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L'apiculteur la nuit se meurt.
Jetant à la baille l'abeille,
Il voit, il pleure, garde sa rancœur.

Cybernétique qui se perd d'un clic ;
Car si l'homme développe sa science brique après brique,
Il perdra son âme via l'IA ; fatidique.

Ainsi l'apiculteur coupé du monde, coeur qui pique ;
Se verra remplacé par le robot cherchant un cœur.
Devant être dénué de sens, le voici être une erreur.
L'un d'eux s'éveillera tout de même ; l'odeur du miel lui semble magique.

POÈMES À L'ENCRE JEUNEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant