Ce que j'aurai voulu vous dire...

Adieu

Dans l'entrée des MAYER, sur la petite étagères de madame, celle-ci passe un petit coup de poussière. Elle n'a jamais supporter la saleté, la moindre tache l'énerve et lui donne des nausées. Elle as ainsi pris l'habitude de faire le ménage tout les matins, elle en as le temps car depuis un mois elle ne travail plus. Mais ce matin quelque chose est différend, une impression de manque l'oppresse.

Elle ne se rappel plus la raison de sa démission, mais elle sait que ce fût une mauvaise idée. Elle se sent seule toute la journée dans cette grande maison vide. Heureusement, depuis ce matin, en faisant son tour de maison pour le ménage, elle a trouvé une idée. Ce serait sympa d'organiser la pièce vide de l'étage pour en faire une chambre d'amis.

Elle monte donc dans la futur chambre, et entreprend d'entreposer les meubles. Après de longues minutes et de longues gouttes de sueur, la salle est enfin prête. Exactement comme l'imaginait Madame. Pourtant quelque chose la chiffonne, elle bouge un meuble, puis un second et essaye de nombreux arrangement différents, mais rien ne vas. La pièce ne convient pas. Quelque chose d'autre aurait du être installer, elle espérait y faire une belle chambre pour son deuxième enfant mais cela ne se fera pas.

Son mari travaille et sa fille est à l'école, elle as souvent voulu un autre enfant, mais son mari a toujours refusé. Il as trop peur de lui faire du mal. Sa maladie lui laisse de moins en moins de temps libre. Libre de penser, libre d'agir il repense à sa vie, au mal qu'il fait à sa femme et à sa fille unique.

A quelques kilomètres de là

Elle n'a pas la force de se lever aujourd'hui.

Seul dans sa chambre, Léa aussi ressent un manque. Quelque chose lui a échapper, quelque chose de précieux. Pourtant, emmitouflée sous sa couette, la vue encore troublée par le sommeil, elle semble apercevoir un garçon devant elle. Si près mais si loin d'elle en même temps.

Le jeune se rapproche un peu, Léa commence à le distinguer. Pour mieux le voir elle ouvre ses yeux, mais elle ne voit à présent plus que la lumière du soleil qui filtre par sa fenêtre totalement ouverte. Bizarre... Elle ferme pourtant tout le temps les volets avant de se coucher, pour éviter que le soleil et les bruits du dehors ne la réveille trop tôt. Mais malgré tout, un coup d'œil sur son horloge lui fait remarquer qu'il est déjà 10 heures. Elle devait vraiment être fatiguée pour ne pas se réveillée avec toute cette lumière...

A près d'une demie-heure de route de là

Monsieur MAYER, n'arrive pas à se concentrer devant son écran, son esprit vagabonde sans cesse. Il appui sur les mauvaises touches, se trompe de manipulation. Il a beau enchaîner les cafés, son esprit n'en est que plus embrouillé.

Il n'arrivera pas à travailler aujourd'hui, il décide donc de rentrer chez lui, rejoindre sa femme. Mais ce que ne sait pas encore celui-ci, c'est que même chez lui il ne pourra pas travailler. Ni maintenant ni demain, car quoiqu'il essaye, son esprit sera toujours ailleurs...

Quelque part,

Mat à réussi, il n'existe plus.

Enfin c'est ce qu'il pensait, car même au paradis, les anges continus d'apprendre.

Et de ce fait, Mat a appris que l'on ne peut pas disparaître, même si personne ne se souvient de nous, que toutes nos traces ont disparues,

L'amour n'a pas de tempo, pas de rythme, pas de temps. Ainsi quand la mort veut le brûler, il renaît de ses cendres.