Le pré lassé des lilas,
Voit l'homme qui vient, qui va,
Se prélasser ici-bas ;
Là où l'Soleil ne brille pas.S'enlacent les lacets lassés,
Coup de grâce, la graisse est graciée ;
On amasse les masses massées,
En ces espaces ; les voilà trépassés.En cet été où les temps sont divers,
On pèse aux tonnes du plus que nécessaire
Au printemps de ma vie je me croyais hier,
Guère n'être plus que des corps d'après-guerre.Voyant l'homme seul je lui lègue ma chanson.
Bercé par les mots donnant un coup de crayon,
Trouverais-je un jour un fidèle compagnon ?
Vivaldi j'ai besoin de bien d'autres saisons.
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POÈMES À L'ENCRE JEUNE
PoesiaRecueil de poèmes écrit de la plume numérique d'un jeune rêveur.