L'enfant du diable, la tête dans les nuages ;
Composait sa fable, en écoutant le sage.Il faisait du sable, le plus grand des barrages ;
Face au rivage, qui faisait rase table.Il chantonnait lumière, il espérait du ciel ;
Faire de son tendre air un combat contre la misère.Mais étant fils du diable, l'enfant à l'air maussade,
Se devait de se taire face aux grands à la table.C'est qu'il était géant cet enfant innovant.
Il dessinait des plans, de beaux sapins dansants.Peut-être un peu naïf, n'empêche loin d'être chétif ;
Il était bien plus vif qu'les paresseux passifs.Alors il pleurait, essayant de comprendre.
Mais plus il cherchait, plus il devait se rendre.
Se rendre face au social, qui toujours lui demande ;
D'être un peu plus cordial, hors de sa banlieue grande.
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POÈMES À L'ENCRE JEUNE
PoésieRecueil de poèmes écrit de la plume numérique d'un jeune rêveur.