Chapitre 3 : Les dernières volontées de Linda

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Lexa : Bonjour Clarke...

Clarke l'ignore complètement et regarde Bellamy incrédule.

Clarke : Heuu, je peux savoir ce qu'elle fait ici ?

Lexa : Moi aussi, je suis contente de te voir.

Bellamy : Il se trouve qu'elle figure dans le testament. Il fait le tour de son bureau et regarde les deux jeunes femmes.

Clarke : Pardon ??? Demande-t-elle les sourcils froncés et les poings sur les hanches.

Lexa : J'adorais ta tante tout autant que toi. Dit elle toujours aussi sereine.

Bellamy : Bon... on va assoir. Ils prirent tous place dans leurs fauteuils respectifs. Les dernières volontés de ta tante sont d'une très grande précision. Elle a été brève et concise. Du gâteau ! Bon, en gros, toutes les deux, vous devenez associés à part égale...

Clarke : Associés ?

Lexa : À part égale ?

Les deux jeunes femmes avaient parlé simultanément les yeux écarquillés.

Bellamy : Pour faire simple, tout ce qu'elle possédait vous revient à l'un et à l'autre, sa maison, sa voiture, son compte épargne tournant autour de 4000 dollars et bien sûr la pâtisserie.

Clarke et Lexa : La pâtisserie ?

Bellamy : Comme je l'ai dit, cette succession, c'est du gâteau !

Clarke : J'y comprends rien !

Lexa : Ce qu'elle comprend pas en réalité, c'est pourquoi elle est obligée de partager avec moi.

Clarke : Si c'était la volonté de ma tante, très bien. On va vendre tous ce qu'il y a, partager les bénéfices fifty-fifty et reprendre le cours de nos vies. Elle se tourne vers Lexa. Ça te va ?

Lexa : Je te laisse gérer.

Clarke : Bellamy, avons-nous des documents ou quoi que ce soit à signer ?

Bellamy : Heu... Et bien, j'ai...

Lexa : T'es pressée ? Elle commençait à s'énerver a cause de la réaction de Clarke.

Clarke : En faite, je dois...

Lexa : Il manquerai plus que tu sois obligée de rester quelques jours de plus dans ta ville natale. Ouais, avec nous, humbles citoyens...

Clarke : Il se trouve que j'ai une vie à New York. Je travaille, je viens d'être promue associée de ma boîte.

Lexa : Oh ! Associée ?! Bah, dites donc !

Clarke : Oui et j'ai une réunion importante le 24 au soir.

Lexa : Quoi ? La veille de Noël ? Tu bosses pour quel exclavagiste ?

Clarke : Oh, bah écoute si tu veux vraiment le savoir, je bosse dans la plus grande agence de pub de New York.

Lexa : Je sais. J'ai vu la campagne des magasins Keller pour les fêtes. Vraiment très impressionnant ! Répond-t-elle sarcastiquement en secouant les mains en l'air.

Clarke : Ah oui ? Tu as vu ça, toi ?

Lexa : J'ai une question. Gordon Royce, est-ce que c'est ces vrais dents ? Tu pourrais m'expliquer, s'il te plaît ? Parce que aucun humain n'a des dents comme ça dans la vraie vie.

Un duo d'enfer pour Noël (CLEXA)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant