Qui était marathon, qui était révolté ;
Jeune était le mouton qui se souhaitait berger.
Jeune semblait l'enfant, à l'âme d'un géant ;
Qui jeunait tristement les parents sans argent.Devant la marre à thons n'ayant pas d'quoi pêcher,
Les mains sales le garçon ne pensait que pécher ;
En rentrant un savon lui serait réservé,
Et encore ce sermon qui lui serait crié.Pourquoi diable marra-t-on ce champ fertilisé,
Qui n'allait que nourrir ceux qui pourraient payer ?
À la famille l'argent ne s'rait pas distribué,
Car s'il fait pas l'bonheur il crée destinée.
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POÈMES À L'ENCRE JEUNE
PoesíaRecueil de poèmes écrit de la plume numérique d'un jeune rêveur.