Eveild [TERMINÉE]

Prologue

Eveild était un monde bien différent des autres. Eveild était un monde où tous les peuples vivaient dans une paix prospère en ses siècles chevaleresques. Eveild était dirigé, en ces temps, par un homme très respecté : Atreus Alescar. Il gouvernait Eveild d'une poigne de fer et d'un cœur tendre.

Seulement, il ne pouvait pas rester éternellement florissant. En effet, depuis la rencontre tumultueuse entre le roi d'Eveild et un parfait inconnu venu d'un autre monde, ce dernier se retrouvait bouleversé par une guerre sanglante et meurtrière.
L'inconnu, en découvrant que ce monde était plongé dans une parfaite harmonie, avait refusé de le laisser tel quel.

C'est ainsi qu'était né la plus grande guerre connu de tout Eveild. Atreus était anéanti de voir ces Hommes, bien plus évolué, faire partir en fumée tout ce pour quoi il s'était battu pendant plusieurs décennies. Bouleversé et faible face à cet ennemi bien trop puissant, il avait baissé les armes refusant qu'un autre de ses hommes meurt par sa faute.

Atreus, par la suite, avait conclu un pacte avec le diable, au péril de sa vie et celle de son royaume.

Tout le monde lui a tourné le dos pour cette décision, même sa famille. Malheureusement, le contrat signé, les humains avaient à présent un contrôle total sur Eveild.

Ainsi, cela faisait cinq siècles que ces monstres réduisaient ce monde à un état d'esclavage. Depuis, plus aucuns souverains succédants au roi Atreus n'alla à l'encontre de leurs martyres.

Cependant, à l'ére actuelle, les nouveaux roi et reine ont décidé de se soulever contre ce système espérant que le reste du royaume suive. Fâcheusement, cela n'a pas été le cas et les humains ont fait tué les souverains. Eveild n'est plus ce qu'elle était autrefois, et elle ne le sera peut-être plus jamais.

La vie n’est qu’un tissu de mensonge indéchirable.

La vie n’est jamais ce qu’on en attend.

La vie nous offre divers atouts qui nous paressent convenables.

La vie m’en a offert un exaltant.

La vie m’a offert l’aventure.

La vie qu’on ne peut point ignorer.

La vie bouleversante, attirante et trépidante qu’on convoite.

La vie n’est pas la droiture.

La vie n’est pas une allier.

La vie nous confronte à des routes étroites.

La vie n’est qu’un tissu de mensonge indéchirable.

La vie nous offre un bonheur illusoire.

La vie est toute tracée, elle est inaltérable.

La vie n’est qu’un cauchemar nonchaloir.