Pour l'Amour des hommes je chéris l'Univers,
Des ailes d'un oiseau je m'envole à l'envers ;
J'observe la Terre du haut de ce monde qui se perd.
Pour l'Amour des hommes je me crois dur comme fer.Lorsque Dieu me guide j'abandonne l'abandon,
À l'état liquide mes larmes deviennent bénédiction.
Partout à la fois le voici la floraison,
De ce monde, ses peines, ses douceurs et ses raisons.Lorsque j'enviais Mars sans un mais sans un joint,
Je ne voyais pas plus loin que mes deux yeux d'humain ;
Le regard dans le télescope je m'observais si loin,
Pourtant j'étais aussi juste à portée de main.Est-ce là l'ignorance de la pleine conscience ?
Unique, figée, aux critères de l'évidence.
L'homme qui y voit son sens s'accepte à la tolérance.
N'ignorons pas plus la paix qu'est son existence."Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme." :
Descartes vit en moi à travers une autre forme.
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POÈMES À L'ENCRE JEUNE
PoetryRecueil de poèmes écrit de la plume numérique d'un jeune rêveur.