Is love real ?

C'est une évidence.

PDV Sanji:

Nous sommes le lendemain. Je me réveille doucement dans mon lit, je m'étire pour enfin prendre mon téléphone. Il est déjà presque dix heures, et Zoro n'est plus dans son lit.
Forcément.. je commence à paniquer. J'espère qu'il est pas sortie sans que je le sache. Mon dieu je stresse..

Quand j'ai finis de me préparer, je pars directement avec mon sac de cours, en essayant de rechercher une herbe marcher par là. Mais rien.. je ne le vois pas.

Je tente de lui envoyer un message.

_ Où tu es ?

Envoyé..

Cela me stresse énormément. Je ne remarque même pas les autres mais où est ce qu'ils sont tous ? Sérieux.. je suis pétrifié à l'idée qui leurs arrivent quelques choses. En attendant, je vais en direction de la salle de cours, m'installant sur un siège, tout seul, désorienté.

Message !

Je prend directement mon téléphone, remarquant que c'est Zoro qui m'a répondue.

_ Juste derrière toi.

Je me retrouve lentement, quand je constate que son visage est à quelques centimètres de moi. Je recule de surprise en fronçant les sourcils.

- Haha! Rit t'il, Bah alors, je t'ai fais peur ? Me questionne t'il, amusé par la situation.

- C'est pas drôle.. je marmonne en détournant le regard, Je t'ai pas vu dans la chambre ce matin, j'ai eu peur qu'il t'est arrive quelques choses.

Il saute au dessus des sièges pour venir à côté de moi.

- Parce que tu m'avais dit que tu partais au travaille aujourd'hui.

- Je vais pas travailler. Lui dis-je simplement.

- Pourquoi? Haussant les sourcils.

- Parce que je préfère être avec toi, en cas si il t'arrivais quelques choses.

Je ne veux pas le perdre. Depuis ce qu'il s'est passé hier, je me sens inquiet vis à vis des autres. On a eu beaucoup de chance de les semer et qu'ils retrouvent pas. C'est juste un miracle. 

- Tu t'inquiètes pour moi ?

Quand je le regarde, je peux pas m'empêcher d'être gêné. C'est horrible parce que.. je ressens ce profond sentiment que j'avais eu y'a encore quelques semaines.

- Bien sûr que je m'inquiète.

Je détourne le regard, un peu malaisé de sa réaction. Même si nous sommes que de simple amis, je peux pas m'empêcher d'être comme avant. C'est lui qui m'a fait découvrir ses sentiments humains et les douleurs qu'on peut avoir.

- Sanji, tu es pas obligé de rester enfermé à l'université avec moi, juste parce que des mecs veulent ma peau. Je suis assez fort pour me débrouiller tout seul, je sais ce que je fais.

- Non, je veux pas partir. Je conclus négativement, Car nous sommes tous pris pour cibles. Si je sors dehors et qu'ils sont là, ils vont sûrement m'enlever et même pire.

Il réfléchit un bon moment avant de comprendre.

- Tu as raison. Mais sache que si il t'arrivait quelques choses, je serais là pour te sauver, dans n'importe qu'elle circonstance.