Parfois il faut être au plus bas pour renaître au sommet
Il n'y a de guérisons dénuées de blessures
L'aurore concède à chacun du temps pour songer,
Mais quoi que fût le passé, on n'en peut plus changer.
Alors on se morfond, on place des barrières,
Qui frêles comme le papier, deviennent dures comme le verre.
L'homme n'en a pas fini de panser ses blessures,
L'orage peut apparaître derrière le ciel azur,
Car l'esprit tourmenté tourne telle la girouette,
Et n'en garantit pas la bonne direction.
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Poèmes
PoetryQuelques poèmes plus ou moins anciens de ma plume (ou de mon clavier).