Is love real ?

Le moment des retrouvailles. 

PDV Zoro:

J'ai craqué, je n'ai pas pu faire autrement. Il fallait que je lui dise la vérité, je n'avais plus le choix.
Ça été sans doute la chose la plus difficile que j'ai dû prendre.

Sanji.. c'est le seul que j'aime. Et il restera mon seul amour. Personne ne m'a jamais aussi bien aimé de lui. Et les mots qu'il a sorti m'a.. boulversé. Je savais qu'il était malheureux, mais pas au point de mourrir. C'était l'électrochoc pour moi. C'est de ma faute si il s'est poussé à fumer, ce drogué. Quand t'il s'est logé dans mes bras en pleurant, c'était la douche froide. J'ai eu un sentiment de culpabilité, ronger par la tristesse et la colère de lui avoir fait subir ça. Mais en même temps, j'ai eu comme un moment d'adoucissement et un confort de bien-être.

Ressentir son petit corps chaud autour de moi était mon antidote pour redevenir.. moi-même. Sans Sanji, ma vie n'aurait jamais été mieux si je ne l'avais pas rencontré. Bien-sûr que je m'en veux de lui avoir fait croire une telle chose. Mais je n'avais pas le choix. C'était pour sa survie et ceux de mes amis en dépendait. Je serais prêt à faire n'importe quoi pour eux. Car pour moi, c'est une véritable famille.

Tellement que j'étais mal, j'ai commencé à boire le soir pour le saouler. Je demandais à mes amis de comment Sanji aller, mais ils ne m'ont jamais répondu. C'était une période très dur et lourd à supporter. Je ne savais pas où il pouvait être, jusqu'à ce que je l'ai vu fermer ses volets de chambre. Son visage était très fermé et déprimé. Je ne pouvais que l'appeler par la fenêtre mais jamais il ne m'avait répondu. Je l'harcelais au téléphone, j'étais déterminé à lui parler. Jusqu'à ce que je lance des petits cailloux sur les violets de sa chambre. Quand j'ai entendue la fenêtre s'ouvrir, j'étais sur que j'avais enfin réussir à lui parler.

Mais il était impassible, neutre et repoussé mes paroles. Je me suis presque dit qu'il avait malheureusement tourné la page, mais enfaite, c'était tout le contraire..

- C'est parce que je suis malheureux sans toi !!

Sans.. moi ? Il était malheureux ? J'avais de la peine mais en même temps.. j'étais submergé par la joie qu'il me dise ça. À l'intérieur de moi, c'était les feux d'artifices.

Et quand je suis entré chez moi. Steph me regarder d'un air dubitatif. Je lui ai juste répondue que je voulais prendre l'air en m'arrêtant dans un bar, et je me suis perdue. Et elle m'a crue. Jamais je n'aurais crue que mon orientation merdique me sauverait la vie, et celle de mon jolie blond.

Et le lendemain qui est ce jour, Steph était déjà reparti. Et loin. Apparament, elle devait partir de la ville à cause d'un trafic et ce sera pendant un long moment. Encore heureux, rien de l'avoir dans mon champ de vision me donne envie de la butter. Mais si je fais ça, le reste du gang vont s'en prendre à moi, à mes amis, et de mon p'tit ange. Surtout.. qu'elle m'a forcer à coucher avec elle. Je n'étais pas du tout excité par elle, non, je pensais seulement à lui. Je fermais les yeux et je pensais haut et fort que je le faisais avec Sanji, et ça a marché. Cette femme ce sert de moi. Après tout, ça a toujours été comme ça.

Je dois encore réfléchir dû comment je vais me débarrasser d'eux. Mais seul.. je n'y arriverai pas. La seule chose que je puisse faire est.. de les combattre un par un. Je l'ai trancherai avec mes trois sabres, quitte à me retrouver en prison, quitte à mourir.

Bzzzz... !

Je prend mon téléphone sagement en regardant le destinataire. J'écarquille mes yeux en me redressant de mon canapé. Sanji ?!

_ Es-tu seul chez toi ?

Dans mes contacts, je l'ai renommé Bernadette. Pourquoi ? J'en sers rien, c'est pour éviter que Steph ce doute de quelques choses. Bref.. je vais lui répondre toute suite.