Achetée par un don juan [Tome 4] Saga Playboy

🍎chapitre 7🍎

Les yeux encore endormis, Selma pris grand peine a se tirer du lit. Les événements de la veille revirent dans sa mémoire en profusion. Elle ouvrit les yeux difficilement et constata avec stupéfaction qu'elle était dans une chambre majestueuse. Qui l'avait emmené ici ? Se demanda t-elle en jetant des regards affolés de chaque côté de la chambre. A son grand dam, elle était seule et encore habillée. Elle retira cette idée de viol dans ses pensées et esseya de calmer les rebondissements de sa respiration. Elle avait frôlé l'angoisse. Mais qui ne serait pas angoissé dans une situation pareille ?  Elle avait été enlevé, retenue contre son gré dans une maison close jusqu'a la venue salvatrice de cet homme qui avait dépensé une fortune colossale pour l'acheter

Elle ne cesserait jamais de remercier cet homme au bonté de coeur. Jusque là, il ne lui avait rien fait. Il était tout bonnement poli avec elle, la traitait bien.
Elle n'aimait pas trop le fait d'être chez un inconnu,d'ailleurs c'était bien la toute première fois. Elle se leva tant bien que mal de son lit et trouva des vêtements étalés au pied du lit puisqu'elle était gigantesque. Elle n'eut aucun problème a retrouver la salle de bain. Timidement, elle se déshabilla et se prépara un bain dès plus relaxant et s'y émergea dedans. Elle sentit ses nombreux muscles contractés se détendre uns a uns. L'odeur du bain était tout a fait délicieuse. Selma remercia le ciel de pouvoir se préparer toute seule, Rachid avait tenu a ce qu'elle se débrouille de son propre chef. Elle savait cuisiné, se préparer un bon bain chaud comme celui-ci et faire sa lessive. Elle avait de bonne base dans ce domaine. Et savait donc se débrouillé toute seule. Elle atacha ses cheveux avec des épingles et se fit un chignon

Detendue, elle ferma les yeux et s'endormi presque dans l'eau. Quelques minutes plus tard, elle se reveilla en sursaut de son bain et constata qu'elle s'était assoupie. Elle se leva et noua son peignoir durement autour de sa taille et sortit. Elle commença a se préparer et mit les vêtements déposés discrètement dans la chambre quand on regard tomba un mot laissé par son acheteur.

C'était écrit en français !

Je ne sais pas trop si tu me comprends, je suis parti au bureau. Mais ne t'inquiète pas, la gentille Pepa et son mari t'aideront au mieux du moins jusqu'a mon retour. Si tu te sens seule, tu n'as qu'à partir a la bibliothèque et dire quelque livre, ou bien cuisine si tu peux pour faire passé le temps. A mon retour, je te promets qu'on ira t'acheter des vêtements appropriés.

Antenor Firmin !

Selma sentit son coeur battre a coup précipité. Elle lu encore une fois la lettre de l'homme et se mit a contempler son écriture si parfait et bien orthographié. Elle sourit et prit le mot et le serra contre sa poitrine quand tout d'un coup, elle hurla quand une femme entre deux âge ouvrit la porte en grand

Pepa regarda la jeune femme sourire au mot de son patron ce qui signifie qu'elle avait comprit la langue. Au retour d'Antenor, elle lui toucherait un mot mais pour l'instant elle devant se contenter de rassuser au mieux la jeune femme qui était effrayé par sa venue si bien qu'elle cachait le mot derrière elle,d'un geste mignon

-Doucement mon enfant. Je ne vous veux aucun mal,s'exclama t-elle dans un français mal prononcé

Selma se calma un peu. Sa respiration erratique devint calme au fur et a mesure qu'elle prenait conscience des mots de la vielle dame qui lui sourit affectueusement.

-Je suis Pepa. J'étais venue vous aidez a prendre votre bain mais, dit-elle en s'arrêtant pour la regarder, vous avez fait tout bon boulout

Selma rougit. C'est la première qu'on la félicitait pour si peu. Elle était contente de son travail. La robe lui allait allait perfection

Antenor avait choisit une robe simple et long qui recouvrait tout parcelle de sa peau bien qu'elle était un peu moulante. Ce qui la rendait un peu différente de celle qu'elle l'habitude de porter a Dhakar. Elle avait même pris soin de ses cheveux en les relachant. En somme,elle était parfaite

-monsieur ne s'avait pas quoi choisir pour vous. Il fait du shopping pendant que vous dormiez et cela lui avait prit un temps fou. Si vous l'aviez vu, il est venue avec toute une collection a la maison et a décidé de poser celui-ci dans votre chambre quand vous dormiez.

Selma écarquilla les yeux. Il était venu dans sa chambre pour lui déposé ses vêtements ?  Selma trouva se geste mignon. Il commença a l'apprecier a son plus grand étonnement. Antenor était un homme spécial n'importe qui aurait voulu profiter de son argent lui pas.

-descendez ma chère. Je vous ai préparer un délice. Antenor a formellement exigé que vous mangiez, dit-elle lui prennant affectueusement la main.

Pepa la guida dans la salle a manger et lui servit. Elle mangea puisqu'elle avait terriblement faim. Elle s'arrêta tout nettement, Pepa la regardant décontenancé par la stature qu'elle avait abordé en s'attablant. Une stature digne d'une princesse. Selma s'empourpa aussitôt et n'avait plus faim, la nourriture s'était comme bloquée au fond de sa gorge. D'un geste tremblant, elle but son verre de jus de fruit et le reposa sous le regard perplexe de la charmante Pepa. Cette dernière ne fit aucun commentaire et débarrassa la table.

Elle alla se levé quand une femme se mit a crier le nom d'Antenor depuis le salon

-où est-il ?  Hurla la jeune femme.

Pepa couru et Selma la suivit. Elle decouvrit une grande brune dans le salon ,divinement parée.

Veronica Saviano tarda son regard sur la jeune femme qui venait d'apparaître. C'était donc pour elle qu'Antenor avait mit fin a leur fiançailles sans lui prévenir. Pourqui elle se prenait celle-là ? 

-Qui es-tu ?

-une invité de monsieur !  Répliqua Pepa en la toisant

-On t'a sonné veille chipite ?  Renchérit Veronica avec l'envie de tuer Pepa ,la servante qui se mêlait un peu trop de la vie de son patron

-mon patron est absent que veux-tu Veronica ?

Elle était entrain de rêver ou cette veille peau la tenait tête. Elle leva la main pour gifler Pepa quand une poingne ferme la retint en l'air

-Si tu oses frapper Pepa encore une fois, tu aurais affaire a moi, Véronica
D

éclara une voix menaçante et cette voix n'avait pas l'air de plaisanter

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