fou pour s'habituer à la lumière illuminant toujours l'intérieur du lit. 
Tournant la tête pour regarder Gellert, Albus n'arrivait pas à croire que le garçon avait réussi à s'endormir avec une lumière pareille. Puis il vit son visage endormi et oublia tout à propos des lumières. 
Se mettant debout, Albus se pencha en avant et sa queue se mit à battre automatiquement alors qu'il observait l'expression paisible de Gellert. Avec ses traits relâchés et ses yeux clos, Gellert semblait bien plus jeune et innocent. Il semblait incapable du moindre méfait, beaucoup trop angélique. Le parfait exemple de l'apparence trompeuse, songea Albus amusé. 

L'horloge tiquant l'heure au-dessus de leurs têtes, Albus détourna le regard pour lire l'heure et se rendit compte que le petit-déjeuner était dans une heure. Curieux de savoir s'il devait réveiller Gellert ou non, Albus se servit d'une plume pour appuyer sur le bouton de l'alarme et vit que le réveil était programmé pour sonner au milieu du petit-déjeuner. Ce qui était plutôt logique, vu que Gellert était encore éveillé quand Albus s'était endormi vers cinq heure du matin. Dormir suffisamment pour pouvoir fonctionner correctement était plus important que manger. Il demanderait à Al de lui amener une pomme ou quelque chose du genre, décida Albus. 

Et comme il n'avait pas à s'habiller ou se doucher pour la journée à venir, Albus décida de retourner câliner le garçon en attendant qu'Al ne l'emmène quand il irait courir. 

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Descendant le couloir bondé avec Christopher et Scorpius, Gellert était pressé de retourner à sa chambre pour pouvoir faire une de ses petite sieste. Il espérait juste qu'Albus n'était plus dans la chambre, parce que cette sieste serait difficile à lui expliquer. Il faudrait juste qu'il fasse attention à ce qu'Albus ne traîne pas encore du côté de sa chambre. Il n'allait certainement pas lui dire que ce qui s'était passé la nuit dernière était la règle, et non l'exception. Comment faire pour garder Albus dans l'ignorance concernant son rythme de sommeil, il ne savait pas, mais il était persuadé qu'il trouverait quelque chose le temps voulu. 

Les trois garçons tournèrent à l'angle du bâtiment et s'arrêtèrent brusquement en voyant l'homme qui se dirigeait vers eux, les élèves s'écartant automatiquement en se collant au murs pour s'écarter de son chemin. 

Il était bâti comme une montagne, haut de près de deux mètres, musclé comme un taureau. Malgré ses cheveux gris et son visage marqué par les rides qui indiquait un homme bien plus vieux qu'eux, personne n'avait la stupide idée de croire qu'il n'était pas dangereux. Il exsudait la dureté et la pugnacité et semblait avoir l'agressivité inscrite jusque dans ses os. À coté de lui Christopher ressemblait à un chaton joueur. C'était un homme qui avait déjà tout fait et qui n'hésiterait pas à recommencer si nécessaire. 

Un rictus s'installa sur les lèvres de Scorpius et il donna un coup de coude à Gellert. 

 - " Tu te rappelle que tu es certain de vouloir finir avec Wimbledon ? Eh bien, voici ton futur beau-père. " 

Bouché-bée et choqué, Gellert fixa l'homme. Ce géant, au cou de taureau et fait comme un mur était le père d'Albus ? C'était putain d'impossible. 
Le regardant s'approcher Gellert n'arrivait pas à imaginer quelqu'un qui soit plus opposé à Albus que celui qui était en face de lui.