Frôlé la mort. 

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PDV Zoro:

Il est actuellement neuf heure du matin.
Depuis ce qu'il s'est passé l'autre jour, je remarque que Sanji m'évite totalement. Il ne me regarde jamais dans les yeux, et s'éloigne toujours de moi quand ton est  " proches ", comme ce matin à la cafétéria. Et quelques pars, ça me blesse de le voir si indifférent avec moi. Je veux qu'il redevienne comme avant, je le veux vraiment..

En tout cas, je vais faire tout pour qu'il est confiance en moi. Je ne sais pas comment je vais y arriver, mais je vais y allé avec l'instinct, et on verra bien.

Ce matin, on a court ensembles. Je m'assoie à côté de lui, il me regarde avec son regard, perplexe.

- Pourquoi est-ce-que tu t'assois à côté de moi? Me pose t'il.

- Parce que j'en ai envie. Je rétorque, Pourquoi ? ça te dérange ? Je me rapproche de lui pour lui chuchoter doucement à son oreille, Où est-ce-que tu es trop perturbé que je sois prêt de toi ?

Il recule sa tête instantanément, rouge pivoine. Il l'a retourne en grognant de frustration.

- Ne soit pas ridicule.. Tu me perturbe pas, loin de là.

- Alors pourquoi tu m'évites à ce point ? Je demande calmement.

- Parce que je n'ai aucune envie d'être avec quelqu'un qui m'a fait du mal.

Toujours dans cette optique. Ça m'énerve un peu qu'il remet toujours ça sur le tapis. D'accord j'ai fais une grosse erreur mais j'ai compris la leçon désormais.

- On mérite une seconde chance.

- Peut-être pas.

Je commence à m'agacer qu'il me rejette tout le temps comme une merde.

- Je fais tout pour que tu me pardonnes mais je ne suis pas sûr d'y arriver. J'ai l'impression que tu ne fais aucun effort pour voir à quel point je m'en veux depuis la dernière fois. J'ai envie de changer, mais c'est compliqué si tu me mets toujours des bâtons dans les roues.

- Tu as l'impression que je ne fais pas d'effort mais si. M'explique t'il. Sinon je ne serais pas avec toi entrain de discuter.

- C'est vrai. Mais je voudrais vraiment que notre relation change.

- De quel relation tu parles? Écarquillant son sourcil, Celle où tu m'as traiter comme un soumis ? Ou d'avoir profité de ma naïveté depuis le début ?

Cette fois, sans est trop. Je peux pas le continuer à dire de telle chose. Je le laisserais plus faire. J'en ai marre d'être son souffre douleur, j'ai des sentiments. Son stade de l'insolence est plus irritant que d'habitude. Je le prend par la main, quittant le cours. Il me supplie de le lâcher, parce qu'il doit étudier mais je m'en cogne totalement. Il essaye de dégager sa main mais je résiste à ma détermination.

Quand ton arrive dans notre chambre. Je le plaque contre la porte en l'embrassant ardemment. Il me repousse avec ses mains toutes petites et frêles mais ça ne sert à rien. Rien que de l'embrasser me donne une énergie sans limite. Même si il est devenue un personnage que je n'apprécie pas forcément, je l'aime tel qui l'es. Je place ma main sur sa joue, scellant ma langue contre la sienne. C'est si chaud, si bon.. J'aventure ma main en dessous de sa chemise, prêt de son bassin.

- S'il te plait arrête.. halète t'il.

- Je sais que ça te manque.. je dis à voix basse, Toutes ces choses qu'on faisait avant, c'était si simple mais que j'aimais moi aussi..

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